salam
Phonétique :
Allâhu là ilâha illâ huwa al-hayyu al-qayyûmu, là ta'huduhu sinatun wa là nawmun lahu mâ fi assamâwâti wa mâ fi al-ardi, man dâ al-ladï yasfa`u `indahu illà bi-idnihi ya`lamu mâ bayna `aydihim wa mà halfahum wa là yuhitûna bi-Say'in min `ilmihi `illâ bimâ sâ'a wasi`a kursiyyuhu as-samâwâti wa al-arda wa là ya'ûduhu hifzuhumâ wa huwa al-aliyyu al-'azim
Traduction :
Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même "al-Qayyûm". Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n'embrassent que ce qu'Il veut. Son Trône «Kursi » déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.
L'Imâm As-Suyûtî a compilé Quarante Hadîth sur les mérites du verset du Trône, nous présentons ici les 15 mérites en deux parties Inchallah. Allah nous suffit et Il est le Meilleur Garant.
1 - Premier mérite :
C’est le plus grand verset du Coran. Ubay Ibn Ka’b (Radia Allah ‘anh) a rapporté ceci : « Le Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) m’a demandé : Quel est le plus grand verset du Livre de Dieu ? J’ai répondu : Dieu et Son Messager le savent mieux que quiconque. Il a répété sa question plusieurs fois. J’ai répondu finalement : C’est le verset du Trône. Il m’a dit alors : Félicitations pour ta science, Ô Abul Mundhir ! Par Celui qui détient le sort de mon âme, ce verset possède une langue et deux lèvres qui sanctifient le Roi au pied du Trône. » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal dont nous suivons ici sa propre version et par Muslim, Abû Dawûd, Ibn adh-Dharis, Al-Harawî et Al-Hakîm.
2 - Deuxième mérite :
Ce verset protège des Djinn, du matin au soir, et du soir au matin, celui qui le récite. Le même ‘Ubay (Radia Allah ‘anh) a rapporté également qu’il avait un gros récipient rempli de dattes qu’il surveillait de temps a autre. Constatant que la quantité de datte avait diminué, il s’est mis un soir à surveiller l’endroit. Tout d’un coup, il vit apparaître une bête ayant la taille d’un jeune adolescent. Ubay poursuit alors son récit en disant : J’ai salué et cette bête a rendu la salutation. J’ai dit : Qui es-tu ? Es-tu un Djinn ou un humain ? Elle m’a dit : Un Djinn. J’ai dit : Fais voir ta main. Elle me l’a tendue, et j’ai constaté que sa main était des poils de chien. J’ai dit : Est-ce ainsi que les Djinn sont crées ?
La bête m’a dit : Les Djinns savent qu’il n’y a pas parmi eux plus terrible que moi. J’ai dit : Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? La bête répondit : On m’a rapporté que tu es un homme qui aime faire l’aumône. Aussi avons-nous voulu toucher à ta nourriture. J’ai dit : Qu’est-ce qui nous protège de vous ? La bête répondit : C’est Ayatu Al-Kursî que se trouve dans la Surate l-Baqara (La vache).
Celui qui le récite le soir est protège de nous jusqu’au matin, et celui qui le récite en se réveillant le matin est protège de nous jusqu’au soir.
Le lendemain, matin Ubay rapporta cet épisode au Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) qui lui a dit ceci : «Ce Djinn dit vrai, le pervers, bien qu’il soit un menteur. » (Recensé par An-Nassâ°î, Abû Y’alâ, Ibn Hibbân, Abu l-Shaykh, Tabarânî, Al-Hakîm, Abû Nu’aym et bayhaqî)
3 -Troisième mérite :
Ce verset, ainsi que la Sourate Liminaire (al-Fâtiha) et deux versets de la Sourate âli ‘Imrân (la Famille de ‘Imrân), sont accrochés au Trône divin.
Tout homme qui récite ces versets reçoit une immense récompense. Al-Hassan Al-Bassarî (Radia Allah ‘anh) rapporte cette tradition en la faisant remonter directement au Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam): «L’Envoyé de Dieu (Salla Allah ‘alih wa Salam) a dit : « On m’a donné la Sourate Al-Fatiha (La Liminaire), le verset du Trône (Ayatu l-Kursî) et les deux versets 18 et 26 de la sourate âl ‘Imarân (La Famille de ‘Imrân). Ces versets sont agrippés au Trône divin et disent : « Seigneur ! Tu nous fais descendre sur Terre vers celui qui Te désobéit ? Dieu leur dit : Je vous ai conçus en sorte que chaque fois que l’un de Mes serviteurs vous récite a la fin de chaque prière, Je lui donne le Paradis comme lieu de séjour, Je l’installe dans la Demeure Sacro-sainte, Je le regarde chaque jour soixante-dix fois avec Mon œil, Je satisfais chaque jour pour lui soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon, Je le fais triompher de tous ses ennemis et Je le protège contre eux» Cette tradition est recensée par Ibn al-Sani et Al-Shahami.
