Etats-Unis : Entre le FBI et les musulmans, rien ne va plus.Etats-Unis
Si les autorités vous demandent de les aider à déjouer des complots d’attentats contre votre pays et dont vous pourriez être témoin, y a-t-il lieu d’être choqué ? sans doute que non, sauf si vous êtes musulman. Dans la guerre que l’islam radical mène contre l’occident, ces musulmans qui refusent de coopérer avec le FBI ont de facto choisi leur camp, et c’est celui des terroristes musulmans.
WASHINGTON - Quand un cordial échange d’emails entre une étudiante musulmane et un agent du FBI s’est transformé en demande d’informations au sujet d’autres musulmans sur le campus, l’étudiante du Michigan a été choquée.
Dans un email, dont une copie a été montré à l’AFP, l’agent du FBI disait à l’étudiante, qu’il avait pris contact avec elle, car il souhaitait “avoir la possibilité de joindre des personnes [comme elle], en cas de besoin à l’avenir. “Le cas de cette étudiante, qui a vécu aux Etats-Unis depuis l’âge de quatre ans, n’est pas isolé.
Suite au 11 septembre 2001, le Federal Bureau of Investigation (FBI) avait contacté des dirigeants et des institutions musulmanes, leur promettant d’enquêter sur une série d’affaires de racisme visant des musulmans, en échange de quoi, les dirigeants communautaires s’engageaient à les avertir en cas d’activités suspectes dans leur communauté.
Mais ces liens fragiles se sont effilochés à cause d’allégations selon lesquelles le FBI aurait infiltré plusieurs mosquées populaires et mis sous surveillance d’éminents musulmans, et à cause de certaines tactiques [de profilage] utilisées pour enquêter sur d’éventuelles activités militantes.
Environ les deux-tiers des musulmans, qui représentent maintenant 0,6 pour cent de la population américaine adulte, sont des immigrants, selon une enquête menée par Pew.
Mais les “incidents” ne concernent pas que les immigrants. Zakariya Reed, un citoyen américain qui s’est converti à l’islam il y a environ 10 ans, a dit quand il s’est tourné vers le FBI pour se plaindre des difficultés qu’il rencontrait à la frontière chaque fois qu’il revenait du Canada ou vivent des parents. C’est alors que des agents lui ont proposé d’espionner la communauté musulmane.
Le Conseil des organisations islamiques du Michigan a demandé au ministre américain de la Justice Eric Holder de diligenter une enquête après avoir reçu des plaintes de fidèles reprochant au FBI de leur avoir demandé d’espionner dans les mosquées. Dans une lettre, il explique que des musulmans disent avoir été approchés par le FBI qui leur aurait demandé de surveiller les personnes se rendant à la mosquée et les éventuels dons qu’elles effectuaient.
Ce type de plaintes n’est pas nouveau mais les craintes ont augmenté après la récente révélation que le FBI avait placé un espion dans une mosquée de Californie, a expliqué Dawud Walid, un porte-parole de CAIR (conseil des relations américano-musulmanes).
L’an dernier, le FBI a coupé les liens avec CAIR parce qu’il a contribué à l’envoi de fonds au mouvement islamiste palestinien Hamas, par l’intermédiaire d’un organisme de bienfaisance basée au Texas (lire).
Source :Strait Times, SaphirNews .
Si les autorités vous demandent de les aider à déjouer des complots d’attentats contre votre pays et dont vous pourriez être témoin, y a-t-il lieu d’être choqué ? sans doute que non, sauf si vous êtes musulman. Dans la guerre que l’islam radical mène contre l’occident, ces musulmans qui refusent de coopérer avec le FBI ont de facto choisi leur camp, et c’est celui des terroristes musulmans.
WASHINGTON - Quand un cordial échange d’emails entre une étudiante musulmane et un agent du FBI s’est transformé en demande d’informations au sujet d’autres musulmans sur le campus, l’étudiante du Michigan a été choquée.
Dans un email, dont une copie a été montré à l’AFP, l’agent du FBI disait à l’étudiante, qu’il avait pris contact avec elle, car il souhaitait “avoir la possibilité de joindre des personnes [comme elle], en cas de besoin à l’avenir. “Le cas de cette étudiante, qui a vécu aux Etats-Unis depuis l’âge de quatre ans, n’est pas isolé.
Suite au 11 septembre 2001, le Federal Bureau of Investigation (FBI) avait contacté des dirigeants et des institutions musulmanes, leur promettant d’enquêter sur une série d’affaires de racisme visant des musulmans, en échange de quoi, les dirigeants communautaires s’engageaient à les avertir en cas d’activités suspectes dans leur communauté.
Mais ces liens fragiles se sont effilochés à cause d’allégations selon lesquelles le FBI aurait infiltré plusieurs mosquées populaires et mis sous surveillance d’éminents musulmans, et à cause de certaines tactiques [de profilage] utilisées pour enquêter sur d’éventuelles activités militantes.
Environ les deux-tiers des musulmans, qui représentent maintenant 0,6 pour cent de la population américaine adulte, sont des immigrants, selon une enquête menée par Pew.
Mais les “incidents” ne concernent pas que les immigrants. Zakariya Reed, un citoyen américain qui s’est converti à l’islam il y a environ 10 ans, a dit quand il s’est tourné vers le FBI pour se plaindre des difficultés qu’il rencontrait à la frontière chaque fois qu’il revenait du Canada ou vivent des parents. C’est alors que des agents lui ont proposé d’espionner la communauté musulmane.
Le Conseil des organisations islamiques du Michigan a demandé au ministre américain de la Justice Eric Holder de diligenter une enquête après avoir reçu des plaintes de fidèles reprochant au FBI de leur avoir demandé d’espionner dans les mosquées. Dans une lettre, il explique que des musulmans disent avoir été approchés par le FBI qui leur aurait demandé de surveiller les personnes se rendant à la mosquée et les éventuels dons qu’elles effectuaient.
Ce type de plaintes n’est pas nouveau mais les craintes ont augmenté après la récente révélation que le FBI avait placé un espion dans une mosquée de Californie, a expliqué Dawud Walid, un porte-parole de CAIR (conseil des relations américano-musulmanes).
L’an dernier, le FBI a coupé les liens avec CAIR parce qu’il a contribué à l’envoi de fonds au mouvement islamiste palestinien Hamas, par l’intermédiaire d’un organisme de bienfaisance basée au Texas (lire).
Source :Strait Times, SaphirNews .