Depuis le début de la guerre, l'Otan a renforcé sa présence militaire dans ce pays qui partage une frontière avec la Russie. De nombreuses troupes françaises détachées auprès de l'alliance militaire s'y entraînent.
Dans ce paysage de taïga gelée, on se prépare à l'attaque dans une longue forêt estonienne à quelque 130 km de la frontière russe. Un blindé fait un mouvement vers la position du caporal-chef Camille, du groupement commando de montagne. Il a repéré quelque chose, donne rapidement ses consignes et "feu !", ordonne-t-il. Mais le missile antichar Eryx ne partira pas. Ici, il s'agit simplement d'un exercice : l'invasion russe de l'Estonie n'est que simulée, mais avec un certain degré de réalisme.
Dans ce paysage de taïga gelée, on se prépare à l'attaque dans une longue forêt estonienne à quelque 130 km de la frontière russe, en février 2023. (Eric Biegala / Radio France)
Plus loin dans la forêt, les tirs en rafale se succèdent – à blanc. Le groupe commando est à l'attaque. À quelques kilomètres de là, caché sous ses filets de camouflage, le lieutenant-colonel Jean-Philippe est dans le poste de commandement : "Nous suivons actuellement en temps réel ce que ces unités de commandos font sur le terrain. Les commandos peuvent demander un appui d'artillerie des forces américaines qui nous appuient."
Dans ce paysage de taïga gelée, on se prépare à l'attaque dans une longue forêt estonienne à quelque 130 km de la frontière russe. Un blindé fait un mouvement vers la position du caporal-chef Camille, du groupement commando de montagne. Il a repéré quelque chose, donne rapidement ses consignes et "feu !", ordonne-t-il. Mais le missile antichar Eryx ne partira pas. Ici, il s'agit simplement d'un exercice : l'invasion russe de l'Estonie n'est que simulée, mais avec un certain degré de réalisme.
Plus loin dans la forêt, les tirs en rafale se succèdent – à blanc. Le groupe commando est à l'attaque. À quelques kilomètres de là, caché sous ses filets de camouflage, le lieutenant-colonel Jean-Philippe est dans le poste de commandement : "Nous suivons actuellement en temps réel ce que ces unités de commandos font sur le terrain. Les commandos peuvent demander un appui d'artillerie des forces américaines qui nous appuient."