Casablanca la plus touchée par le débrayage : La grève des transporteurs chamboule la circulation
"Pour un trajet de 45 min, j'ai mis plus de trois heures aujourd'hui'', déplore Soufiane (27 ans) qui a vécu ce matin une vraie galère dans les autobus de la métropole.
Galère et alternatives
"Si la grève continue demain, je passe la nuit au bureau plutôt que subir la même chose'', ajoute cet ingénieur en informatique d'une entreprise casablancaise.
Des millions de marocains se sont réveillés lundi, confrontés à une grève des transporteurs (petits et grands taxis, camions de transport et autocars de voyageurs) menée par 27 syndicats et associations du secteur.
A Casablanca le chaos règne dans les stations de bus, sur lesquelles se sont rabattus les usagers. La grève est une aubaine pour les transporteurs clandestins, une alternative efficace. Disparues depuis une dizaine d'années, les charrettes ont fait leur retour à Bernoussi.
Les plus chanceux ont fait appel à un ami motorisé pour les rapprocher de leur lieu de travail.
Manifestement, la grève pas trop ressentie au centre ville, cogne par contre très fort dans les quartiers périphériques de la métropole. Les arrêts de bus se sont transformés en rassemblement de foules frustrées et impatientes d'arrêter les autobus qui passaient sans s'arrêter, bondés de monde.
"Un homme s'est fait écraser le pied par une roue de bus, il n'en pouvait plus d'attendre, il a voulu l'arrêter de force..." nous raconte Soufiane.
Alors les bladinautes qui prennent les transports vous vous en sortez comment
Vous savez quand ils vont reprendre du service ?
"Pour un trajet de 45 min, j'ai mis plus de trois heures aujourd'hui'', déplore Soufiane (27 ans) qui a vécu ce matin une vraie galère dans les autobus de la métropole.
Galère et alternatives
"Si la grève continue demain, je passe la nuit au bureau plutôt que subir la même chose'', ajoute cet ingénieur en informatique d'une entreprise casablancaise.
Des millions de marocains se sont réveillés lundi, confrontés à une grève des transporteurs (petits et grands taxis, camions de transport et autocars de voyageurs) menée par 27 syndicats et associations du secteur.
A Casablanca le chaos règne dans les stations de bus, sur lesquelles se sont rabattus les usagers. La grève est une aubaine pour les transporteurs clandestins, une alternative efficace. Disparues depuis une dizaine d'années, les charrettes ont fait leur retour à Bernoussi.
Les plus chanceux ont fait appel à un ami motorisé pour les rapprocher de leur lieu de travail.
Manifestement, la grève pas trop ressentie au centre ville, cogne par contre très fort dans les quartiers périphériques de la métropole. Les arrêts de bus se sont transformés en rassemblement de foules frustrées et impatientes d'arrêter les autobus qui passaient sans s'arrêter, bondés de monde.
"Un homme s'est fait écraser le pied par une roue de bus, il n'en pouvait plus d'attendre, il a voulu l'arrêter de force..." nous raconte Soufiane.
Alors les bladinautes qui prennent les transports vous vous en sortez comment
Vous savez quand ils vont reprendre du service ?