Gaz de schiste : la france va explorer en algérie

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Un accord permettant d'expérimenter une alternative à la fracturation hydraulique sur le territoire algérien sera signé.

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a fait quelques confidences jeudi matin à un petit nombre de journalistes. Dans ses propos, une information : la France et l'Algérie vont prochainement signer un accord permettant des recherches françaises sur le territoire algérien dans le domaine de l'exploitation des gaz de schiste.

On sait le sujet sensible et capable de fâcher tout rouge l'allié écologiste. Les quelques permis d'exploitation à des fins de recherche délivrés sur le territoire national sont en effet considérés par les Verts comme des chevaux de Troie, prélude à l'exploitation tout court. Mais le gouvernement ne renonce pas à l'idée d'un mode d'exploitation moins dangereux pour l'environnement que la fracturation hydraulique, le seul disponible actuellement. C'est donc en Algérie que ces recherches seront menées. Les Algériens, eux, ne risquent pas de râler.

http://www.lepoint.fr/confidentiels...xplorer-en-algerie-20-12-2012-1604170_785.php
 
Aucune considération aux citoyens algériens qui protestent depuis 2 semaines contre ce désastre écologique !! Les réserves d eau qui peuvent sauver les générations futures seront polluer !! Un crime contre la nature et les citoyens !
Le gouvernement français a une double responsabilité : morale et technique !
Le gouvernement algérien est cupide tout court !
 
Panam a dit:
Aucune considération aux citoyens algériens qui protestent depuis 2 semaines contre ce désastre écologique !! Les réserves d eau qui peuvent sauver les générations futures seront polluer !! Un crime contre la nature et les citoyens !
Le gouvernement français a une double responsabilité : morale et technique !
Le gouvernement algérien est cupide tout court !
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le 1er ministre y prepare les algeriens .:http://www.algerie-focus.com/blog/2...drocarbures-ne-suffiront-pas-au-dela-de-2027/
 
Avant tout commentaire il faut d'abord lire et comprendre .

Un accord permettant d'expérimenter une alternative à la fracturation hydraulique sur le territoire algérien
 
Que il l'exploite d'abors a paris pour voir quel effet ca fait de pollué le continent africain, l'algerie a son petrole et son gaz, ce projet de gaz de shiste ,
N'est pas interessant du tout sur le plan ecologique et economique.
 
TerneT a dit:
A mon avis...a quoi sert experimenter qui coutera de l argent?
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sauf que l'Algerie en aura grandement besoin à l'avenir !ses puits de petrole et de gaz naturels s'epuisent et ne produisent déja plus autant qu'avant .et le 1er ministre algerien l'a officiellement annoncé:Sellal à la télévision algérienne : “Nos réserves nationales d’hydrocarbures ne suffiront pas au-delà de 2037″


http://www.algerie-focus.com/blog/2...drocarbures-ne-suffiront-pas-au-dela-de-2027/
(il y a 2 dates , dans le titre 2037, dans le lien 2027 ,je ne sais pas laquelle est juste

et puis Amar Saâdani vient d'ajouter une explication que les algeriens viennent de decouvrir !

Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, s’exprimait sur la révision de la Constitution : « C’est en bonne voie, déclare-t-il dans cette vidéo, le président travaille dessus et la nouvelle Constitution arrivera au moment opportun ».

Puis d’ajouter que « la ressource essentielle du peuple, le sud du pays, a été marginalisé durant des années. Quelle est l’importance du sud ? L’Histoire nous l’enseigne : la France nous a donné l’indépendance mais en nous disant : « laissez-moi le sud » ! »



 
thitrite a dit:
Un accord permettant d'expérimenter une alternative à la fracturation hydraulique sur le territoire algérien sera signé.

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a fait quelques confidences jeudi matin à un petit nombre de journalistes. Dans ses propos, une information : la France et l'Algérie vont prochainement signer un accord permettant des recherches françaises sur le territoire algérien dans le domaine de l'exploitation des gaz de schiste.

On sait le sujet sensible et capable de fâcher tout rouge l'allié écologiste. Les quelques permis d'exploitation à des fins de recherche délivrés sur le territoire national sont en effet considérés par les Verts comme des chevaux de Troie, prélude à l'exploitation tout court. Mais le gouvernement ne renonce pas à l'idée d'un mode d'exploitation moins dangereux pour l'environnement que la fracturation hydraulique, le seul disponible actuellement. C'est donc en Algérie que ces recherches seront menées. Les Algériens, eux, ne risquent pas de râler.

http://www.lepoint.fr/confidentiels...xplorer-en-algerie-20-12-2012-1604170_785.php
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Dommage. En l'exploitant directement sur notre sol, notre indépendance nationale serait d'autant mieux préservée, et les emplois seraient créés en France !
 
thitrite a dit:
si la France ne le fait pas sur son sol , c'est qu'elle en connait les risques !
@lire:Exploitation des gaz de schiste en Algérie ou la destruction de son avenir social et économique.
http://www.mondialisation.ca/exploi...on-de-son-avenir-social-et-economique/5383829
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C'est surtout que la majorité, dont les appuis politiques sont de plus en plus minces, doit se laisser dicter son comportement par certains alliés, parmi lesquels quelques sectaires écologistes.
 
ecarlate a dit:
Avant tout commentaire il faut d'abord lire et comprendre .

Un accord permettant d'expérimenter une alternative à la fracturation hydraulique sur le territoire algérien
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Pour le nucléaire aussi ce n'était que de l'expérimentation.