Phonétique :
Allâhu là ilâha illâ huwa al-hayyu al-qayyûmu, là ta'huduhu sinatun wa là nawmun lahu mâ fi assamâwâti wa mâ fi al-ardi, man dâ al-ladï yasfa`u `indahu illà bi-idnihi ya`lamu mâ bayna `aydihim wa mà halfahum wa là yuhitûna bi-Say'in min `ilmihi `illâ bimâ sâ'a wasi`a kursiyyuhu as-samâwâti wa al-arda wa là ya'ûduhu hifzuhumâ wa huwa al-aliyyu al-'azim
Traduction :
Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même "al-Qayyûm". Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n'embrassent que ce qu'Il veut. Son Trône «Kursi » déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.
L'Imâm As-Suyûtî a compilé Quarante Hadîth sur les mérites du verset du Trône, nous présentons ici les 15 mérites en deux parties Inchallah. Allah nous suffit et Il est le Meilleur Garant.
1 - Premier mérite :
C’est le plus grand verset du Coran. Ubay Ibn Ka’b (Radia Allah ‘anh) a rapporté ceci : « Le Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) m’a demandé : Quel est le plus grand verset du Livre de Dieu ? J’ai répondu : Dieu et Son Messager le savent mieux que quiconque. Il a répété sa question plusieurs fois. J’ai répondu finalement : C’est le verset du Trône. Il m’a dit alors : Félicitations pour ta science, Ô Abul Mundhir ! Par Celui qui détient le sort de mon âme, ce verset possède une langue et deux lèvres qui sanctifient le Roi au pied du Trône. » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal dont nous suivons ici sa propre version et par Muslim, Abû Dawûd, Ibn adh-Dharis, Al-Harawî et Al-Hakîm.
2 - Deuxième mérite :
Ce verset protège des Djinn, du matin au soir, et du soir au matin, celui qui le récite. Le même ‘Ubay (Radia Allah ‘anh) a rapporté également qu’il avait un gros récipient rempli de dattes qu’il surveillait de temps a autre. Constatant que la quantité de datte avait diminué, il s’est mis un soir à surveiller l’endroit. Tout d’un coup, il vit apparaître une bête ayant la taille d’un jeune adolescent. Ubay poursuit alors son récit en disant : J’ai salué et cette bête a rendu la salutation. J’ai dit : Qui es-tu ? Es-tu un Djinn ou un humain ? Elle m’a dit : Un Djinn. J’ai dit : Fais voir ta main. Elle me l’a tendue, et j’ai constaté que sa main était des poils de chien. J’ai dit : Est-ce ainsi que les Djinn sont crées ?
La bête m’a dit : Les Djinns savent qu’il n’y a pas parmi eux plus terrible que moi. J’ai dit : Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? La bête répondit : On m’a rapporté que tu es un homme qui aime faire l’aumône. Aussi avons-nous voulu toucher à ta nourriture. J’ai dit : Qu’est-ce qui nous protège de vous ? La bête répondit : C’est Ayatu Al-Kursî que se trouve dans la Surate l-Baqara (La vache).
Celui qui le récite le soir est protège de nous jusqu’au matin, et celui qui le récite en se réveillant le matin est protège de nous jusqu’au soir.
Le lendemain, matin Ubay rapporta cet épisode au Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam) qui lui a dit ceci : «Ce Djinn dit vrai, le pervers, bien qu’il soit un menteur. » (Recensé par An-Nassâ°î, Abû Y’alâ, Ibn Hibbân, Abu l-Shaykh, Tabarânî, Al-Hakîm, Abû Nu’aym et bayhaqî)
3 -Troisième mérite :
Ce verset, ainsi que la Sourate Liminaire (al-Fâtiha) et deux versets de la Sourate âli ‘Imrân (la Famille de ‘Imrân), sont accrochés au Trône divin.
Tout homme qui récite ces versets reçoit une immense récompense. Al-Hassan Al-Bassarî (Radia Allah ‘anh) rapporte cette tradition en la faisant remonter directement au Prophète (Salla Allah ‘alih wa Salam): «L’Envoyé de Dieu (Salla Allah ‘alih wa Salam) a dit : « On m’a donné la Sourate Al-Fatiha (La Liminaire), le verset du Trône (Ayatu l-Kursî) et les deux versets 18 et 26 de la sourate âl ‘Imarân (La Famille de ‘Imrân). Ces versets sont agrippés au Trône divin et disent : « Seigneur ! Tu nous fais descendre sur Terre vers celui qui Te désobéit ? Dieu leur dit : Je vous ai conçus en sorte que chaque fois que l’un de Mes serviteurs vous récite a la fin de chaque prière, Je lui donne le Paradis comme lieu de séjour, Je l’installe dans la Demeure Sacro-sainte, Je le regarde chaque jour soixante-dix fois avec Mon œil, Je satisfais chaque jour pour lui soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon, Je le fais triompher de tous ses ennemis et Je le protège contre eux» Cette tradition est recensée par Ibn al-Sani et Al-Shahami.