La loi qu'a instauré le Rabbin Guershon de supprimer la polygamie (uniquement pour les achkénazes, les séfarades eux en ont le droit, d'ailleurs Des Juifs yemenites, mais aussi syriens sont arrives en Israel avec plusieurs femmes) au 11eme siecle et ce pendant 1000 ans est arrivée à échéance 
Restaurer la polygamie au sein du judaïsme orthodoxe : telle est la mission que sest donnée une nouvelle organisation, Habaït Hayehoudi Hashalem.
Et peu importe que cette pratique ne sinscrive pas dans la norme de la loi juive contemporaine, ou que lEtat linterdise. Elle apporterait une solution juive au trop grand nombre de femmes célibataires, à la menace démographique présentée par la population arabe et à la tentation masculine daller chercher des relations extraconjugales.
Cest un petit encart dans Shabbat Beshabato, une publication distribuée dans les synagogues de tout le pays et qui, aborde des problèmes contemporains, qui a lancé le pavé dans la mare.
On y citait un paragraphe tiré du traité Yabia Omer, signé du grand rabbin sépharade Ovadia Yossef et qui stipulait : cest une erreur pour les non-Ashkénazes de se conformer à lintransigeant Rabbeinou Gershom, selon lequel un homme na pas le droit dépouser plus dune femme.
Il y a environ 1 000 ans, Rabbeinou Gershom de Mayence, en Allemagne, avait publié des réformes retentissantes sur une variété de sujets la plus célèbre de ces interdictions était sans doute dêtre marié à plus dune femme à la fois. Une pratique pourtant courante aux temps bibliques.
Pour lauteur de lencart paru dans Shabbat Beshabato, Rabbi Yehezkel Sopher : aucun problème juridique dans cette initiative. "Il ne sagit pas des laïcs, qui doivent bien sûr respecter la loi du pays, mais des religieux. Si quelquun souhaite prendre une deuxième épouse, la Torah ne sy oppose pas", explique-t-il. "Nous nous comportons selon le Shoulkhan Aroukh, nous nous conformons à ses règles."
Pour ce qui est des menaces dexcommunication, même pour les Ashkénazes, qui étaient censés respecter les lois de Rabbeinou Gershom, "la règle est caduque depuis des centaines dannées, puisquelle devait cesser de sappliquer dès la fin du cinquième millénaire selon le calendrier juif, soit il y a environ 700 ans", ajoute-t-il.
Cette interdiciton de 1000 ans aura t'elle eu raison de l'envie d'etre polygames chez les juifs ?
Restaurer la polygamie au sein du judaïsme orthodoxe : telle est la mission que sest donnée une nouvelle organisation, Habaït Hayehoudi Hashalem.
Et peu importe que cette pratique ne sinscrive pas dans la norme de la loi juive contemporaine, ou que lEtat linterdise. Elle apporterait une solution juive au trop grand nombre de femmes célibataires, à la menace démographique présentée par la population arabe et à la tentation masculine daller chercher des relations extraconjugales.
Cest un petit encart dans Shabbat Beshabato, une publication distribuée dans les synagogues de tout le pays et qui, aborde des problèmes contemporains, qui a lancé le pavé dans la mare.
On y citait un paragraphe tiré du traité Yabia Omer, signé du grand rabbin sépharade Ovadia Yossef et qui stipulait : cest une erreur pour les non-Ashkénazes de se conformer à lintransigeant Rabbeinou Gershom, selon lequel un homme na pas le droit dépouser plus dune femme.
Il y a environ 1 000 ans, Rabbeinou Gershom de Mayence, en Allemagne, avait publié des réformes retentissantes sur une variété de sujets la plus célèbre de ces interdictions était sans doute dêtre marié à plus dune femme à la fois. Une pratique pourtant courante aux temps bibliques.
Pour lauteur de lencart paru dans Shabbat Beshabato, Rabbi Yehezkel Sopher : aucun problème juridique dans cette initiative. "Il ne sagit pas des laïcs, qui doivent bien sûr respecter la loi du pays, mais des religieux. Si quelquun souhaite prendre une deuxième épouse, la Torah ne sy oppose pas", explique-t-il. "Nous nous comportons selon le Shoulkhan Aroukh, nous nous conformons à ses règles."
Pour ce qui est des menaces dexcommunication, même pour les Ashkénazes, qui étaient censés respecter les lois de Rabbeinou Gershom, "la règle est caduque depuis des centaines dannées, puisquelle devait cesser de sappliquer dès la fin du cinquième millénaire selon le calendrier juif, soit il y a environ 700 ans", ajoute-t-il.
Cette interdiciton de 1000 ans aura t'elle eu raison de l'envie d'etre polygames chez les juifs ?