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belgika
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En novembre 2009, quand Mehdi rencontre sa future épouse, il est loin de savoir ce qui l’attend...
Après sept mois, la jeune femme s’en va et depuis, elle traîne le jeune homme devant les tribunaux tunisiens pour obtenir des pensions alimentaires pour elle et sa fille... qu’il n’a jamais vue ! Une situation que dénonce Mehdi.
Mehdi est un jeune Flémallois d’origine tunisienne.
En novembre 2009, il fait la connaissance d’une jeune femme alors qu’il assiste au mariage de son cousin.
Très vite, trop vite peut-être, les deux jeunes gens décident de se marier. « On s’est mariés en Tunisie puis, on est revenus en Belgique », explique-t-il. « Sept mois plus tard, une fois sa carte de séjour en poche, elle est partie. »
Et c’est là que le calvaire va commencer pour Mehdi, qui souhaite rendre son histoire publique afin que d’autres personnes ne tombent dans le panneau.
« Cette femme me cherche des misères », avoue-t-il. « Elle a d’abord demandé une pension alimentaire, en Tunisie.
Je devais donc lui payer 300 dinars (environ, 150 euros, n.d.l.r) chaque mois, jusqu’à ce que le divorce soit prononcé. Mais pendant quatre ans, son avocat a fait traîner la procédure et pendant quatre ans, j’ai payé !
Finalement, j’ai pris un avocat belge, et j’ai obtenu le divorce en deux mois. »
Mais ce n’est pas fini... Pendant la procédure de divorce, Mehdi va apprendre qu’il est papa d’une petite fille.
Et donc, son ex-épouse lui réclame une nouvelle pension alimentaire pour l’enfant.
Une fillette que Mehdi n’a jamais vue : il demande donc un test de paternité. « Sans avoir la moindre certitude que j’étais bien le père de cet enfant, la justice tunisienne a décidé de me condamner à payer une nouvelle pension alimentaire.
Cet argent devait être versé sur un compte en Tunisie.
Mais ma fille vit à Verviers, avec sa mère ! Cette dernière émarge au CPAS. J’ai refusé de payer cette pension en Tunisie puisque ma fille se trouve ici. »
http://www.lameuse.be/1075668/article/2014-08-10/flemalle-mehdi-vit-un-calvaire-depuis-son-mariage
Après sept mois, la jeune femme s’en va et depuis, elle traîne le jeune homme devant les tribunaux tunisiens pour obtenir des pensions alimentaires pour elle et sa fille... qu’il n’a jamais vue ! Une situation que dénonce Mehdi.
Mehdi est un jeune Flémallois d’origine tunisienne.
En novembre 2009, il fait la connaissance d’une jeune femme alors qu’il assiste au mariage de son cousin.
Très vite, trop vite peut-être, les deux jeunes gens décident de se marier. « On s’est mariés en Tunisie puis, on est revenus en Belgique », explique-t-il. « Sept mois plus tard, une fois sa carte de séjour en poche, elle est partie. »
Et c’est là que le calvaire va commencer pour Mehdi, qui souhaite rendre son histoire publique afin que d’autres personnes ne tombent dans le panneau.
« Cette femme me cherche des misères », avoue-t-il. « Elle a d’abord demandé une pension alimentaire, en Tunisie.
Je devais donc lui payer 300 dinars (environ, 150 euros, n.d.l.r) chaque mois, jusqu’à ce que le divorce soit prononcé. Mais pendant quatre ans, son avocat a fait traîner la procédure et pendant quatre ans, j’ai payé !
Finalement, j’ai pris un avocat belge, et j’ai obtenu le divorce en deux mois. »
Mais ce n’est pas fini... Pendant la procédure de divorce, Mehdi va apprendre qu’il est papa d’une petite fille.
Et donc, son ex-épouse lui réclame une nouvelle pension alimentaire pour l’enfant.
Une fillette que Mehdi n’a jamais vue : il demande donc un test de paternité. « Sans avoir la moindre certitude que j’étais bien le père de cet enfant, la justice tunisienne a décidé de me condamner à payer une nouvelle pension alimentaire.
Cet argent devait être versé sur un compte en Tunisie.
Mais ma fille vit à Verviers, avec sa mère ! Cette dernière émarge au CPAS. J’ai refusé de payer cette pension en Tunisie puisque ma fille se trouve ici. »
http://www.lameuse.be/1075668/article/2014-08-10/flemalle-mehdi-vit-un-calvaire-depuis-son-mariage