Firefox os veut bousculer android et ios ? c’est tout ce qu’on souhaite

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ous connaissez probablement le navigateur Mozilla Firefox, et son icône depanda roux, installé aujourd’hui sur de nombreux ordinateurs. La fondation qui l’a développé au début des années 2000 revient en force avec un nouveau bébé : Firefox OS, un système d’exploitation pour smartphones qui doit jouer des coudes avec ceux de Google (Android) et d’Apple (iOS).

S’il a fêté son premier anniversaire en juillet, Firefox OS n’a débarqué en France qu’au mois d’août, sur le smartphone Open C de la marque chinoise ZTE. La Mozilla fondation a choisi l’entrée de gamme : vous pourrez vous offrir le petit nouveau, dans les enseignes E. Leclerc, pour à peine 80 euros (sans engagement avec opérateur).

Autant dire que c’est une excellente nouvelle.

Succès immédiat

Le logo de Firefox (Mozilla)

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec l’animal, Firefox est le produit le plus célèbre de Mozilla, fondation américaine à but non lucratif, l’une des figures du logiciel dit « libre », c’est-à-dire non propriétaire et dont le code (l’ADN, en quelque sorte) est public.

L’histoire de Firefox OS rappelle celle de son aïeul. En 2004, le Web se relève lentement de l’éclatement de la bulle internet et le paysage de la navigation est ravagé :

  • Microsoft est en position de quasi-monopole avec un produit peu performant (Internet Explorer) ;le pionnier Netscape gît dans les débris ;Safari, qui vient d’être lancé par Apple, truste le petit créneau des Mac.
    Le navigateur Firefox sort cette année-là, et détonne : libre, gratuit, collaboratif, issu d’un travail bénévole, il convainc tout de suite. Il a surtout su faire ce que Linux n’a pas réussi (dans l’univers des systèmes d’exploitation) : dépasser les cercles de développeurs et de geeks pour toucher le grand public.

    « L’histoire se répète »
    Son succès est fulgurant : il prend une part de marché conséquente, impose la gratuité à Microsoft qui voulait passer au payant, pousse en avant l’écosystème des « modules » qui permet de personnaliser son navigateur (par exemple, en bloquant les publicités avec AdBlock Plus).

    « L’histoire se répète », assure Tristan Nitot, fondateur de Mozilla Europe et membre du Conseil national du numérique, joint par Rue89 :

    « C’est un schéma qui perdure au fil du temps. Une innovation apparaît dans un système fermé, développé par une entreprise. Puis, elle migre vers un système plus ouvert qui gagne la partie.

    C’est arrivé au temps des services en ligne, avec AOL qui concentrait tout cela, et même avant l’arrivée du Web avec les logiciels sur PC. »

    Votre génial secrétaire est un fayot
    Pourquoi est-ce une excellente nouvelle que ce pourfendeur de multinationales entre dans le jeu des OS mobiles ? Il faut déjà bien comprendre de quoi on parle.

    Les systèmes d’exploitation des smartphones sont aussi importants que les navigateurs à leur époque : ils forment la clef de voûte de la relation entre l’individu et la machine, une « interface entre nous et le reste du monde », comme les décrit Tristan Nitot. Un outil qui partage donc notre quotidien et notre intimité.

    Prenons l’allégorie du secrétaire. Comme un assistant personnel (plutôt omniprésent), votre OS regroupe vos contacts privés et professionnels. Il vous permet :

    • d’appeler quelqu’un,de lire vos messages (textos et courriels),de reconnaître leurs émissaires et destinataires,de naviguer sur le Web,de lire la presse,de ne pas vous perdre, grâce au GPS ;d’installer jeux et applis, etc.
      Mais s’il vous permet tout cela, il a logiquement un accès privilégié à votre vie, qu’il enregistre et ordonne.

      L’OS est donc un collaborateur presque indispensable, et il a tout l’air d’être à votre service. Sauf que, lorsqu’il se nomme iOS, Android ou Windows, il rédige de petits rapports sur vous au vrai patron : Apple, Google ou Microsoft. Ces entreprises reprennent ensuite la main et cherchent à vous vendre toujours plus de produits et services (personnalisés), et vous obligent à passer par elles pour y accéder.

