MAP le 13 Octobre 2010
Fès - Quatre personnes ont trouvé la mort et six autres ont été blessées dans l'effondrement, mardi matin, de deux bâtisses à la Carrière Hajoui dans le quartier Ben Dabbab à Fès, selon un nouveau bilan fourni par la Protection civile.
Aujourd'hui vers 08H15, une bâtisse de R+3, abritant une seule famille, s'est effondrée entrainant dans sa chute une autre construction R+2, habitée, elle, par six familles, précise la même source.
A la suite de cette catastrophe, un poste de commandement, présidé par le wali de la région Fès-Boulemane, gouverneur de la préfecture de Fès, Mohamed Rherrabi, et comprenant des éléments de la Protection civile, des services de police, des Forces auxiliaires, ainsi que des représentants des autorités locales, a été immédiatement mis sur pied.
Les différentes équipes poursuivent les opérations de déblayage pour dégager d'éventuelles victimes.
Selon l'Inspecteur régional de l'Habitat, de l'urbanisme et du développement territorial, Abdelkader BenBassou, "les deux constructions, qui ont déjà fait l'objet d'arrêtés d'évacuation, se trouvent dans une zone à risque classée, en 2006, par le laboratoire public d'essais et d'études (LPEE) au 2-ème degré".
Une commission de vigilance avait déjà averti, à plusieurs reprises, les ménages de la nécessité d'évacuer en urgence les constructions délimitées dans cette zone rouge, mais la population a toujours refusé d'obtempérer, a-t-il ajouté.
Fès - Quatre personnes ont trouvé la mort et six autres ont été blessées dans l'effondrement, mardi matin, de deux bâtisses à la Carrière Hajoui dans le quartier Ben Dabbab à Fès, selon un nouveau bilan fourni par la Protection civile.
Aujourd'hui vers 08H15, une bâtisse de R+3, abritant une seule famille, s'est effondrée entrainant dans sa chute une autre construction R+2, habitée, elle, par six familles, précise la même source.
A la suite de cette catastrophe, un poste de commandement, présidé par le wali de la région Fès-Boulemane, gouverneur de la préfecture de Fès, Mohamed Rherrabi, et comprenant des éléments de la Protection civile, des services de police, des Forces auxiliaires, ainsi que des représentants des autorités locales, a été immédiatement mis sur pied.
Les différentes équipes poursuivent les opérations de déblayage pour dégager d'éventuelles victimes.
Selon l'Inspecteur régional de l'Habitat, de l'urbanisme et du développement territorial, Abdelkader BenBassou, "les deux constructions, qui ont déjà fait l'objet d'arrêtés d'évacuation, se trouvent dans une zone à risque classée, en 2006, par le laboratoire public d'essais et d'études (LPEE) au 2-ème degré".
Une commission de vigilance avait déjà averti, à plusieurs reprises, les ménages de la nécessité d'évacuer en urgence les constructions délimitées dans cette zone rouge, mais la population a toujours refusé d'obtempérer, a-t-il ajouté.