Si les musulmans interviennent dans le debat, sachant qu'on pas encore de porte parole fort qui comprennent tres bien comment ca marche ici, on va se tirer certainemnt 1 ou 2 balles dans le pieds avec des propos ou des actions ou meme un look qui va alliener les gens neutres; on dois donc juste laisser aller ces propos electoraliste; apres quand ca deviendra plus serieux il faut parler et surtout agir biensure, la on aura plus le choix.
Je partage ton avis, faut que la communauté musulmanne observe et reste neutre pendant la compagne éléctorale en attendant la suite, de tte façon, cette Tante Punaise Marrois n'auras pas la voix des citoyens musulmans. si cette loi est ratifiée, ça se ressera aux femmes voilées à part Fonction publique, call center et garderie où vont travailler si on retire l'exception qui bosse dans des postes de responsabilité cela dépend de degré d'ouverture de boss de la boite, on pousse indirectement les gens à fuire à l'est canadien !
moi j'aimerais comprendre un point : Le recrutement en fonction publique au québéc est soumi à la Charte de droit et liberté individuelle québécoise où Canadienne ?
car une candidate musulmanne peux s'adrèsser à la cour suprême d'otawa pour descrimination. Le seul risque de cette compagne fémini-naziste est le radicalisme des employeurs québécois et recruteurs en public, on peux facilement rejeter une voilée sans la vexer !
La Fédération des femmes du Québec (FFQ), qui est contre le fait que l'on interdise le port du hijab aux employées de l'État, trouve qu'il y a cette fois une distinction à faire avec le niqab. Contrairement au hijab, le niqab cache le visage de celle qui le porte. Pour Alexa Conradi, présidente de la FFQ, « c'est un empêchement sérieux à la communication à beaucoup d'égards et ça empêche aussi les femmes d'être libres de leurs mouvements ».
Du côté de la communauté musulmane, les réactions abondent dans le même sens. Sohail Raza, président du Congrès musulman canadien, estime que « le niqab n'est pas compatible avec le mode de vie canadien, avec n'importe quel mode de vie, en fait ».
M. Raza rappelle qu'il y a actuellement un ressac en France et en Suisse contre le port de signes religieux ostentatoires.
Nous ne voulons pas vivre ça au Canada. Il faut que l'on en discute sérieusement au sein de la communauté musulmane.
— Sohail Raza, président du Congrès musulman canadien
Pour le président du Congrès musulman canadien, ce sont des enjeux sociaux qui doivent être débattus. « Ce n'est qu'une question de temps avant que cela se retrouve devant le Parlement. Comme en France, il va falloir qu'on en discute et qu'on prenne position une fois pour toutes. »
Son épouse Raheel Raza, une militante des droits des femmes musulmanes, rappelle que le Coran ne requiert pas de se couvrir le visage, mais seulement de se vêtir avec modestie.
J'aimerais par la suite une fois P.marrois se calme de sa crise héystérique la réaction de CCM sur ce sujet de voile en fonction publique, ce n'est plus maintenant le Burqa !