Histoires en islam

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VIB
Salam 3aleikoum...

Je propose sur ce post, d'envoyer des courtes histoires, nouvelles, fables, poèmes, anecdotes concernant l'islam...

Je commence avec deux fables:






Un mec tend bien haut un billet de 50euros

Il dit: "Qui aimerais avoir ce billet?"
Les mains se lévent!

Il chifonne ce billet et demande: "Vous le voulez toujours?"
Les mains se lévent encore...

Il jette le billet froissé par terre et saute a pied joints decu et demande: "Vous le voulez toujours?"

Evidement les gens lévent encore les mains!

Il dit: "Mes ami(es) vous venez d'apprendre une lecon...

Peu importe ce que je fais avec le billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'aura pas changer il vaut toujours 50euros.

Plusieur fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillés par les gens et les evenements vous aurez l'impression que vous ne valez plu rien, mais votre valeure n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aime!!!!







Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui
donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin
chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines
suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la
barrière diminua jour après jour: il avait découvert que c'était plus facile
de se contrôler que de planter des clous.

Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la
barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour
il n'avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque
jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement
le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la
barrière

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils,
tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la
barrière.

Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un
et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme
celle-là.

Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer,
mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu
t'excuseras, la blessure restera.

Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.


...
 
j'aimes bien celle du petit garçon avec le mauvais caractère

j'aimes bien celle là aussi

LES 3 FILTRES

Il était une fois à l’époque du calife abbasside, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passer sa vie à étudier le Coran et les paroles du prophète (saw) et il était très pieux.
Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres, ni rapporter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait et il était toujours prêt à aider les autres.
Un jour l’un de ses voisins vint le trouver : « As salam alaykoum !» « Wa alaykoum as salam wa rahmatoullah wa barakatouh » répondit le savant.
« Sais tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ?» poursuivit le voisin
« Attends un peu répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dise, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test de 3 filtres »
« De 3 filtres ? » s’étonna le voisin.
« Exactement poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu compte me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans 3 filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test de 3 filtres. Tu es prêt ? »
« Oui » répondit l’homme de plus en plus étonné. (En effet quand il bavardait avec ses voisins il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions)
« Commençons dit le savant. Le 1er filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ? »
« Non répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et… »
« Bien dit le savant. Donc tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ? »
« Euh. Non au contraire… »
« Ah ! poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire du mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter… Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore 1 filtre ; le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est ce que cela me sera utile ? »
« Euh bien… non pas vraiment »
« Alors conclut le savant si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire. Tu ne crois pas ? »

Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vrai, ni bonne, ni utile ne vaut pas la peine d’être dite.
Alors avant de te dire quelque chose ou de répéter ce qu’on t’as raconté, n’oublies pas de soumettre tes paroles au test des 3 filtres ! Cela t’éviteras certainement des péchés.



dsl elle est longueeeeee :rouge:
 
Un mec tend bien haut un billet de 50euros

Il dit: "Qui aimerais avoir ce billet?"
Les mains se lévent!

Il chifonne ce billet et demande: "Vous le voulez toujours?"
Les mains se lévent encore...

Il jette le billet froissé par terre et saute a pied joints decu et demande: "Vous le voulez toujours?"

Evidement les gens lévent encore les mains!

Il dit: "Mes ami(es) vous venez d'apprendre une lecon...

Peu importe ce que je fais avec le billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'aura pas changer il vaut toujours 50euros.

Plusieur fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillés par les gens et les evenements vous aurez l'impression que vous ne valez plu rien, mais votre valeure n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aime!!!!







Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui
donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin
chaque fois qu'il perdrait patience et/ou se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines
suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la
barrière diminua jour après jour: il avait découvert que c'était plus facile
de se contrôler que de planter des clous.

Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la
barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour
il n'avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque
jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement
le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la
barrière

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils,
tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la
barrière.

Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un
et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme
celle-là.

Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer,
mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu
t'excuseras, la blessure restera.

Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.


...

