Ce qui suit aurait pu figurer dans les sketches les plus absurdes de Benny Hill. Malheureusement, l'histoire est véridique et ne prête que modérément à sourire, en particulier pour les proches de la concernée.
Une femme russe de 49 ans, Fagilyu Mukhametzyanov, déclarée morte d'une attaque cardiaque, est soudainement revenue à la vie en plein milieu de son enterrement, alors que ses proches priaient autour de son cercueil ouvert. Quelques minutes plus tard, la malheureuse est "à nouveau" décédée.
Au moment de reprendre connaissance et réalisant qu'on voulait l'enterrer, elle s'est relevée et a poussé un grand cri. Ses proches ont alors tenté de la calmer et l'ont emmenée à l'hopital de Kazan qui avait - par erreur - diagnostiquer sa mort.
Un retour à la vie de 12 minutes
"Ses paupières tremblaient, nous l'avons immédiatemment conduite à la clinique", raconte le veuf. "Elle est revenue à la vie pendant une douzaine de minutes puis elle nous a quittés. Pour de bon."
Fagili, son mari, veut à présent poursuivre l'hôpital en justice. "Je suis très en colère et je veux des réponses. Ils ont cru qu'elle était morte alors qu'elle aurait pu être sauvée." Un porte-parole de la clinique a simplement indiqué qu'une enquête était en cours.
Une femme russe de 49 ans, Fagilyu Mukhametzyanov, déclarée morte d'une attaque cardiaque, est soudainement revenue à la vie en plein milieu de son enterrement, alors que ses proches priaient autour de son cercueil ouvert. Quelques minutes plus tard, la malheureuse est "à nouveau" décédée.
Au moment de reprendre connaissance et réalisant qu'on voulait l'enterrer, elle s'est relevée et a poussé un grand cri. Ses proches ont alors tenté de la calmer et l'ont emmenée à l'hopital de Kazan qui avait - par erreur - diagnostiquer sa mort.
Un retour à la vie de 12 minutes
"Ses paupières tremblaient, nous l'avons immédiatemment conduite à la clinique", raconte le veuf. "Elle est revenue à la vie pendant une douzaine de minutes puis elle nous a quittés. Pour de bon."
Fagili, son mari, veut à présent poursuivre l'hôpital en justice. "Je suis très en colère et je veux des réponses. Ils ont cru qu'elle était morte alors qu'elle aurait pu être sauvée." Un porte-parole de la clinique a simplement indiqué qu'une enquête était en cours.