Salem Alaycom,
Je présume que ce sujet a été abordé maintes fois, ici comme ailleurs, mais peut-être pas de l’angle duquel je souhaite le présenter.
En effet, cette interrogation/ expérience ne portent pas sur le jugement ou les recommandations de l’Islam pour remédier à cette pratique considérée majoritairement illicite (malgré l’absence de textes mesurant la gravité du-dit péché) mais plutôt sur un cas particulier, celui d’une personne pratiquante qui est dans l’incapacité de se marier (pour des raisons personnelles). Elle cherche délibérément une excuse fondée pour libérer cette pression sans que cela ne se suit pas de remords ou que ce péché ne soit irréparable/ compensable. Elle pense pouvoir « pratiquer » (même si le mot est un peu fort) cela sans pensées d’ordre sexuel ou d’avoir recours à des images/ vidéos ou autres stimulants qui puissent aggravera ce péché, cela suppose que cette pratique soit purement physique avec une fréquence et une durée réduites au maximum.
L’Islam recommande le jeûne mais cette envie n’est pas toujours prévisible, et étant donnée la perspective longtermiste de la situation (absence de mariage) le moral risque d’être mis à mal.
Ce post cherche simplement à recueillir des expériences/ opinions objectives ou subjectives, souples ou radicales, emphatiques ou moqueuses .. vous êtes libres de juste partager !
Je présume que ce sujet a été abordé maintes fois, ici comme ailleurs, mais peut-être pas de l’angle duquel je souhaite le présenter.
En effet, cette interrogation/ expérience ne portent pas sur le jugement ou les recommandations de l’Islam pour remédier à cette pratique considérée majoritairement illicite (malgré l’absence de textes mesurant la gravité du-dit péché) mais plutôt sur un cas particulier, celui d’une personne pratiquante qui est dans l’incapacité de se marier (pour des raisons personnelles). Elle cherche délibérément une excuse fondée pour libérer cette pression sans que cela ne se suit pas de remords ou que ce péché ne soit irréparable/ compensable. Elle pense pouvoir « pratiquer » (même si le mot est un peu fort) cela sans pensées d’ordre sexuel ou d’avoir recours à des images/ vidéos ou autres stimulants qui puissent aggravera ce péché, cela suppose que cette pratique soit purement physique avec une fréquence et une durée réduites au maximum.
L’Islam recommande le jeûne mais cette envie n’est pas toujours prévisible, et étant donnée la perspective longtermiste de la situation (absence de mariage) le moral risque d’être mis à mal.
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