Source: La Voix du Nord
Le spécialiste russe de la lutte antivirus Kaspersky Lab a identifié une cyber-arme utilisée contre des pays tels que l'Iran, probablement au profit de l'Occident et d'Israël, un virus d'une sophistication telle qu'elle suppose le concours d'un État.
Ce logiciel malveillant, connu sous le nom de « Flame », est actuellement utilisé à des fins de « cyber-espionnage », a indiqué la société russe, l'un des premiers fabricants mondiaux d'antivirus.
Ce virus, détecté dans le cadre d'une enquête lancée par l'Union internationale de télécommunications (ITU), a un potentiel d'infiltration inégalé.
Une fois qu'un système est infecté, « Flame » commence une série complexe d'opérations, telles que des captures d'écran, des enregistrements via un micro des conversations audio, ou encore l'usage de Bluetooth pour identifier les appareils aux alentours.
Le virus est en fait un gigantesque ensemble de modules qui se déploient progressivement dans les systèmes infectés et laisse très peu d'empreintes. Pour Norton, ces attaques sont menées par « des groupes organisés, financés, qui s'attendent à ce qu'on remonte la piste. Et donc ils ont tout fait pour la brouiller ».
Sauf qu'hier le ministre israélien des Affaires stratégiques s'est clairement prononcé sur le recours à de tels virus, ce qui aliment e les spéculations sur une possible implication de son pays dans « Flame » : « Il est justifié, pour quiconque considère la menace iranienne comme significative, de prendre différentes mesures, y compris celle-là, pour la stopper », a-t-il estimé.
Le spécialiste russe de la lutte antivirus Kaspersky Lab a identifié une cyber-arme utilisée contre des pays tels que l'Iran, probablement au profit de l'Occident et d'Israël, un virus d'une sophistication telle qu'elle suppose le concours d'un État.
Ce logiciel malveillant, connu sous le nom de « Flame », est actuellement utilisé à des fins de « cyber-espionnage », a indiqué la société russe, l'un des premiers fabricants mondiaux d'antivirus.
Ce virus, détecté dans le cadre d'une enquête lancée par l'Union internationale de télécommunications (ITU), a un potentiel d'infiltration inégalé.
Une fois qu'un système est infecté, « Flame » commence une série complexe d'opérations, telles que des captures d'écran, des enregistrements via un micro des conversations audio, ou encore l'usage de Bluetooth pour identifier les appareils aux alentours.
Le virus est en fait un gigantesque ensemble de modules qui se déploient progressivement dans les systèmes infectés et laisse très peu d'empreintes. Pour Norton, ces attaques sont menées par « des groupes organisés, financés, qui s'attendent à ce qu'on remonte la piste. Et donc ils ont tout fait pour la brouiller ».
Sauf qu'hier le ministre israélien des Affaires stratégiques s'est clairement prononcé sur le recours à de tels virus, ce qui aliment e les spéculations sur une possible implication de son pays dans « Flame » : « Il est justifié, pour quiconque considère la menace iranienne comme significative, de prendre différentes mesures, y compris celle-là, pour la stopper », a-t-il estimé.