Algérie : Histoire des deux jumeaux GAYA et MICIPSA
En effet, dans la nuit du 06 octobre 2000 à 22h ma femme est évacuée sur l'hôpital de Aïn Touta(BATNA) service maternité où elle accouchera à 23h05 d'un premier nouveau-né. Comme il y eut complications, ma femme est de nouveau évacuée sur le CHU de Batna où elle accouchera encore le 07 octobre à 01h 00 du second nouveau-né.
Seulement, pour éviter que les deux jumeaux soient inscrits dans deux endroits à des dates différentes, j'ai fait mon choix de les prénommer MICIPSA et GAYA et les porter dans un seul registre de l'Etat-Civil à Aïn Touta. Quelle ne fut ma surprise en me présentant au bureau de l'état civil ! Pour les inscrire, l'agent chargé de le faire me signifia qu'il n'est pas possible de les porter sur le registre sous prétexte que les prénoms en question ne figurent pas sur la liste instituée.
Voyant que j'ai été victime d'une injustice de la part de l’administration, je me suis présenté le 10/10/2000 au Procureur de la république de Ain Touta pour lui faire part de ma préoccupation et le persuader d'user de son autorité, afin que la situation soit débloquée. Malheureusement celui-ci me signifia par écrit que les prénoms sus-cités ne sont pas algériens.
En fait les noms MICIPSA et GAYA dont il est question sont portés par des rois amazighs prestigieux, valeureux, morts il y a des siècles et qui font encore notre fierté et constituent la mémoire du peuple amazigh du Maroc en Libye.
J’ai refusé toujours de céder en préférant ne pas inscrire ses deux jumeaux autres que MICIPSA et GAYA.
J’ai subi des humiliations ,apres avoir esté la mairie de AIN TOUTA en justice ,les02 nouveau-né sont restés dépourvus d'identité juridique et sans prénoms durant plusieurs années(03 années). Aprés un combat de 03 années,la justice a tranché en ma faveur, devenue par la suite une affaire de jurisprudence. « je suis heureux d’avoir remporté le combat, et d’avoir affronter le gouvernement algerien pour pouvoir donner des prénoms berbères a mes enfants ».
BELKHIRI RACHID porte parole du mouvement culturel amazigh (MCA)
En effet, dans la nuit du 06 octobre 2000 à 22h ma femme est évacuée sur l'hôpital de Aïn Touta(BATNA) service maternité où elle accouchera à 23h05 d'un premier nouveau-né. Comme il y eut complications, ma femme est de nouveau évacuée sur le CHU de Batna où elle accouchera encore le 07 octobre à 01h 00 du second nouveau-né.
Seulement, pour éviter que les deux jumeaux soient inscrits dans deux endroits à des dates différentes, j'ai fait mon choix de les prénommer MICIPSA et GAYA et les porter dans un seul registre de l'Etat-Civil à Aïn Touta. Quelle ne fut ma surprise en me présentant au bureau de l'état civil ! Pour les inscrire, l'agent chargé de le faire me signifia qu'il n'est pas possible de les porter sur le registre sous prétexte que les prénoms en question ne figurent pas sur la liste instituée.
Voyant que j'ai été victime d'une injustice de la part de l’administration, je me suis présenté le 10/10/2000 au Procureur de la république de Ain Touta pour lui faire part de ma préoccupation et le persuader d'user de son autorité, afin que la situation soit débloquée. Malheureusement celui-ci me signifia par écrit que les prénoms sus-cités ne sont pas algériens.
En fait les noms MICIPSA et GAYA dont il est question sont portés par des rois amazighs prestigieux, valeureux, morts il y a des siècles et qui font encore notre fierté et constituent la mémoire du peuple amazigh du Maroc en Libye.
J’ai refusé toujours de céder en préférant ne pas inscrire ses deux jumeaux autres que MICIPSA et GAYA.
J’ai subi des humiliations ,apres avoir esté la mairie de AIN TOUTA en justice ,les02 nouveau-né sont restés dépourvus d'identité juridique et sans prénoms durant plusieurs années(03 années). Aprés un combat de 03 années,la justice a tranché en ma faveur, devenue par la suite une affaire de jurisprudence. « je suis heureux d’avoir remporté le combat, et d’avoir affronter le gouvernement algerien pour pouvoir donner des prénoms berbères a mes enfants ».
BELKHIRI RACHID porte parole du mouvement culturel amazigh (MCA)