Au 6ème siècle, Le monde était dominé par deux grandes puissances : la Perse et la Byzance.
Ils occupaient la majeure partie des pays du monde. Loppression et l'injustice sévissaient chez eux. Le faste battait son plein dans la classe des seigneurs à Byzance grâce aux taxes exorbitants prélevées chez les pauvres citoyens. On y trouvait toutes sortes d'abus, racisme, oppression et tyrannie. Un des passe-temps des seigneurs est d'assister à une Lutte entre un humain et un lion et rires jusqu'à la mort du premier.
La Perse, elle, était divisée en Seigneurs, prêtres et serfs. Le monde na jamais connu un système de rangs sociaux plus cruel que celui observé dans la perse du 6eme siècle.
Quant à lEurope, elle vivait son ère la plus sombre : pauvreté, analphabétisme, ignorance, perte de valeurs.. La femme était tellement méprisée qu'une recherche traitait les questions suivantes : La femme est un humain ou un animal ? Possède-t-elle une âme humaine ou une âme de démon ? et est-ce quelle a le droit de "posséder" quelque chose ? Dhériter ? La porte de la polygamie était ouverte à un nombre illimité de femmes car en principe elles n'avaient pas de valeur.
Un historien anglais nommé "Wales" :
<< Le monde na pas connu dans son histoire une ère plus sombre, ni pire, ni plus appelante au désespoir en le futur que le sixième siècle. Le monde a été atteint dune paralysie totale. L'Europe ressemblait à un corps mort dun gigantesque homme, et le cadavre est pourri. Le monde était semblable à un homme paralysé et enchainé, incapable de bouger, jusquà ce que Mohamed le prophète des musulmans apparut .. >>
Coran :
Et Nous ne t'avons envoyé qu'en miséricorde pour l'univers.
Pour ce qui est de la péninsule arabe, le système tribal régnait avec toutes ses défectuosités. Les tribus se faisaient la guerre, se déchiraient, la razzia battait son plein. Le fort mangeait le faible. Une véritable jungle, ou pire encore. Haines et rivalités sans égal. Très peu de sécurité, enfants enlevés et vendus, les médias de lépoque ( poésie et affiches ) soutenaient ces actes :
Et si on trouve que notre frère Bakr *** Et bien on agresse Bakr notre frère
Et qui nest pas injuste envers les gens *** Les gens seront injustes envers lui
Quand à la femme elle nétait même pas comptée comme un être humain, ni même comme un animal : cétait "un objet", et si chance : "un bien dont on en a encore besoin". Y avait pas quelque chose qui sappelle "elle possède" elle quoi ? ou encore qui hérite, une femme qui hérite comment ça ? cest inconcevable : Quelquun est mort, hein cest bien, quil crève! il nous a laissé quoi une terre cultivable et quelques biens bon toi tu prends 2/3 de la terre l'autre prend le cheval et 1/3, reste 2 vaches et 3 femmes je prends 2 vaches et 2 femmes, la femme qui reste on la partage comment ?
Et ce qui rendait la boue encore plus visqueuse : c'est l'enterrement. Par cruauté, on attendait que lenfant atteint 6 ans pour quil aie « conscience » et quelle comprenne ce qui lui arrive : On demandait à la mère de la maquiller pour quelle se fasse belle parce quelle « va aller voir son oncle », la tombe est déjà prête, on demandait à la fille de regarder dans le fossé, on le pousse violemment et on remet la terre dessus. Autre alternative : lorsque la femme est sur le point daccoucher, une tombe est déjà préparée, si le nouveau né est un garçon, on laccompagne fièrement à la maison, sinon ..
<<
16.58. Et lorsquon annonce à lun dentre eux la naissance dune fille, son visage sassombrit et il arrive à peine à contenir sa colère.
16.59. Il se dérobe aux regards des gens, le cur meurtri par cette nouvelle, se demandant sil va conserver cet enfant malgré le déshonneur ou sil va lensevelir dans la poussière. Quel jugement odieux !
>>
Chez les hommes, le taux de mortalité était élevé aussi à cause des croisades quotidiennes et donc pas de soucis quant à la suffisance du nombre des femmes, elles resteront toujours plus nombreuses.
Seules quelques nobles familles nagissaient pas de la sorte.
La Mecque n'était pas un bout de désert perdu au milieu de nulle part et isolée du reste du monde. Elle était un centre commercial mondial. Les marchandises arrivaient de la Chine, allaient vers le Yémen, elles traversaient la péninsule arabe par le biais des commerçants Quraychites, ensuite elles cheminaient vers la Mésopotamie. Qoraïche faisait donc le relais entre des Perses et des Byzantins et obtenait dimportants profits grâce à ces voyages, et grâce à leurs efforts considérables pour sécuriser les zones, la Mecque na jamais été occupée.
Dans cette ville, au milieu de la péninsule arabe, au milieu de ce monde si cruel, si sombre, si triste, à laurore, au moment où les premiers rayons de laube cassèrent lobscurité de la nuit ténébreuse, une nouvelle lumière naquit.
