Guerres et misères des peuples : la véritable conspiration est financière

[Hibou57]

Azul fellawan wa assalam 3alikom,

Je vous invite à découvrir un reportage instructif (que j'ai découvert sur un forum Amazight, .. merci à Amoqran au passage).

Un résumé et des questions...

Le résumé : cette vidéo explique que la plupart des gouvernements n'ont qu'un pouvoir virtuel, et que le véritable pouvoir est détenu par ceux qui contrôle la valeur de l'argent. On y découvre des hypothèses (fondements à l'appui) qui suspecte le principale groupe d'influance financier d'être à l'origine des trois principales catastrophe du monde contemporain : les deux guerres mondiale et la crise du jeudi noir à Wall Street (dont l'origine remonte à 1921)

Les questions : comme toujours, il est bon de débattre, surtout lorsque les accusation (que personellement je ne conteste pas), sont si graves. Donc des personnes peuvent amener des pièces à décharge ou des pièces à décharge, elles sont les trés bien venu... sans débat préalable, il ne sera pas possible de prendre cette vidéo au sérieux... quelque soit sa crédibilité.

Étape préliminaire au débat et à la discussion : la consultation de cette vidéo (préparer vous une petite théière... car la vidéo dure 45 minutes)

[dm]xryjf[/dm]

Maintenant, place à la discussion ....

 

[Hibou57]

Est-ce que des gens ont visionné la vidéo ? Est-ce que ce qui y est exposé vous semble crédible ? Si oui : pourquoi ? Si non : pourquoi ?

Une idée de question : la démocratie s'applique à la plupart des pouvoirs politiques, mais ne s'applique jamais aux pouvoir financiers : quels commentaires peut-on faire à ce sujet ?

Certains pouvoirs politiques ne sont pas assujetits à la démocratie (les monarchies), mais fonctionnent tout de même relativement bien : pensez-vous que ces systèmes politiques sont de nature divergente ou similaire à celle des pouvoirs économiques ? (dans leurs relations aux populations)

Pensez vous que économie et démocratie sont compatibles ? Si oui : pourquoi ? Si non : pourquoi ?

Les lois moderne, bien qu'autorisant l'exploitation des resources naturelles, en conditionnent les usages ; par exemple : on peut utiliser l'eau d'une rivière, mais on ne peut pas être propriétaire d'une rivière et y faire n'importe quoi. Pensez-vous qu'un tel principe serait applicable aux flux financiers ? Serait-ce un avantage ou un handicape pour l'économie ?

L'argent est-il comparable à une resource naturelle collective ? Si oui : dans quelle mesure ? Si non : dans quelle mesure ?

Étant donné les pouvoirs financiers, le pouvoir démocratique qui s'applique à la politique est-il pertinant ou non-pertinant ? Est-il globalement conscéquent ou est-il non-conscéquent ? Dans quelles mesures ?

Est-il utile de discuter de ces questions ? Si oui : pourquoi ? Si non : pourquoi ?

 

[alyasa]

Azul fellawan wa assalam 3alikom,

Je vous invite à découvrir un reportage instructif (que j'ai découvert sur un forum Amazight, .. merci à Amoqran au passage).

Un résumé et des questions...

Le résumé : cette vidéo explique que la plupart des gouvernements n'ont qu'un pouvoir virtuel, et que le véritable pouvoir est détenu par ceux qui contrôle la valeur de l'argent. On y découvre des hypothèses (fondements à l'appui) qui suspecte le principale groupe d'influance financier d'être à l'origine des trois principales catastrophe du monde contemporain : les deux guerres mondiale et la crise du jeudi noir à Wall Street (dont l'origine remonte à 1921)

Les questions : comme toujours, il est bon de débattre, surtout lorsque les accusation (que personellement je ne conteste pas), sont si graves. Donc des personnes peuvent amener des pièces à décharge ou des pièces à décharge, elles sont les trés bien venu... sans débat préalable, il ne sera pas possible de prendre cette vidéo au sérieux... quelque soit sa crédibilité.

Étape préliminaire au débat et à la discussion : la consultation de cette vidéo (préparer vous une petite théière... car la vidéo dure 45 minutes)

[dm]xryjf[/dm]

Maintenant, place à la discussion ....

Oui ce dont je t'ai parlé, en fait partie aussi.