Hassan baghli, marocain de belgique, suspecté d'être l'auteur du braquage de tanger

Hassan Baghli, un Marocain de Belgique, est suspecté d'être l'auteur principal du braquage du fourgon de transport de fonds d'Attijari Wafabank, à Tanger. Les autorités judiciaires marocaines ont déterminé l'identité du présumé cambrioleur, et émis un avis de recherche international contre lui.
L'homme avait déjà été condamné en 2002 pour son implication dans une dizaine de braquages, vols et affrontements violents avec les forces de l'ordre en Belgique. Hassan Baghli, est l'une des grandes figures du grand (...)

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Hassan Baghli, Marocain de Belgique, suspecté d'être l'auteur du braquage de Tanger
 
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La police marocaine a demandé à Interpol de lancer un mandat d'arrêt international contre l'auteur présumé du braquage du fourgon blindé de Tanger, dont l'identité vient d'être établie.

La police marocaine a demandé à Interpol de lancer un mandat d'arrêt international contre l'auteur présumé du braquage du fourgon blindé de Tanger, dont l'identité vient d'être établie. Il s'agirait de Hassan Balghi, un ressortissant marocain établi en Belgique, a appris Le360 dimanche de sources policières. Un attaque armée avait eu lieu le 24 février contre un fourgon transportant des fonds qui s'apprêtait à s'arrêter devant une banque de la place. Une importante somme d'argent a été dérobée, selon la même source.

"Les recherches sont actives au niveau national; quant au mandat international, il s'agit d'une mesure routinière de sécurité qui permet de resserrer l'étau sur les criminels", a ajouté la même source. Un employé de la société de transport des fonds a été blessé lors de ce braquage, est-il indiqué. Selon la police, l'enquête se focalise sur un ressortissant marocain établi en Belgique, récidiviste, et répondant au nom de Hassan Balghi. Ce dernier figure sur une liste d'"hommes très dangereux". Le mis en cause avait été condamné en Belgique, en 2002, à dix ans de prison pour braquage et violences contre les forces de police. Depuis l'attaque du fourgon à Tanger, la police a mis en place un dispositif de contrôle qui n'a pas encore permis d'arrêter, deux semaines après son déroulement, les auteurs de ce braquage
 
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