WYDADI75
Li 3ziz 3la mimtou
Relaxnews
10/08/2009 | Mise à jour : 17:49 |
Le réseau social Facebook, qui revendique 250 millions d'utilisateurs dans le monde, peut se révéler dangereux pour la stabilité des couples, selon une étude menée par l'université de Guelph (Canada), et publiée par la revue CyberPsychology & Behavior dans son dernier numéro. Le célèbre site communautaire pourrait en effet être la source de suspicions et de conflits pour les couples qui y sont inscrits.
Pour réaliser cette étude, les chercheurs universitaires ont analysé le comportement de 308 étudiants âgés de 17 à 24 ans, dont 231 filles et 77 garçons, tous inscrits sur Facebook. Au moment de l'étude, la moitié des participants (50,5%) avaient une relation sérieuse, un tiers étaient célibataires, et 8,3% entretenaient une liaison avec un(e) ou plusieurs partenaires.
D'après les résultats de l'étude, le temps passé à scruter l'activité de son conjoint sur Facebook augmente la jalousie et la suspicion. Le moindre indice d'infidélité (photos tagués, ex-petite amie ajoutée dans sa liste de contacts, divulgation d'informations personnelles, etc.), même s'il est infondé, peut en effet mener à une escalade de jalousie et à détériorer les relations du couple.
Cette étude canadienne a par ailleurs révélé que les participantes, qui ont passé plus de temps que les participants sur Facebook à surveiller leur partenaire, ont eu un sentiment de jalousie plus fort que les hommes.
10/08/2009 | Mise à jour : 17:49 |
Le réseau social Facebook, qui revendique 250 millions d'utilisateurs dans le monde, peut se révéler dangereux pour la stabilité des couples, selon une étude menée par l'université de Guelph (Canada), et publiée par la revue CyberPsychology & Behavior dans son dernier numéro. Le célèbre site communautaire pourrait en effet être la source de suspicions et de conflits pour les couples qui y sont inscrits.
Pour réaliser cette étude, les chercheurs universitaires ont analysé le comportement de 308 étudiants âgés de 17 à 24 ans, dont 231 filles et 77 garçons, tous inscrits sur Facebook. Au moment de l'étude, la moitié des participants (50,5%) avaient une relation sérieuse, un tiers étaient célibataires, et 8,3% entretenaient une liaison avec un(e) ou plusieurs partenaires.
D'après les résultats de l'étude, le temps passé à scruter l'activité de son conjoint sur Facebook augmente la jalousie et la suspicion. Le moindre indice d'infidélité (photos tagués, ex-petite amie ajoutée dans sa liste de contacts, divulgation d'informations personnelles, etc.), même s'il est infondé, peut en effet mener à une escalade de jalousie et à détériorer les relations du couple.
Cette étude canadienne a par ailleurs révélé que les participantes, qui ont passé plus de temps que les participants sur Facebook à surveiller leur partenaire, ont eu un sentiment de jalousie plus fort que les hommes.