Exellente nouvelle en ce merveilleux vendredi : L'Afrique du Sud déclasse l’ambassade de l'entité sioniste afin de condamner sa politique génocidaire.
- Initiateur de la discussion morjani
- Date de début
Il n’a fallu que deux mois aux Israéliens pour briser l’un de leurs plus grands tabous politiques dans la lutte contre le gouvernement d’extrême droite. Les partis d’opposition juifs se sont engagés à ne pas participer aux votes finaux du parlement sur la législation visant à remanier le système judiciaire. Des diplomates et émissaires israéliens quittent leurs postes en signe de protestation. Les réservistes de l’armée s’opposent au service en masse, affectant toutes les unités, des troupes de combat à l’armée de l’air. Les entreprises technologiques et les sociétés de capital-risque se délocalisent à l’étranger et transfèrent des centaines de millions de dollars. Des artistes, des écrivains et des intellectuels appellent les dirigeants mondiaux à éviter les rencontres avec de hauts responsables israéliens, y compris le Premier ministre.
Aucun de ces groupes ne l’admettra, mais c’est, de l’avis de tous, l’une des campagnes BDS les plus impressionnantes jamais vues. Dans l’Israël à l’envers d’aujourd’hui, les boycotts, les désinvestissements et les sanctions – bien qu’ils ne soient pas explicitement nommés comme tels – sont devenus des stratégies centrales du mouvement de protestation israélien. De larges pans de la société ne se contentent pas de se distancier du programme du gouvernement, mais recherchent activement des perturbations à l’échelle nationale et une intervention internationale pour y mettre un terme. L’économie, la sécurité et la vie quotidienne sont autant de sacrifices nécessaires au nom de la « démocratie » salvatrice. À cette échelle, le mouvement est allé au-delà de la simple fin de la complicité publique ; c’est, en effet, une révolte civile.
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Aucun de ces groupes ne l’admettra, mais c’est, de l’avis de tous, l’une des campagnes BDS les plus impressionnantes jamais vues. Dans l’Israël à l’envers d’aujourd’hui, les boycotts, les désinvestissements et les sanctions – bien qu’ils ne soient pas explicitement nommés comme tels – sont devenus des stratégies centrales du mouvement de protestation israélien. De larges pans de la société ne se contentent pas de se distancier du programme du gouvernement, mais recherchent activement des perturbations à l’échelle nationale et une intervention internationale pour y mettre un terme. L’économie, la sécurité et la vie quotidienne sont autant de sacrifices nécessaires au nom de la « démocratie » salvatrice. À cette échelle, le mouvement est allé au-delà de la simple fin de la complicité publique ; c’est, en effet, une révolte civile.
« Israéliens, bienvenue au BDS » - France-Irak Actualité : actualités du Golfe à l'Atlantique
Des manifestants israéliens affrontent la police à cheval, lors d'une manifestation anti-gouvernementale, le 16 mars 2023. (Oren Ziv) Par Amjad Iraqi (revue de presse : CAPJO-EuroPalestine – 20 mars 2023)* « Bien qu’elles ne soient pas nommées comme telles,...
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Un pays et un régime imposteur qui ne cesse de se cacher sous le parapluie de l’anti sémitisme alors que 85/90% de la population juive n’est pas sémite alors que 100% de la population palestienne l’est !!!!!!!!!!!!!!!
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BDS | Boycott Israël - Fin de l'Apartheid
BDS France, Boycott Désinvestissement Sanctions : Boycott de l'Etat d'Israël en tant qu'occupant et colonisateur. Stop à l'Apartheid !
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