      Le risque d’un marché ultraconcentré
      Le contexte dans lequel sort Firefox OS n’est finalement pas très différent de celui des navigateurs il y a dix ans. Le mot d’ordre : concentration. Google a évincé Microsoft de son statut de quasi monopole : plus de huit smartphones sur dix utilisés dans le monde tournent sous Android, les deux tiers en France. Apple truste encore et toujours son produit, l’iPhone, avec iOS.


      Capture d’écran d’une infographie réalisée par ZDNet, source : IDC) (ZDNet.fr)

      Lorsque Arnaud Montebourg annonçait le développement prochain d’un OS français, il était peut-être déconnecté de certaines réalités, mais il n’était pas complètement à côté de la plaque sur le cœur du problème : une poignée d’entreprises américaines possède le marché de l’OS, et font plus ou moins commerce des données personnelles récoltées.

      L’actualité récente illustre bien le problème : Apple annonçait récemment le lancement de HeakthKit, une appli pour collecter et rassembler des données de santé sur votre iPhone (performance sportive, régime, pouls, etc.).

      On apprenait fin août que la firme de Cupertino était en négociation avec les deux plus grosses mutuelles des Etats-Unis pour signer un accord commercial (dont on ignore la nature exacte) sur ces données.

      Donner l’exemple, encore

      Capture d’écran promotionnelle de l’environnement Firefox OS (Mozilla)

      Ça n’arriverait jamais avec un logiciel libre. Voilà pourquoi l’arrivée de Firefox est extrêmement positive. Elle donne le choix de l’alternative :

      • sortir d’un modèle publicitaire très invasif (où vous êtes, d’une manière ou d’une autre, le produit) pour les détenteurs d’Android ;
        • sortir d’un écosystème Apple davantage respectueux (la plupart du temps) de l’utilisateur mais fermé et conditionné par un pouvoir d’achat élevé.
          Pas d’objectif de rentabilité, pas de compromission avec ses engagements. Mozilla nous rappelle des principes que nos usages et l’euphorie du numérique tendent à nous faire oublier : liberté, respect de la vie privée, rejet de la censure.

          Firefox OS peut aussi donner l’exemple :

          • lorsque le navigateur Firefox s’est enrichi de modules pour bloquer publicité et traceurs, Chrome (celui de Google) a bien été obligé de rendre ces modules également accessibles ;
            • lorsque Firefox a proposé de nouveaux réglages sur les cookies, permettant aux utilisateurs de se protéger contre le pistage, Chrome a encore suivi.« Parfait pour un premier smartphone »
              Reste à savoir si cela vaut vraiment le coup de sauter le pas. Nous sommes allés tester le Firefox OS sur l’appareil de ZTE, à Leclerc, lors d’une démonstration en présence de l’équipe de Mozilla, de leur mascotte, et du blogueur Genma. Une question en tête : je veux reprendre contrôle et liberté sur mon téléphone, mais est-ce que je ne perds pas trop en « expérience utilisateur » ?

              Constat, mais on le savait : c’est une première mouture. Genma résume bien la chose :

              « Pour les fanboys, les utilisateurs avancés, on oublie. Il y a déjà les applis populaires, tu peux synchroniser ton agenda avec Gmail, mais il manque pas mal de fonctionnalités. Le copier-coller par exemple. Tout ça sera rapidement réglé avec les prochaines mises à jour. »

              Qui se veulent régulières : déjà trois versions ont été mises à disposition des constructeurs depuis le lancement il y a un an.

              L’OS est donc basique pour le moment. On n’est pas dépaysé, mais il manque encore des fonctionnalités auxquelles on s’est habitué. « Ce modèle est parfait pour un premier smartphone », assure Tristan Nitot.

              La liberté, une question de choix
              Le paramétrage en revanche est canon. On peut demander à ne pas être pisté, le GPS ne communique pas vos données si vous ne l’avez pas autorisé aux applis, ces mêmes permissions qui sont rapidement et précisément révocables. Surtout, tout est simple d’accès : on ne se noie pas comme dans les autres OS dans des menus déroulants à n’en plus finir.

              Passer sur Firefox OS est un choix encore difficile : il implique quelques sacrifices en termes de confort et d’outillage, et il est difficile de voir dans son quotidien les bénéfices tellement les systèmes de pistage se sont fondus à nos usages numériques.