T'es vraiment taré de croire que l'expérimentation n'a pas de conséquences sur la nature surtout que ces expériences doivent durer entre 5 et 7 ans.
 
Saytham a dit:
C'est surtout que la majorité, dont les appuis politiques sont de plus en plus minces, doit se laisser dicter son comportement par certains alliés, parmi lesquels quelques sectaires écologistes.
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quel qu'en soient les causes ,l'essentiel c'est qu' elle ne le fait pas sur son territoire,mais sur le territoire des autres .
 
roukii a dit:
L'Algérie vers un moratoire sur le gaz de schiste:
http://www.lemonde.fr/afrique/artic...toire-sur-le-gaz-de-schiste_4560467_3212.html

Bon les sources ne sont pas citées nommément, mais comme quoi on peut lire tout et son contraire.
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De toute façon on s'en fou que les français fassent de l'Algérie leur terrains d'expérimentation. C'est même préférable que ça se passe en Algérie ainsi on profitera de ce retour d'expérience pour qu'en 2030 ou 2040 nous puissions exploiter au mieux nos réserves en gaz de schiste qui sont considérés comme étant les 6èmes au monde.
 
thitrite a dit:
la France n'a jamais eu un goût prononcé pour le bénévolat non plus !tkt
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Certes ! Mais le travailleur français n'en profitera pas, et nous courrons toujours le risque d'une nationalisation algérienne.

J'aurais préféré que la France exploite le gaz de schiste sur son propre sol, quitte à aider par ailleurs (sans le financer) un programme national algérien.

Mais bon, ce qui es fait est fait, I guess...
 
Saytham a dit:
Certes ! Mais le travailleur français n'en profitera pas, et nous courrons toujours le risque d'une nationalisation algérienne.

J'aurais préféré que la France exploite le gaz de schiste sur son propre sol, quitte à aider par ailleurs (sans le financer) un programme national algérien.

Mais bon, ce qui es fait est fait, I guess...
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Ne t'en fait pas pour la France. Elle est capable d'exploiter du gaz de schiste tout en le finançant avec de l'argent algérien, comme ça été le cas de l'usine Renault d'Oran.
 
Exploitation du gaz du schiste en Algérie
La protestation gagne plusieurs villes du pays

La mobilisation contre l'exploitation du gaz du schiste en Algérie se poursuit avec l'organisation samedi de plusieurs actions de contestation contre ce projet, rapportent les médias locaux.

A Ouargla à 800 km au sud-est d'Alger, «des dizaines de personnes « ont observé un sit-in «pacifique» pour réclamer l'arrêt du projet d'exploitation du gaz non conventionnel, selon l'APS.

Un autre rassemblement a eu lieu dans la commune de Metlili à Ghardaia (600 km au sud d'Alger) où une centaine de citoyens ont dénoncé le projet d'exploitation du gaz non conventionnel à In-Salah où a été inauguré un puits pilote, ajoute la même source. Un rassemblement similaire a eu lieu à Batna (Est).

A In Salah, berceau de la protestation qui entame son deuxième mois de soulèvement, plusieurs centaines de personnes ont mis en avant «les risques du projet sur l'environnement et la santé humaine, liées à l'usage des produits chimiques durant la phase d'exploitation de cette énergie», indique l'Agence, faisant savoir que «des discussions sont prévues cette semaine» dans la capitale entre une délégation de la population de cette ville et les pouvoirs publics.

Pour sa part, le journal «El Watan» rapporte, dans sa version électronique, que des habitants de cette même cité ont intercepté vendredi un convoi de camions «banalisés» destiné à la fracturation hydraulique au niveau du puits de gaz de schiste à Dar Lahmar.

Ces manifestations interviennent quelques jours après l'intervention du président Abdelaziz Bouteflika, lors d'un conseil de ministres, au cours duquel il a rassuré que les forages pilote seront «achevés à brève échéance» et que l'exploitation proprement dite «n'est pas encore à l'ordre du jour».

En plus des craintes relatives aux effets néfastes tant sur la santé publique utilisation de certains fluides chimiques décrits comme cancérigènes- que l'environnement (nappes phréatiques), les populations du Sud, qui ont entamé leur protestation fin décembre, sont particulièrement inquiètes de l'impact du gaz de schiste sur les rares ressources hydriques de leur région.

Un forage de schiste nécessite des quantités d'eau encore plus grandes qu'un puits classique.

Or, la région est très pauvre en cette matière vitale et dépend exclusivement des eaux souterraines.
Elle serait exposée à un stress hydrique aigu, au cas où Sonatrach met à exécution ses plans de 200 forages par an pour une production de 20 milliards M3 de gaz.

Pour compenser la baisse drastique des prix du pétrole, l'Algérie compte investir dans le gaz du schiste en dépit de l'opposition des populations, des experts et des écologistes.

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mam
 
Les tunisiens doivent aussi manifester car ils partagent la nappe phréatique de l'Albien avec l'Algérie. Et si elle est contaminé en Algérie, il y'a grand risque qu'elle le soit aussi en Tunisie.
 
La fuite en avant est une parque algérienne. Et comme disait un analyste marocain, il faut faire très attention à cet esprit de fuite ne avant qui peut mener facilement vers la politique de la terre brûlée du pouvoir algérien au moment où il sentira qu'il a perdu la bataille. Ceci peut avoir de grandes répercussions sécuritaires.
 
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