ex journaliste accusant le roi

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion aladinette
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on peut dire journaliste et non pas ex-journaliste, même si elle est au chomage.... elle reste journaliste tant qu'elle n'a pas changé de métier

et sinon, la fille du début, à coté de celle qui parle... ele fait la traduction pour les malentendants ? parce qu'elle gigote beaucoup quand même

pour la vidéo... ça coupe au moment le plus interessant

la fille n'est à mon avis pas journaliste... elle pose quelques bonnes questions, mais pas de la manière appropriée pour recueillir l'adhésion.. et l'adhésion qu'il lui faut c'est celle des marocains, pas celle des occidentaux... même si l'image du Maroc en prends un coup, cela peut faire réagir les marocains dans le sens opposé
 
" Une vraie démocratie", dit-elle...Elle est bien mignonne et pleine d'énergie, mais connait-elle la Démocratie ?

Il y a certes un modèle à inventer, mais tant que ce modèle n'est pas même "en puissance",la position ne sera pas défendable simplement parce que cette quête de "démocratie", n'est en fait que la tentative de singer un modèle occidentale sur le déclin.La démocratie ( vulgaire comme dirait Debords) occidentale n'est que la copie d'une copie, et cette jeune fille revendique le droit à la copie d'une copie qui est elle-même copie.

je sais bien que l'apprentissage passe par l'imitation, mais quand cette imitation imite une autre imitation qui ne se fonde que sur un vague sentiment,il ne reste que l'agitation ( comme le figure parfaitement cette autre jeune fille à l’écran)

La moindre des choses serait de remonter aux source de l'idée de démocratie en balayant les deux mille ans de soubresauts qui nous ont conduit à une démocratie vulgaire qui fait des citoyens les colonisés de leurs propres gouvernements, qui de surcroît sont débordés par l'anarcho-libéralisme.

Le combat pour la "démocratie avait un sens au XIXè siècle,il a aujourd'hui le sens puéril d'un combat d'arrière garde.Cette jeune fille défend des "idées" ( je pense plutôt à des sentiments)comme le roi lui-même défendrait maladroitement son statut.
 
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