              C’est donc un choix avant tout éthique, pour ne pas dire idéologique. Qu’on se le dise, mon prochain smartphone tournera sur Firefox OS​

http://rue89.nouvelobs.com/2014/09/...er-android-ios-cest-tout-quon-souhaite-254578
 
ous connaissez probablement le navigateur Mozilla Firefox, et son icône depanda roux, installé aujourd’hui sur de nombreux ordinateurs. La fondation qui l’a développé au début des années 2000 revient en force avec un nouveau bébé : Firefox OS, un système d’exploitation pour smartphones qui doit jouer des coudes avec ceux de Google (Android) et d’Apple (iOS).

S’il a fêté son premier anniversaire en juillet, Firefox OS n’a débarqué en France qu’au mois d’août, sur le smartphone Open C de la marque chinoise ZTE. La Mozilla fondation a choisi l’entrée de gamme : vous pourrez vous offrir le petit nouveau, dans les enseignes E. Leclerc, pour à peine 80 euros (sans engagement avec opérateur).

Autant dire que c’est une excellente nouvelle.

Succès immédiat

Le logo de Firefox (Mozilla)

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec l’animal, Firefox est le produit le plus célèbre de Mozilla, fondation américaine à but non lucratif, l’une des figures du logiciel dit « libre », c’est-à-dire non propriétaire et dont le code (l’ADN, en quelque sorte) est public.

L’histoire de Firefox OS rappelle celle de son aïeul. En 2004, le Web se relève lentement de l’éclatement de la bulle internet et le paysage de la navigation est ravagé :

  • Microsoft est en position de quasi-monopole avec un produit peu performant (Internet Explorer) ;le pionnier Netscape gît dans les débris ;Safari, qui vient d’être lancé par Apple, truste le petit créneau des Mac.
    Le navigateur Firefox sort cette année-là, et détonne : libre, gratuit, collaboratif, issu d’un travail bénévole, il convainc tout de suite. Il a surtout su faire ce que Linux n’a pas réussi (dans l’univers des systèmes d’exploitation) : dépasser les cercles de développeurs et de geeks pour toucher le grand public.

    « L’histoire se répète »
    Son succès est fulgurant : il prend une part de marché conséquente, impose la gratuité à Microsoft qui voulait passer au payant, pousse en avant l’écosystème des « modules » qui permet de personnaliser son navigateur (par exemple, en bloquant les publicités avec AdBlock Plus).

    « L’histoire se répète », assure Tristan Nitot, fondateur de Mozilla Europe et membre du Conseil national du numérique, joint par Rue89 :

    « C’est un schéma qui perdure au fil du temps. Une innovation apparaît dans un système fermé, développé par une entreprise. Puis, elle migre vers un système plus ouvert qui gagne la partie.

    C’est arrivé au temps des services en ligne, avec AOL qui concentrait tout cela, et même avant l’arrivée du Web avec les logiciels sur PC. »

    Votre génial secrétaire est un fayot
    Pourquoi est-ce une excellente nouvelle que ce pourfendeur de multinationales entre dans le jeu des OS mobiles ? Il faut déjà bien comprendre de quoi on parle.

    Les systèmes d’exploitation des smartphones sont aussi importants que les navigateurs à leur époque : ils forment la clef de voûte de la relation entre l’individu et la machine, une « interface entre nous et le reste du monde », comme les décrit Tristan Nitot. Un outil qui partage donc notre quotidien et notre intimité.

    Prenons l’allégorie du secrétaire. Comme un assistant personnel (plutôt omniprésent), votre OS regroupe vos contacts privés et professionnels. Il vous permet :
    • d’appeler quelqu’un,de lire vos messages (textos et courriels),de reconnaître leurs émissaires et destinataires,de naviguer sur le Web,de lire la presse,de ne pas vous perdre, grâce au GPS ;d’installer jeux et applis, etc.
      Mais s’il vous permet tout cela, il a logiquement un accès privilégié à votre vie, qu’il enregistre et ordonne.

