FPP75
VIB
J'ai écouté ça à la Radio, elle s'est grave banané
J'ai pas accès à Youtube au boulot, mais si quelqu'un peut mettre le lien.
Et puis lâchez-vous
La ministre de la Justice, N°2 sur la liste UMP aux européennes en Ile-de-France, a peiné, malgré ses fiches, à répondre aux questions de fond des jeunes militants du parti réunis à l'Assemblée nationale.
Des éclats de rires, des imprécisions et des militants tout sauf rassurés. La prestation de Rachida Dati mercredi soir à l'Assemblée nationale a tourné au gag face à des centaines de jeunes UMP venus échanger avec les ténors du parti sur les élections européennes. Arrivée avec une heure de retard, la ministre de la Justice ne s'est pas exprimée devant Xavier Bertrand et Michel Barnier, qui n'ont pas patienté jusqu'à sa venue tardive.
Ils n'ont donc pas entendu la N°2 UMP en Ile-de-France parler d'environnement, comme le rapporte Europe 1 : «Je récite, 77% de notre énergie . (rires) provient du nucléaire, c'est ça ?» L'assistance lui répond que non. «Electricité ? Oh ben Ils m'avaient dit énergie !» Nouvel éclat de rire de la ministre. Puis, à nouveau sérieuse : «Bon il faut se mobiliser pour développer les éoliennes, c'est ça ?»
Les militants UMP l'interrogent également sur le rapport de l'Europe aux Nations, comme on peut l'entendre sur France Info. L'Europe s'occupe-t-elle trop des questions françaises ? Dati, du tac-au-tac : «Elle s'occupe de ce qu'on lui donne à s'occuper avec les personnes qui peuvent porter ces affaires à s'occuper, donc nous en l'occurrence». Elle rit encore. Sans donner l'impression d'y croire, elle demande à la salle si elle a bien répondu. «On avait pourtant répété un peu», s'amuse-t-elle, alors qu'en coulisse, son entourage cherche à recoller les morceaux en discutant avec la presse.
Rachida Dati avait hésité jusqu'au bout avant d'accepter de s'engager dans cette campagne européenne. Elle avait finalement céder à la demande express de Nicolas Sarkozy, un choix qui l'obligera à quitter la place Vendôme une fois élue dans quelques semaines. Mais la garde des Sceaux va devoir encore convaincre. Avant son arrivée, le patron de l'UMP Xavier Bertrand l'assurait : «Oui, cette campagne est lancée. Mais maintenant ce que je vous demande, c'est de passer à la vitesse supérieure». Comme un message prémonitoire adressé à Rachida Dati.
J'ai pas accès à Youtube au boulot, mais si quelqu'un peut mettre le lien.
Et puis lâchez-vous
La ministre de la Justice, N°2 sur la liste UMP aux européennes en Ile-de-France, a peiné, malgré ses fiches, à répondre aux questions de fond des jeunes militants du parti réunis à l'Assemblée nationale.
Des éclats de rires, des imprécisions et des militants tout sauf rassurés. La prestation de Rachida Dati mercredi soir à l'Assemblée nationale a tourné au gag face à des centaines de jeunes UMP venus échanger avec les ténors du parti sur les élections européennes. Arrivée avec une heure de retard, la ministre de la Justice ne s'est pas exprimée devant Xavier Bertrand et Michel Barnier, qui n'ont pas patienté jusqu'à sa venue tardive.
Ils n'ont donc pas entendu la N°2 UMP en Ile-de-France parler d'environnement, comme le rapporte Europe 1 : «Je récite, 77% de notre énergie . (rires) provient du nucléaire, c'est ça ?» L'assistance lui répond que non. «Electricité ? Oh ben Ils m'avaient dit énergie !» Nouvel éclat de rire de la ministre. Puis, à nouveau sérieuse : «Bon il faut se mobiliser pour développer les éoliennes, c'est ça ?»
Les militants UMP l'interrogent également sur le rapport de l'Europe aux Nations, comme on peut l'entendre sur France Info. L'Europe s'occupe-t-elle trop des questions françaises ? Dati, du tac-au-tac : «Elle s'occupe de ce qu'on lui donne à s'occuper avec les personnes qui peuvent porter ces affaires à s'occuper, donc nous en l'occurrence». Elle rit encore. Sans donner l'impression d'y croire, elle demande à la salle si elle a bien répondu. «On avait pourtant répété un peu», s'amuse-t-elle, alors qu'en coulisse, son entourage cherche à recoller les morceaux en discutant avec la presse.
Rachida Dati avait hésité jusqu'au bout avant d'accepter de s'engager dans cette campagne européenne. Elle avait finalement céder à la demande express de Nicolas Sarkozy, un choix qui l'obligera à quitter la place Vendôme une fois élue dans quelques semaines. Mais la garde des Sceaux va devoir encore convaincre. Avant son arrivée, le patron de l'UMP Xavier Bertrand l'assurait : «Oui, cette campagne est lancée. Mais maintenant ce que je vous demande, c'est de passer à la vitesse supérieure». Comme un message prémonitoire adressé à Rachida Dati.