Depuis deux décennies, des musulmanes sacharnent à rétablir leurs droits en prouvant que le Coran est féministe. Mais les hommes ont toujours interprété très différemment le texte sacré.
Pourquoi alors quAïcha, la femme du prophète Mohammed, était mufti, cette fonction nous est-elle interdite aujourdhui?», se demandent beaucoup de musulmanes. «Parce que légalité hommes/femmes est inscrite dans le Coran, mais que quatorze siècles de lecture exclusivement masculine nous ont volé nos droits!», répondent les féministes islamiques.
Depuis vingt ans, des universitaires et des militantes ont entrepris un acte de bravoure: pratiquer linterprétation (ijtihad en arabe) des textes musulmans originels prérogative que se sont auto-attribué les hommes. Objectif: se débarrasser de toute la jurisprudence (fiqh) patriarcale, accumulée au fil des générations.
La suite sur ce lien.
Pourquoi alors quAïcha, la femme du prophète Mohammed, était mufti, cette fonction nous est-elle interdite aujourdhui?», se demandent beaucoup de musulmanes. «Parce que légalité hommes/femmes est inscrite dans le Coran, mais que quatorze siècles de lecture exclusivement masculine nous ont volé nos droits!», répondent les féministes islamiques.
Depuis vingt ans, des universitaires et des militantes ont entrepris un acte de bravoure: pratiquer linterprétation (ijtihad en arabe) des textes musulmans originels prérogative que se sont auto-attribué les hommes. Objectif: se débarrasser de toute la jurisprudence (fiqh) patriarcale, accumulée au fil des générations.
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