Pour Eurosport, Eric Gerets est revenu sur les prochaines échéances cruciales pour les Lions de lAtlas face à la Gambie puis la Côte dIvoire, les 5 et 9 juins prochains.
Le Lion de Rekem est conscient que ces deux prochains rendez-vous sont déterminants pour son avenir à la tête de léquipe nationale.« Dans la vie dun entraîneur, tu ne sais jamais ce qui se passe demain. Il vaut mieux ne pas faire de projets. Si je gagne mes deux matchs en juin, je suis le roi. Si je les perds, je suis le plus grand idiot. Donc tout dépend un peu des résultats... Mais on ne sait jamais », a confié le technicien belge.
a priori cette declaration est ordinaire, mais en lisant entre les lignes on comprend que Gerets se moque des supporters marocains et fait allusion que nous sommes un peuple qui n y connait rien au foot , versatiles et hypocrites selon les résultats: si l equipe gagne , gerets est porté sur les epaules, s il perd , on le descend en flammes et on le traite de tous les noms...sauf qu 'il oublie une chose essentielle: les marocains aiment le beau jeu et la combattivité quelque soit le résultat final, et non ces piétres prestations qui sentent l anarchie tactique et l 'odeur acre de la chicha ..
en plus du fric marocain, ce vieux flamand ose nous narguer..
lamentable...
Le Lion de Rekem est conscient que ces deux prochains rendez-vous sont déterminants pour son avenir à la tête de léquipe nationale.« Dans la vie dun entraîneur, tu ne sais jamais ce qui se passe demain. Il vaut mieux ne pas faire de projets. Si je gagne mes deux matchs en juin, je suis le roi. Si je les perds, je suis le plus grand idiot. Donc tout dépend un peu des résultats... Mais on ne sait jamais », a confié le technicien belge.
a priori cette declaration est ordinaire, mais en lisant entre les lignes on comprend que Gerets se moque des supporters marocains et fait allusion que nous sommes un peuple qui n y connait rien au foot , versatiles et hypocrites selon les résultats: si l equipe gagne , gerets est porté sur les epaules, s il perd , on le descend en flammes et on le traite de tous les noms...sauf qu 'il oublie une chose essentielle: les marocains aiment le beau jeu et la combattivité quelque soit le résultat final, et non ces piétres prestations qui sentent l anarchie tactique et l 'odeur acre de la chicha ..
en plus du fric marocain, ce vieux flamand ose nous narguer..
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