      L’OS est donc un collaborateur presque indispensable, et il a tout l’air d’être à votre service. Sauf que, lorsqu’il se nomme iOS, Android ou Windows, il rédige de petits rapports sur vous au vrai patron : Apple, Google ou Microsoft. Ces entreprises reprennent ensuite la main et cherchent à vous vendre toujours plus de produits et services (personnalisés), et vous obligent à passer par elles pour y accéder.

      Le risque d’un marché ultraconcentré
      Le contexte dans lequel sort Firefox OS n’est finalement pas très différent de celui des navigateurs il y a dix ans. Le mot d’ordre : concentration. Google a évincé Microsoft de son statut de quasi monopole : plus de huit smartphones sur dix utilisés dans le monde tournent sous Android, les deux tiers en France. Apple truste encore et toujours son produit, l’iPhone, avec iOS.


      Capture d’écran d’une infographie réalisée par ZDNet, source : IDC) (ZDNet.fr)

      Lorsque Arnaud Montebourg annonçait le développement prochain d’un OS français, il était peut-être déconnecté de certaines réalités, mais il n’était pas complètement à côté de la plaque sur le cœur du problème : une poignée d’entreprises américaines possède le marché de l’OS, et font plus ou moins commerce des données personnelles récoltées.

      L’actualité récente illustre bien le problème : Apple annonçait récemment le lancement de HeakthKit, une appli pour collecter et rassembler des données de santé sur votre iPhone (performance sportive, régime, pouls, etc.).

      On apprenait fin août que la firme de Cupertino était en négociation avec les deux plus grosses mutuelles des Etats-Unis pour signer un accord commercial (dont on ignore la nature exacte) sur ces données.

      Donner l’exemple, encore

      Capture d’écran promotionnelle de l’environnement Firefox OS (Mozilla)

      Ça n’arriverait jamais avec un logiciel libre. Voilà pourquoi l’arrivée de Firefox est extrêmement positive. Elle donne le choix de l’alternative :
      • sortir d’un modèle publicitaire très invasif (où vous êtes, d’une manière ou d’une autre, le produit) pour les détenteurs d’Android ;
        • sortir d’un écosystème Apple davantage respectueux (la plupart du temps) de l’utilisateur mais fermé et conditionné par un pouvoir d’achat élevé.
          Pas d’objectif de rentabilité, pas de compromission avec ses engagements. Mozilla nous rappelle des principes que nos usages et l’euphorie du numérique tendent à nous faire oublier : liberté, respect de la vie privée, rejet de la censure.

          Firefox OS peut aussi donner l’exemple :
          • lorsque le navigateur Firefox s’est enrichi de modules pour bloquer publicité et traceurs, Chrome (celui de Google) a bien été obligé de rendre ces modules également accessibles ;
            • lorsque Firefox a proposé de nouveaux réglages sur les cookies, permettant aux utilisateurs de se protéger contre le pistage, Chrome a encore suivi.« Parfait pour un premier smartphone »
              Reste à savoir si cela vaut vraiment le coup de sauter le pas. Nous sommes allés tester le Firefox OS sur l’appareil de ZTE, à Leclerc, lors d’une démonstration en présence de l’équipe de Mozilla, de leur mascotte, et du blogueur Genma. Une question en tête : je veux reprendre contrôle et liberté sur mon téléphone, mais est-ce que je ne perds pas trop en « expérience utilisateur » ?

              Constat, mais on le savait : c’est une première mouture. Genma résume bien la chose :

              « Pour les fanboys, les utilisateurs avancés, on oublie. Il y a déjà les applis populaires, tu peux synchroniser ton agenda avec Gmail, mais il manque pas mal de fonctionnalités. Le copier-coller par exemple. Tout ça sera rapidement réglé avec les prochaines mises à jour. »

              Qui se veulent régulières : déjà trois versions ont été mises à disposition des constructeurs depuis le lancement il y a un an.

              L’OS est donc basique pour le moment. On n’est pas dépaysé, mais il manque encore des fonctionnalités auxquelles on s’est habitué. « Ce modèle est parfait pour un premier smartphone », assure Tristan Nitot.

              La liberté, une question de choix
              Le paramétrage en revanche est canon. On peut demander à ne pas être pisté, le GPS ne communique pas vos données si vous ne l’avez pas autorisé aux applis, ces mêmes permissions qui sont rapidement et précisément révocables. Surtout, tout est simple d’accès : on ne se noie pas comme dans les autres OS dans des menus déroulants à n’en plus finir.

