La Maison-Blanche l’avait annoncé jeudi, Donald Trump l’a confirmé ce vencredi. Pour financer son mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, le président américain a fait savoir qu’il déclarait l'« urgence nationale ». « Tout le monde sait que les murs fonctionnent », a-t-il martelé depuis les jardins de la Maison-Blanche, évoquant une « invasion » de migrants en situation illégale.
L’option de l’urgence nationale, une procédure exceptionnelle, permet théoriquement à Trump de contourner le Congrès afin de débloquer des fonds pour construire son ouvrage phare contre l’immigration clandestine. Le président américain ne peut pas encore crier victoire. Il a confié s’attendre à ce que des poursuites judiciaires soient lancées contre sa déclaration d’urgence nationale.
Celles-ci n’ont pas tardé. L’Etat de New York a d’ores et déjà déclaré qu’il allait contester cette déclaration d’urgence devant la justice. « Nous ne tolérerons pas cet abus de pouvoir et résisterons avec tous les outils juridiques à notre disposition », a indiqué la procureure démocrate, Letitia James. Donald Trump a affiché sa confiance en affirmant « qu’heureusement nous allons gagner ». Une confiance sans doute confortée par les juges conservateurs qu’il a nommés à la Cour suprême, l’instance judiciaire suprême du pays.
Le curieux aveu de Trump
Reste que l’initiative est décriée par les démocrates et ne fait pas non plus l’unanimité dans le camp républicain. Les opposants de Trump voient dans cette décision la basse manœuvre politique d’un président affaibli par la perte de la Chambre des représentants en novembre et son recul fin janvier dans le bras de fer qu’il avait engagé sur l’immigration.
LeParisien.fr
Qu'en pensent les tribus indiennes et les animaux disparus en grande parties comme les bisons
(presque )?
L’option de l’urgence nationale, une procédure exceptionnelle, permet théoriquement à Trump de contourner le Congrès afin de débloquer des fonds pour construire son ouvrage phare contre l’immigration clandestine. Le président américain ne peut pas encore crier victoire. Il a confié s’attendre à ce que des poursuites judiciaires soient lancées contre sa déclaration d’urgence nationale.
Celles-ci n’ont pas tardé. L’Etat de New York a d’ores et déjà déclaré qu’il allait contester cette déclaration d’urgence devant la justice. « Nous ne tolérerons pas cet abus de pouvoir et résisterons avec tous les outils juridiques à notre disposition », a indiqué la procureure démocrate, Letitia James. Donald Trump a affiché sa confiance en affirmant « qu’heureusement nous allons gagner ». Une confiance sans doute confortée par les juges conservateurs qu’il a nommés à la Cour suprême, l’instance judiciaire suprême du pays.
Le curieux aveu de Trump
Reste que l’initiative est décriée par les démocrates et ne fait pas non plus l’unanimité dans le camp républicain. Les opposants de Trump voient dans cette décision la basse manœuvre politique d’un président affaibli par la perte de la Chambre des représentants en novembre et son recul fin janvier dans le bras de fer qu’il avait engagé sur l’immigration.
LeParisien.fr
Qu'en pensent les tribus indiennes et les animaux disparus en grande parties comme les bisons
(presque )?