Festival Visa pour l'image à Perpignan : le maire RN Louis Aliot refuse de remettre le Visa d'or à un photographe palestinien

Louis Aliot naît le 4 septembre 1969 à Toulouse1, d’un père plâtrier originaire d'Ax-les-Thermes, en Ariège, et d'une mère — Thérèse Sultan — rapatriée d'Algérie du quartier de Bab El Oued, à Alger, en 1962 2, issue d'une famille ayant basculé de la gauche vers la droite nationaliste dans une période marquée par la guerre d'Algérie et l'exode des Pieds-noirs. Il est par ailleurs, entre 2009 et 2019, le compagnon de Marine Le Pen, dont il soutient l'ascension au sein du parti. wiki

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"Je ne remettrai pas le prix cette année, ni moi, ni personne de la ville", a-t-il déclaré, après avoir expliqué "être très mal à l'aise avec le traitement de cette guerre" par le photoreporter gazaoui Loay Ayyoub.

Le maire RN de Perpignan (Pyrénées-Orientales), Louis Alliot, lors de son discours d'inauguration du festival Visa pour l'image, le 31 août 2024. (JC MILHET / HANS LUCAS)
Le maire RN de Perpignan (Pyrénées-Orientales), Louis Alliot, lors de son discours d'inauguration du festival Visa pour l'image, le 31 août 2024. (JC MILHET / HANS LUCAS)

Le maire RN de Perpignan (Pyrénées-Orientales), Louis Aliot, annonce samedi 31 août qu'il refusera cette année de remettre le Visa d'or de la ville de Perpignan Rémi Ochlik 2024 au photoreporter gazaoui Loay Ayyoub lors du festival Visa pour l'image, qui s'est ouvert samedi, rapporte France Bleu Roussillon.

"Je ne remettrai pas le prix cette année, ni moi, ni personne de la ville", a-t-il déclaré, après avoir expliqué "être très mal à l'aise avec le traitement de cette guerre". L'exposition de Loay Ayyoub, récompensée cette année du Visa d'or par le jury, retrace la crise humanitaire à Gaza pour le journal américain Washington Post. Pendant cinq mois, d'octobre 2023 à février 2024, et son exil en Égypte, le photoreporter gazaoui a retranscrit en photos les conséquences des frappes israéliennes sur les civils.

"J'ai une liberté totale sur la ligne éditoriale de ce festival"​

"Dans plusieurs de ses publications sur les réseaux sociaux, Loay Ayyoub ne parle pas du Hamas mais de la 'Résistance palestinienne', y compris quand ils envoient des roquettes sur des civils", justifie le maire RN. "On peut critiquer Israël mais il faut qu'il y ait de la contrepartie et un équilibre dans le propos". Le maire ajoute qu'il aurait préféré récompenser "un journaliste totalement indépendant du Hamas".
"J'ai une liberté totale sur la ligne éditoriale de ce festival et je rappelle que le prix de la ville est décerné par un jury de directeurs de photos internationaux",
répond le directeur du festival Jean-François Leroy. "Ils ont voté pour Loay Ayyoub, voilà. Moi je n'ai pas à interpréter les décisions de Monsieur Aliot", a-t-il terminé.
 
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