Ils occupaient la majeure partie des pays du monde. Loppression et l'injustice sévissaient chez eux. Le faste battait son plein dans la classe des seigneurs à Byzance grâce aux taxes exorbitants prélevées chez les pauvres citoyens. On y trouvait toutes sortes d'abus, racisme, oppression et tyrannie. Un des passe-temps des seigneurs est d'assister à une Lutte entre un humain et un lion et rires jusqu'à la mort du premier.
La Perse, elle, était divisée en Seigneurs, prêtres et serfs. Le monde na jamais connu un système de rangs sociaux plus cruel que celui observé dans la perse du 6eme siècle.
Quant à lEurope, elle vivait son ère la plus sombre : pauvreté, analphabétisme, ignorance, perte de valeurs.. La femme était tellement méprisée qu'une recherche traitait les questions suivantes : La femme est un humain ou un animal ? Possède-t-elle une âme humaine ou une âme de démon ? et est-ce quelle a le droit de "posséder" quelque chose ? Dhériter ? La porte de la polygamie était ouverte à un nombre illimité de femmes car en principe elles n'avaient pas de valeur.
Un historien anglais nommé "Wales" :
<< Le monde na pas connu dans son histoire une ère plus sombre, ni pire, ni plus appelante au désespoir en le futur que le sixième siècle. Le monde a été atteint dune paralysie totale. L'Europe ressemblait à un corps mort dun gigantesque homme, et le cadavre est pourri. Le monde était semblable à un homme paralysé et enchainé, incapable de bouger, jusquà ce que Mohamed le prophète des musulmans apparut .. >>
Coran :
Et Nous ne t'avons envoyé qu'en miséricorde pour l'univers.
Pour ce qui est de la péninsule arabe, le système tribal régnait avec toutes ses défectuosités. Les tribus se faisaient la guerre, se déchiraient, la razzia battait son plein. Le fort mangeait le faible. Une véritable jungle, ou pire encore. Haines et rivalités sans égal. Très peu de sécurité, enfants enlevés et vendus, les médias de lépoque ( poésie et affiches ) soutenaient ces actes :
Et si on trouve que notre frère Bakr *** Et bien on agresse Bakr notre frère
Et qui nest pas injuste envers les gens *** Les gens seront injustes envers lui
Quand à la femme elle nétait même pas comptée comme un être humain, ni même comme un animal : cétait "un objet", et si chance : "un bien dont on en a encore besoin". Y avait pas quelque chose qui sappelle "elle possède" elle quoi ? ou encore qui hérite, une femme qui hérite comment ça ? cest inconcevable : Quelquun est mort, hein cest bien, quil crève! il nous a laissé quoi une terre cultivable et quelques biens bon toi tu prends 2/3 de la terre l'autre prend le cheval et 1/3, reste 2 vaches et 3 femmes je prends 2 vaches et 2 femmes, la femme qui reste on la partage comment ?
Et ce qui rendait la boue encore plus visqueuse : c'est l'enterrement. Par cruauté, on attendait que lenfant atteint 6 ans pour quil aie « conscience » et quelle comprenne ce qui lui arrive : On demandait à la mère de la maquiller pour quelle se fasse belle parce quelle « va aller voir son oncle », la tombe est déjà prête, on demandait à la fille de regarder dans le fossé, on le pousse violemment et on remet la terre dessus. Autre alternative : lorsque la femme est sur le point daccoucher, une tombe est déjà préparée, si le nouveau né est un garçon, on laccompagne fièrement à la maison, sinon ..
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16.58. Et lorsquon annonce à lun dentre eux la naissance dune fille, son visage sassombrit et il arrive à peine à contenir sa colère.
16.59. Il se dérobe aux regards des gens, le cur meurtri par cette nouvelle, se demandant sil va conserver cet enfant malgré le déshonneur ou sil va lensevelir dans la poussière. Quel jugement odieux !
>>
Chez les hommes, le taux de mortalité était élevé aussi à cause des croisades quotidiennes et donc pas de soucis quant à la suffisance du nombre des femmes, elles resteront toujours plus nombreuses.
Seules quelques nobles familles nagissaient pas de la sorte.
La Mecque n'était pas un bout de désert perdu au milieu de nulle part et isolée du reste du monde. Elle était un centre commercial mondial. Les marchandises arrivaient de la Chine, allaient vers le Yémen, elles traversaient la péninsule arabe par le biais des commerçants Quraychites, ensuite elles cheminaient vers la Mésopotamie. Qoraïche faisait donc le relais entre des Perses et des Byzantins et obtenait dimportants profits grâce à ces voyages, et grâce à leurs efforts considérables pour sécuriser les zones, la Mecque na jamais été occupée.
Dans cette ville, au milieu de la péninsule arabe, au milieu de ce monde si cruel, si sombre, si triste, à laurore, au moment où les premiers rayons de laube cassèrent lobscurité de la nuit ténébreuse, une nouvelle lumière naquit.