Le président syrien Bachar al-Assad a affirmé hier 17 août 2011 au secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon que les opérations militaires contre les opposants « ont cessé » dans son pays, a annoncé un porte-parole de l'ONU.
Lors d'une conversation téléphonique avec M. Ban qui exigeait que « toutes les opérations militaires et arrestations de masse cessent immédiatement » en Syrie, le président syrien a assuré que les « opérations militaires et policières avaient cessé », a déclaré le porte-parole adjoint de l'ONU Farhan Haq dans un communiqué.
Plus tôt, le président al-Assad avait affirmé que son pays « restera fort » face aux pressions de la communauté internationale pour la fin des violences en Syrie où 10 civils ont été tués hier 17 août 2011, selon des militants.
Le Haut commissaire aux Droits de l'homme de l'ONU devrait demander au Conseil de Sécurité que la Cour pénale internationale lance une enquête sur la répression sanglante menée par le régime syrien contre ses opposants, selon des diplomates.
Seul le Conseil de sécurité de l'ONU peut demander l'ouverture d'une enquête de la Cour pénale internationale.
La répression contre les manifestations aurait fait près de 2 000 morts civils depuis cinq mois.
Guyssen
Lors d'une conversation téléphonique avec M. Ban qui exigeait que « toutes les opérations militaires et arrestations de masse cessent immédiatement » en Syrie, le président syrien a assuré que les « opérations militaires et policières avaient cessé », a déclaré le porte-parole adjoint de l'ONU Farhan Haq dans un communiqué.
Plus tôt, le président al-Assad avait affirmé que son pays « restera fort » face aux pressions de la communauté internationale pour la fin des violences en Syrie où 10 civils ont été tués hier 17 août 2011, selon des militants.
Le Haut commissaire aux Droits de l'homme de l'ONU devrait demander au Conseil de Sécurité que la Cour pénale internationale lance une enquête sur la répression sanglante menée par le régime syrien contre ses opposants, selon des diplomates.
Seul le Conseil de sécurité de l'ONU peut demander l'ouverture d'une enquête de la Cour pénale internationale.
La répression contre les manifestations aurait fait près de 2 000 morts civils depuis cinq mois.
Guyssen