Une nouvelle fois, l’horreur a frappé la jeunesse en plein cœur, aux États-Unis, lundi 16 décembre. Peu avant 11 heures, une collégienne de l’école chrétienne Abundant Life, située à Madison, dans le Wisconsin, a ouvert le feu dans son établissement scolaire. L’adolescente, âgée de 15 ans et nommée Natalie « Samantha » Rupnow, était équipée d’une arme de poing 9 mm et a touché deux professeurs, dont un mortellement, et six collégiens, dont un mortellement. Deux adolescents se battent toujours pour leur vie.
Selon le « New York Post », une autre élève de cet établissement de 400 places a appelé le 911, le numéro des urgences aux États-Unis, et la police est arrivée « en moins de trois minutes ». Mais Natalie Rupnow avait déjà retourné son arme contre elle, se blessant mortellement, indique ABC News. L’adolescente est décédée dans l’ambulance. Sur les réseaux sociaux, un manifeste défendant des opinions « haineuses et colériques » circule en étant identifié comme lui appartenant, mais les enquêteurs refusent, pour l’heure, de s’avancer sur l'identité de son auteur.
Les enquêteurs tentent en premier lieu de comprendre comment l’adolescente de 15 ans s’est procuré son arme de poing et pour cela, ils interrogent actuellement les parents de Natalie Rupnow, qui se montrent « coopératifs ». « Pourquoi cela s’est-il produit ? Que savons-nous ? Quelle était la motivation ? Je ne le sais pas. Mais je peux vous dire une chose
parismatch
Selon le « New York Post », une autre élève de cet établissement de 400 places a appelé le 911, le numéro des urgences aux États-Unis, et la police est arrivée « en moins de trois minutes ». Mais Natalie Rupnow avait déjà retourné son arme contre elle, se blessant mortellement, indique ABC News. L’adolescente est décédée dans l’ambulance. Sur les réseaux sociaux, un manifeste défendant des opinions « haineuses et colériques » circule en étant identifié comme lui appartenant, mais les enquêteurs refusent, pour l’heure, de s’avancer sur l'identité de son auteur.
Les enquêteurs tentent en premier lieu de comprendre comment l’adolescente de 15 ans s’est procuré son arme de poing et pour cela, ils interrogent actuellement les parents de Natalie Rupnow, qui se montrent « coopératifs ». « Pourquoi cela s’est-il produit ? Que savons-nous ? Quelle était la motivation ? Je ne le sais pas. Mais je peux vous dire une chose
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