              Passer sur Firefox OS est un choix encore difficile : il implique quelques sacrifices en termes de confort et d’outillage, et il est difficile de voir dans son quotidien les bénéfices tellement les systèmes de pistage se sont fondus à nos usages numériques.

              C’est donc un choix avant tout éthique, pour ne pas dire idéologique. Qu’on se le dise, mon prochain smartphone tournera sur Firefox OS​

http://rue89.nouvelobs.com/2014/09/...er-android-ios-cest-tout-quon-souhaite-254578






Panda roux ? O_O
 
pourquoi pas, firefox est a mon avis bien meilleur que l'internet explorer de krosoft, depuis de nombreuses années, plus rapide , plus stable et propose des modules complémentaire, on lui souhaite du succès sur smartphones et tablettes.
 
pourquoi pas, firefox est a mon avis bien meilleur que l'internet explorer de krosoft, depuis de nombreuses années, plus rapide , plus stable et propose des modules complémentaire, on lui souhaite du succès sur smartphones et tablettes.
Firefox marche assez bien sous Android. La on parle de remplacer Android (ou iOS) par un nouveau systeme d'operation contenu dans Firefox.
 
C'est pas gagné. Déjà que les alternatives à Android et iOS sont en train de mourir ou déjà sous-terre (WebOS, BlackBerry OS...) malgré leurs interactivités avec Android, se lancer sans application ni support matériel, c'est renverser un royaume avec une fourmi. Seul Samsung tente Tizen. Normal, ils ont les moyens.
 
C'est pas gagné. Déjà que les alternatives à Android et iOS sont en train de mourir ou déjà sous-terre (WebOS, BlackBerry OS...) malgré leurs interactivités avec Android, se lancer sans application ni support matériel, c'est renverser un royaume avec une fourmi. Seul Samsung tente Tizen. Normal, ils ont les moyens.
Moi je pense que FirefoxOS peut se faire sa place mais bien sûr il va pas détrôner IOS et Android
A écouter si vous voulez, c'est intéressant : http://standblog.org/blog/post/2014/03/06/Un-passage-a-la-radio-ici-et-maintenant
 
C'est pas gagné. Déjà que les alternatives à Android et iOS sont en train de mourir ou déjà sous-terre (WebOS, BlackBerry OS...) malgré leurs interactivités avec Android, se lancer sans application ni support matériel, c'est renverser un royaume avec une fourmi. Seul Samsung tente Tizen. Normal, ils ont les moyens.
Le probleme, c'est de creer un ecosysteme d'applications aussi grand que celui d'Android etde iOS. Meme Microsoft/Nokia n'y arrivent pas avec leur Winphones, alors pour FirefoxOS...
 
C'est pas gagné. Déjà que les alternatives à Android et iOS sont en train de mourir ou déjà sous-terre (WebOS, BlackBerry OS...) malgré leurs interactivités avec Android, se lancer sans application ni support matériel, c'est renverser un royaume avec une fourmi. Seul Samsung tente Tizen. Normal, ils ont les moyens.

En même temps c'est destiné à des smartphone d'entrée de gamme, incapable de bien faire tourner un Android.
ON peut envisager que si Firefox OS réussi à se placer sur ce segment de téléphones entre 50€ et 100€. Et qu'il grossi, attire des développeurs pour qu'il fassent des applications, La fondation Mozilla pourrait être encouragé à monter en gamme. ET à développer son OS. Mais c'est vrai que Mozilla vit en grande partie avec les subventions de Google. Difficile de dire quelle sera la réaction de ce dernier si l'OS marche.
 
Le probleme, c'est de creer un ecosysteme d'applications aussi grand que celui d'Android etde iOS. Meme Microsoft/Nokia n'y arrivent pas avec leur Winphones, alors pour FirefoxOS...

IOS n'est pas visé directement IOS c'est du haut de gamme et c'est du software et hardware vendu par la même société.

C'est surtout Android et windows phone qui sont visés. Et si un smartphone à 70 € doté d'un Firefox OS est plus fluide simple d'utilisation et moins gourmand en ressources, que ce même smartphone avec un Android ou un windows phone alors le pari est gagné pour Mozilla.
 
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