Salam,
Etant donner, qu'un professeur peut punir l'élève par :
- Des heures de col en permanence
- Des rapports d'exclusions
- Ecrire un mot sur le carnet de l'élève
- Prendre rendez-vous chez les parents de l'élève
Je pensais qui si un élève serait en conflit avec son professeur, en cas où le conflit se dégrade et qui si le professeur serait en raison ou en tord Alors, le système serait que le proviseur de l'établissement prennent des décisions pour sanctions.
C'est dans le cadre où si l'élève ou le professeur à obtenu "gain de cause" dans sa plaidoirie, vu que le proviseur observe et écoute les deux parties, il n'est que le médiateur de l'anomalie et il est à lui seul d'en juger la vérité.
Je dirais, que même-çi le professeur ou l'élève dispose une ancienneté suffisante, à avoir eu longtemps une bonne relation au sein de son établissement, je ne pense pas que c'est la raison, pour laquelle le professeur ou l'élève serait relaxé.
À moins que l'on apporte les preuves, pour avoir raison du geste (physique) ou de la parole (morale) pendant le conflit.
Car, il se trouve que l'objectif du professeur, nous sommes d'accord est admis dans un établissement, pour enseigner à l'élève et surtout de terminer le programme, point barre.
De même que l'élève est admis dans un établissement pour étudier et apprendre, de ce qu'enseigne le professeur dans ses cours, que ce soit des heures de cours normalisés ou des heures de soutiens supplémentaires.
Je pensais que les mesures serait d'enregistrer par microphone : le cours (à l'heure précise du cours) et le cendre de documentation (CDI) là où il y a eu conflit qui s'impose entre les 2 parties.
Chaque jour les enregistrements s'accumulent et plus les preuves sont concrètes et précises, dans ce cas, il faudrait que les enregistrements doivent avoir une date de péremption au bout d'un certain temps, tout dépend du conflit s'il serait grave, moyen ou légère
Comme par exemple :
- Grave : Enregistrement conservé pendant toute l'année
- Moyen : Enregistrement conservé pendant six mois
- Légère : Enregistrement conservé pendant un mois
Après, ça peut créer tout un débat, car il y a deux problèmes qui se pose sur :
- Le Droit de la vie privée
Et
- Le moyen de preuve
Parce qu'une preuve, surtout par enregistrement peut être "falsifiable", et dans le cas contraire le technicien ou la technicienne qui s'occuperait de ces enregistrements au quotidien, serait responsable de ces faits, s'il y a eu des modifications.
Et puis pour le Droit de la vie privée, l'enregistrement serait fait de manière discrète, sans pour autant savoir où serait caché l'objet.
Mais le problème est qu'aussi un professeur est dans la totale responsabilité de ces faits lorsqu'il se trouve dans un lieu publique, comme dans un établissement publique qui est sous réserve de l'Education Nationale de l'Etat.
Tout ce qui appartient à l'Etat est considéré comme un lieu publique et donc chaque professeurs devra pour autant respecté les règles établies par l'établissement publique.
L'objectif de cette "mesure" ne serait pas de fliqué les personnes qu'y travaillent mais d'apporter des preuves en cas de conflit.
Un témoin est un source de preuve, mais il peut changer d'avis à tout les coups, le témoin peut être une personne, qui n'a vu les choses aveuglements contrairement à l'enregistrement par microphone, c'est une preuve plus réaliste et moins discutable.
Alors que le témoin se discute plus longtemps et on peut en douter, donc moins réaliste.
Ma question est : Faut-il établir des mesures de riposte face aux élèves et professeurs ?
Eh ouais, vous allez me dire Benmouss fait de la politique
Etant donner, qu'un professeur peut punir l'élève par :
- Des heures de col en permanence
- Des rapports d'exclusions
- Ecrire un mot sur le carnet de l'élève
- Prendre rendez-vous chez les parents de l'élève
Je pensais qui si un élève serait en conflit avec son professeur, en cas où le conflit se dégrade et qui si le professeur serait en raison ou en tord Alors, le système serait que le proviseur de l'établissement prennent des décisions pour sanctions.
C'est dans le cadre où si l'élève ou le professeur à obtenu "gain de cause" dans sa plaidoirie, vu que le proviseur observe et écoute les deux parties, il n'est que le médiateur de l'anomalie et il est à lui seul d'en juger la vérité.
Je dirais, que même-çi le professeur ou l'élève dispose une ancienneté suffisante, à avoir eu longtemps une bonne relation au sein de son établissement, je ne pense pas que c'est la raison, pour laquelle le professeur ou l'élève serait relaxé.
À moins que l'on apporte les preuves, pour avoir raison du geste (physique) ou de la parole (morale) pendant le conflit.
Car, il se trouve que l'objectif du professeur, nous sommes d'accord est admis dans un établissement, pour enseigner à l'élève et surtout de terminer le programme, point barre.
De même que l'élève est admis dans un établissement pour étudier et apprendre, de ce qu'enseigne le professeur dans ses cours, que ce soit des heures de cours normalisés ou des heures de soutiens supplémentaires.
Je pensais que les mesures serait d'enregistrer par microphone : le cours (à l'heure précise du cours) et le cendre de documentation (CDI) là où il y a eu conflit qui s'impose entre les 2 parties.
Chaque jour les enregistrements s'accumulent et plus les preuves sont concrètes et précises, dans ce cas, il faudrait que les enregistrements doivent avoir une date de péremption au bout d'un certain temps, tout dépend du conflit s'il serait grave, moyen ou légère
Comme par exemple :
- Grave : Enregistrement conservé pendant toute l'année
- Moyen : Enregistrement conservé pendant six mois
- Légère : Enregistrement conservé pendant un mois
Après, ça peut créer tout un débat, car il y a deux problèmes qui se pose sur :
- Le Droit de la vie privée
Et
- Le moyen de preuve
Parce qu'une preuve, surtout par enregistrement peut être "falsifiable", et dans le cas contraire le technicien ou la technicienne qui s'occuperait de ces enregistrements au quotidien, serait responsable de ces faits, s'il y a eu des modifications.
Et puis pour le Droit de la vie privée, l'enregistrement serait fait de manière discrète, sans pour autant savoir où serait caché l'objet.
Mais le problème est qu'aussi un professeur est dans la totale responsabilité de ces faits lorsqu'il se trouve dans un lieu publique, comme dans un établissement publique qui est sous réserve de l'Education Nationale de l'Etat.
Tout ce qui appartient à l'Etat est considéré comme un lieu publique et donc chaque professeurs devra pour autant respecté les règles établies par l'établissement publique.
L'objectif de cette "mesure" ne serait pas de fliqué les personnes qu'y travaillent mais d'apporter des preuves en cas de conflit.
Un témoin est un source de preuve, mais il peut changer d'avis à tout les coups, le témoin peut être une personne, qui n'a vu les choses aveuglements contrairement à l'enregistrement par microphone, c'est une preuve plus réaliste et moins discutable.
Alors que le témoin se discute plus longtemps et on peut en douter, donc moins réaliste.
Ma question est : Faut-il établir des mesures de riposte face aux élèves et professeurs ?
Eh ouais, vous allez me dire Benmouss fait de la politique