Festival de Marrakech : L'orrient & l'occident fêtent la cinématographique marocaine

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Mrdi Mémtou Amro Maytkhes
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Hommage à feu Larbi Doghmi et à Mohammed Abderrahman Tazi

Feu Larbi Doghmi, pionnier du cinéma marocain, et le réalisateur Mohammed Abderrahman Tazi ont reçu, mardi, un vibrant hommage à l'occasion de la dixième édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM), qui a pris la tradition d'honorer chaque année des figures du 7ème art national.

Hommage à feu Larbi Doghmi et à Mohammed Abderrahman Tazi
L'Etoile d'or, symbole du Festival, a été remis aux fils jumeaux du défunt et à Mohammed Abderrahman Tazi, qui a appelé son fils aîné et sa fille à le rejoindre sur la scène, dans une ambiance chargée d'estime pour la mémoire de Haj Larbi Doghmi et de reconnaissance pour l'œuvre accomplie, jusque-là, par le réalisateur du film culte "A la recherche du mari de ma femme".

Les cinéastes et les comédiens marocains, toutes générations confondues, ont fait acte de présence dans cet exercice de mémoire et de considération à deux noms qui ont tant donné à la cinématographie nationale, à un moment où le 7ème art était dépourvu de moyens et perçu comme une activité négligeable pratiquée par des amateurs désœuvrés.

Hommage à feu Larbi Doghmi et à Mohammed Abderrahman Tazi
L'hommage rendu aux deux artistes a mis en avant leur apport considérable au développement et au rayonnement du cinéma à travers la participation de Larbi Doghmi à de grosses productions mondiales et la réalisation par Tazi de films à succès populaire, ce qui n'était pas courant dans les mœurs de la production marocaine.

Larbi Doghmi, né en 1931, a débuté sa carrière artistique au sein de la troupe théâtrale Al Maâmora en 1948. En 1955, il a joué dans le long-métrage "Le médecin malgré lui" de Henry-Jacques et en 1975 dans "L'homme qui voulut être roi" de John Huston. Il a également donné la réplique à Sharon Stone dans "Allan Quatermain et la cité perdue de l'or" de Gary Nelson. Larbi Doghmi est décédé le 28 octobre 1994.

Faisant partie du cercle fermé des grands réalisateurs marocains, Mohammed Abderrahman Tazi (68 ans) est diplô mé de l'institut des hautes études cinématographiques à Paris en 1963. Ce natif de Fès a tourné son premier long-métrage "Le grand voyage" en 1981, puis il a produit et réalisé "Badis" en 1988.

"A la recherche du mari de ma femme" (1993) allait être un tournant majeur dans sa carrière professionnelle. Après "Lala Hobby" (1996), il a mis en scène, en 2003, "Les voisines d'Abou Moussa", son cinquième long-métrage.


http://www.festivalmarrakech.info/H...hmi-et-a-Mohammed-Abderrahman-Tazi_a1409.html
 

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Wa baaaz, serekoum 3i lme7ayen, mabaghiyen tsem3o 3i l hem, ewa b9aw fih . . :rolleyes:

C'est qui "oum"?

Pour ma part hamdouliLlah,

Serieusement,il faut se poser les bonnes questions par qui, pour qui ,et avec quel argent est fait ce festival?

Les marocains ont plus besoin d'hôpitaux publics dignes de ce nom,d'écoles pour rayer l'analphabetisme, de routes etc etc que de festivals en particulier celui de Marrakech.
Un festival comme celui ci, est un luxe (donc superflu) que seuls des pays opulents peuvent s'offrir.Et ce n'est pas un bon exemple à suivre.
 
Je pense que ces dernières années le nombre de Festivals qui passent au maroc depasse celui des USA. Les gens veulent chte7 we rde7, alors pourquoi tu te casses la tete en leur expliquant cela.

C'est qui "oum"?

Pour ma part hamdouliLlah,

Serieusement,il faut se poser les bonnes questions par qui, pour qui ,et avec quel argent est fait ce festival?

Les marocains ont plus besoin d'hôpitaux publics dignes de ce nom,d'écoles pour rayer l'analphabetisme, de routes etc etc que de festivals en particulier celui de Marrakech.
Un festival comme celui ci, est un luxe (donc superflu) que seuls des pays opulents peuvent s'offrir.Et ce n'est pas un bon exemple à suivre.
 
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