Un mois s’est écoulé depuis la dernière rentrée estudiantine …
Gai, gai l’écolier … c’est toujours les vacances, finis les devoirs, les cahiers et les récrés …
Le boycott est toujours là, même si les élections amèrement encaissées par les fauteurs de trouble électoral sont dépassées.
M. Daoudi peut être heureux de s’être démarqué en Don Quichotte allant contre vents et marées à contre-courant de l’évolution: il généralise là où ailleurs on spécialise, il dilue l’excellent dans le passable, il dissous l’ENSA pour en faire de simples Polytechniques, au nom ronronnant mais au niveau nul …
Des vents qui l’emporteront pour le déposer sur un séant strapontin au parlement ..
Il a choisi et décidé de mélanger les bons, aux bonnes notes, avec les médiocres, tout-venant, en nivelant par le bas …
C’est la Loi du moindre effort, l’éducation en masse des « ingénieurs », la primauté du quantitatif sur le qualitatif, des considérations budgétaires, des contraintes d’équipements, d'effectifs de techniciens "moyennés" à mettre au service de multinationales, sur le savoir prenant à contre-pied Montaigne, une tête bien pleine (d’inutile ou de commun) plutôt que bien faite, comme si l’on ne pouvait pas trouver un autre moyen de partager et mettre en commun des équipements et des ressources entre différentes écoles, instituts ou établissements …
La paix estudiantine ne se négocie pas, elle s’instaure dans le respect et s’impose par la charge de travail : plus le programme est chargé, poussé et pointu, moins on a le temps de s’ennuyer, de se tourner les pouces ou de chercher des noises …
Restera les littéraires, les philosophes qui débattront toujours du sexe des anges …
Bref, une loi ou un projet de loi, n’a pas d’effet rétroactif et n’entrera en vigueur que, au cas où le malheureux projet est maintenu, dans les années à venir.
En attendant un « boycott » du « zèle », un brassard de boycott, un badge arboré, un signe distinctif serait plus expressif de l’état d’esprit des élèves ingénieurs et plus approprié, tout en autorisant la poursuite des cours et des études …
Il semblerait que le Chef du Gouvernement ait assuré que la validité du diplôme restera ce qu’elle a été ?
En attendant la nomination d’un nouveau ministre capable de prendre des décisions par arrêté, il serait judicieux de reprendre les cours et de ne plus perdre de temps …
Enfin, il faudrait inciter les écoles au culte du mérite et de l'espoir, à l'émulation, à la concurrence, à l'excellence les différenciant ...
Gai, gai l’écolier … c’est toujours les vacances, finis les devoirs, les cahiers et les récrés …
Le boycott est toujours là, même si les élections amèrement encaissées par les fauteurs de trouble électoral sont dépassées.
M. Daoudi peut être heureux de s’être démarqué en Don Quichotte allant contre vents et marées à contre-courant de l’évolution: il généralise là où ailleurs on spécialise, il dilue l’excellent dans le passable, il dissous l’ENSA pour en faire de simples Polytechniques, au nom ronronnant mais au niveau nul …
Des vents qui l’emporteront pour le déposer sur un séant strapontin au parlement ..
Il a choisi et décidé de mélanger les bons, aux bonnes notes, avec les médiocres, tout-venant, en nivelant par le bas …
C’est la Loi du moindre effort, l’éducation en masse des « ingénieurs », la primauté du quantitatif sur le qualitatif, des considérations budgétaires, des contraintes d’équipements, d'effectifs de techniciens "moyennés" à mettre au service de multinationales, sur le savoir prenant à contre-pied Montaigne, une tête bien pleine (d’inutile ou de commun) plutôt que bien faite, comme si l’on ne pouvait pas trouver un autre moyen de partager et mettre en commun des équipements et des ressources entre différentes écoles, instituts ou établissements …
La paix estudiantine ne se négocie pas, elle s’instaure dans le respect et s’impose par la charge de travail : plus le programme est chargé, poussé et pointu, moins on a le temps de s’ennuyer, de se tourner les pouces ou de chercher des noises …
Restera les littéraires, les philosophes qui débattront toujours du sexe des anges …
Bref, une loi ou un projet de loi, n’a pas d’effet rétroactif et n’entrera en vigueur que, au cas où le malheureux projet est maintenu, dans les années à venir.
En attendant un « boycott » du « zèle », un brassard de boycott, un badge arboré, un signe distinctif serait plus expressif de l’état d’esprit des élèves ingénieurs et plus approprié, tout en autorisant la poursuite des cours et des études …
Il semblerait que le Chef du Gouvernement ait assuré que la validité du diplôme restera ce qu’elle a été ?
En attendant la nomination d’un nouveau ministre capable de prendre des décisions par arrêté, il serait judicieux de reprendre les cours et de ne plus perdre de temps …
Enfin, il faudrait inciter les écoles au culte du mérite et de l'espoir, à l'émulation, à la concurrence, à l'excellence les différenciant ...