Exemple à suivre: l'agriculture du desert

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el jadida

el jadida/mazagan beach
Rien n’arrête les chercheurs israéliens en matière de recherche sur le désert. Un exemple : la station de recherche agricole de Mashabei Sadeh dans le Néguev est un lieu où l’on teste diverses cultures de fruits et légumes et divers élevages. L’eau y existe, à des profondeurs entre 900 et 1100 mètres, mais elle est saumâtre.

Que faire avec une telle eau ? Une des premières idées fut de l’utiliser, là en plein désert, pour des élevages de poissons de mer qui sont aujourd’hui exportés vers l’Europe. Ces élevages sont biologiques, une bonne circulation de l’eau évitant l’usage des antibiotiques.

Mais que faire avec les eaux saumâtres après usage ? Les chercheurs trouvèrent la solution idéale : ces eaux après usage dans les bassins d’élevage de poissons servent à irriguer les oliviers. L’huile ainsi produite est exportée, y compris vers des pays producteurs eux-mêmes comme l’Espagne et l’Italie.

Autre haut lieu de l’agriculture du désert, Kadesh Barnea près de la frontière égyptienne, produit tout au long de l’année, à destination des marchés européens, des tomates-cerises dans des serres de haute technologie.

L’usine « magique » de ce village agricole, la « Desert Magic Factory », produit toutes sortes de condiments exotiques à partir de plantes cultivées localement. Elle produit également une variété de miel à partir des plantes du désert.

un petit reportage du JT de 20h de france du 13/12/2010

http://jt.france2.fr/20h/
 
Et quand je leur dit qu'il faut consolider les liens avec Israel ... ils me font sortir des ides de conflits politique et religieux ... je ne pense pas que l islam est contre la prosperite de l humanite et en particulier celle des musulmans
 
Rien n’arrête les chercheurs israéliens en matière de recherche sur le désert. Un exemple : la station de recherche agricole de Mashabei Sadeh dans le Néguev est un lieu où l’on teste diverses cultures de fruits et légumes et divers élevages. L’eau y existe, à des profondeurs entre 900 et 1100 mètres, mais elle est saumâtre.

Que faire avec une telle eau ? Une des premières idées fut de l’utiliser, là en plein désert, pour des élevages de poissons de mer qui sont aujourd’hui exportés vers l’Europe. Ces élevages sont biologiques, une bonne circulation de l’eau évitant l’usage des antibiotiques.

Mais que faire avec les eaux saumâtres après usage ? Les chercheurs trouvèrent la solution idéale : ces eaux après usage dans les bassins d’élevage de poissons servent à irriguer les oliviers. L’huile ainsi produite est exportée, y compris vers des pays producteurs eux-mêmes comme l’Espagne et l’Italie.

Autre haut lieu de l’agriculture du désert, Kadesh Barnea près de la frontière égyptienne, produit tout au long de l’année, à destination des marchés européens, des tomates-cerises dans des serres de haute technologie.

L’usine « magique » de ce village agricole, la « Desert Magic Factory », produit toutes sortes de condiments exotiques à partir de plantes cultivées localement. Elle produit également une variété de miel à partir des plantes du désert.

un petit reportage du JT de 20h de france du 13/12/2010

http://jt.france2.fr/20h/

pas besoin d'aller en Israel pour ça
des pays arabes le font déjà ( egypte ) mais vous me direz que ce sont les israélites qui leur proposent le service ?
 
pas besoin d'aller en Israel pour ça
des pays arabes le font déjà ( egypte ) mais vous me direz que ce sont les israélites qui leur proposent le service ?

lolll les egyptiens?? depuis quand les egyptiens ont des technologies avances?! alors qu ils ne mangent que de la malokhya tout le temps, si les egyptiens ont des technologies ils les auraient bien utiliser pour remplacer la malokhya
 
lolll les egyptiens?? depuis quand les egyptiens ont des technologies avances?! alors qu ils ne mangent que de la malokhya tout le temps, si les egyptiens ont des technologies ils les auraient bien utiliser pour remplacer la malokhya

ça c'est parler pour ne rien dire ...en plus des conneries
 
faire des zones franches pour les entreprises qui souhaitent faire des expérimentations ou un autre modèle économique pour valoriser le désert
 
le Maroc n,a pas besoin de suivre des exemples...car il est capable de creer ses propres projets...et il sait d,ou il doit importer le savoir scientific du metier...
le projet du Maroc vert temoigne cela...
 
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