En quoi ces deux histoires relèvent-elles spécifiquement de l'Islam ?
 
j'aimes bien celle du petit garçon avec le mauvais caractère

j'aimes bien celle là aussi

LES 3 FILTRES

Il était une fois à l’époque du calife abbasside, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passer sa vie à étudier le Coran et les paroles du prophète (saw) et il était très pieux.
Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres, ni rapporter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait et il était toujours prêt à aider les autres.
Un jour l’un de ses voisins vint le trouver : « As salam alaykoum !» « Wa alaykoum as salam wa rahmatoullah wa barakatouh » répondit le savant.
« Sais tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ?» poursuivit le voisin
« Attends un peu répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dise, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test de 3 filtres »
« De 3 filtres ? » s’étonna le voisin.
« Exactement poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu compte me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans 3 filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test de 3 filtres. Tu es prêt ? »
« Oui » répondit l’homme de plus en plus étonné. (En effet quand il bavardait avec ses voisins il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions)
« Commençons dit le savant. Le 1er filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ? »
« Non répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et… »
« Bien dit le savant. Donc tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ? »
« Euh. Non au contraire… »
« Ah ! poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire du mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter… Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore 1 filtre ; le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est ce que cela me sera utile ? »
« Euh bien… non pas vraiment »
« Alors conclut le savant si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire. Tu ne crois pas ? »

Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vrai, ni bonne, ni utile ne vaut pas la peine d’être dite.
Alors avant de te dire quelque chose ou de répéter ce qu’on t’as raconté, n’oublies pas de soumettre tes paroles au test des 3 filtres ! Cela t’éviteras certainement des péchés.



dsl elle est longueeeeee :rouge:


Pas grave...

C'est comme ça que sont la plupart des arabes...
C'est La chose que je desteste le plus!
Le commerage...
Les rumeurs...

Aljahil a dit:
En quoi ces deux histoires relèvent-elles spécifiquement de l'Islam ?

Elles ne relèvent pas spécifiquement de l'islam, elles ont été rapportées par des savants musulmans.

Ps: si c'est pour faire ce genre de commentaire, n'interviens pas et fermes là ;)
 
Elles ne relèvent pas spécifiquement de l'islam, elles ont été rapportées par des savants musulmans.

Ps: si c'est pour faire ce genre de commentaire, n'interviens pas et fermes là ;)

Ouhlà, tu t'es totalement méprise sur mes intentions. C'était pas un commentaire mais une question très sérieuse...

J'aurais par exemple aimé que tu me cites les savants susdits.
 
comme celui qui passait dans par un village désert et dévasté : "Comment Allah va-t-Il redonner la vie à celui-ci après sa mort? " dit-il. Allah donc le fit mourir et le garda ainsi pendant cent ans. Puis Il le ressuscita en disant : "Combien de temps as-tu demeuré ainsi? " "Je suis resté un jour, dit l'autre ou une partie de la journée." "Non ! dit Allah, tu es resté cent ans. Regarde donc ta nourriture et ta boisson : rien ne s'est gâté; mais regarde ton âne... Et pour faire de toi un signe pour les gens, et regarde ces ossements, comment Nous les assemblons et les revêtons de chair". Et devant l'évidence, il dit : "Je sais qu'Allah est Omnipotent"

Allah conserve un homme, sa nourriture et son âne pendant cent ans.
 
comme celui qui passait dans par un village désert et dévasté : "Comment Allah va-t-Il redonner la vie à celui-ci après sa mort? " dit-il. Allah donc le fit mourir et le garda ainsi pendant cent ans. Puis Il le ressuscita en disant : "Combien de temps as-tu demeuré ainsi? " "Je suis resté un jour, dit l'autre ou une partie de la journée." "Non ! dit Allah, tu es resté cent ans. Regarde donc ta nourriture et ta boisson : rien ne s'est gâté; mais regarde ton âne... Et pour faire de toi un signe pour les gens, et regarde ces ossements, comment Nous les assemblons et les revêtons de chair". Et devant l'évidence, il dit : "Je sais qu'Allah est Omnipotent"

Allah conserve un homme, sa nourriture et son âne pendant cent ans.
Allah conserve un homme, sa nourriture et son âne pendant cent ans....mais non l'âne n'est pas conserve !
 
Merci Justeme, super idée !!

j'aime ce genre d'histoires, elles nous en aprennent beaucoup

Je le mettrai dans mes favoris ce topic pour le lire souvent
 
Ouhlà, tu t'es totalement méprise sur mes intentions. C'était pas un commentaire mais une question très sérieuse...

J'aurais par exemple aimé que tu me cites les savants susdits.

Non, juuuuure :eek:

Moi, ce que j'aurais aimé c'est que tu gardes tes questions sérieuses pour toi.
 
Merci Justeme, super idée !!

j'aime ce genre d'histoires, elles nous en aprennent beaucoup

Je le mettrai dans mes favoris ce topic pour le lire souvent

Moi aussi j'aime bien, d'où le post...
La plupart c'est des fables avec une morale et lorsque on commence à lire on peut pas s'arréter, on veut ti suite connaitre la suite, comment sa va finir ect...


Par contre, je sais pas si c'est moi, mais j'ai pas tout compris à l'histoire de vanilla07, tu n'aurais pas oublié le début de l'histoire ou je sais pas?!
 
Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vrai, ni bonne, ni utile ne vaut pas la peine d’être dite.
Alors avant de te dire quelque chose ou de répéter ce qu’on t’as raconté, n’oublies pas de soumettre tes paroles au test des 3 filtres ! Cela t’éviteras certainement des péchés.

Histoire pleine de sagesse

Merci Ramzokita
 
Le Prophète m'a questionné à propos du coucher du soleil, " Savez-vous où le soleil va (au moment du coucher du soleil)?" J’ai répondu, "Allah et Son Apôtre savent mieux." Il a dit, " Il va (c'est-à-dire voyage) jusqu'à ce qu'il se prosterne devant le Trône et demande l'autorisation de se lever à nouveau, et cela lui est permis, et ensuite (un temps viendra où) il sera sur le point de se prosterner mais sa prosternation ne sera pas acceptée, et il demandera la permission d'e continuer sa course, mais il ne sera pas autorisé, mais il sera ordonné de retourner d'où il est venu et il se lèvera à l'ouest. Et c'est l'interprétation de la Déclaration d'Allah : ‘Et le soleil court vers un gîte qui lui est assigné; telle est la détermination du Tout-Puissant, de l'Omniscient.’"


sobhanallah .
 
Il était une fois un homme pieux qui se trouvait à La Mecque. Il n’avait plus d’argent, il souffrait de la faim, il était presque sur le point de mourir. Pendant qu’il marchait dans une des ruelles de La Mecque, il trouva un collier de valeur, très précieux. Il prit donc le bijou et se rendit à la sainte Mosquée.

Là, il trouva un homme qui cherchait le collier. Ce dernier lui décrivit le bijou sans se tromper ; l’homme pieux lui donna donc le collier en espérant recevoir quelque chose en retour mais le propriétaire prit le bijou et partit sans rien lui donner... L’homme pieux fit cette invocation : "Ô mon Dieu, j’ai renoncé à ce collier pour Toi, remplace-le moi par quelque chose de meilleur."

Plus tard, l’homme partit en direction de la mer, il monta dans une barque mais un ouragan se déchaîna et l’embarcation fut détruite. L’homme pieux s’accrocha à un morceau de bois, il flottait ainsi à la surface de l’eau, le vent le faisait dériver jusqu’à ce qu’il atteignit une île. Là, il trouva une mosquée où des gens priaient, il pria donc puis se mit à lire le Coran. Les gens de l’île lui dire : "Tu lis le Coran ?"

Il répondit : "Oui"

Ils dirent : "Enseigne le Coran à nos enfants, s’il te plait"

Il commença donc à leur enseigner et recevait un salaire pour cela. Lorsque les gens virent qu’il savait également écrire, ils lui demandèrent d’apprendre l’écriture à leurs enfants, ce qu’il fit et il en fut rémunéré.

Les habitants de l’île dirent à l’homme pieux : "Il y a ici une orpheline dont le père, qui est décédé, était un homme de bien. Voudrais-tu l’épouser ?"

Il répondit : "D’accord."

Il se maria donc et trouva que sa femme portait le même collier que celui qu’il avait trouvé à La Mecque ! Il lui demanda alors : "Quelle est l’histoire de ce bijou ?"

Elle lui raconta que son père, un jour, perdit ce collier à La Mecque et qu’un homme le lui avait rendu. Son père, depuis ce jour, invoquait Dieu, dans la prosternation, de donner à sa fille un époux comme cet homme qui lui avait rendu le collier. L’homme pieux dit alors à sa femme : "Je suis cet homme..."

-------------------------------------------------------

Moralité de cette histoire :

Quand tu fais un bien, tôt ou tard allah te récompensera pour !!
 
Pas grave...

C'est comme ça que sont la plupart des arabes...
C'est La chose que je desteste le plus!
Le commerage...
Les rumeurs...



Elles ne relèvent pas spécifiquement de l'islam, elles ont été rapportées par des savants musulmans.

Ps: si c'est pour faire ce genre de commentaire, n'interviens pas et fermes là ;)

C'est clair téléphone arabe meme lorsqu'on est pas sur que la chose soit vrai on la propages

Histoire pleine de sagesse

Merci Ramzokita

C'est clair nous pousses à réfléchir

de rien : )

Il était une fois un homme pieux qui se trouvait à La Mecque. Il n’avait plus d’argent, il souffrait de la faim, il était presque sur le point de mourir. Pendant qu’il marchait dans une des ruelles de La Mecque, il trouva un collier de valeur, très précieux. Il prit donc le bijou et se rendit à la sainte Mosquée.

Là, il trouva un homme qui cherchait le collier. Ce dernier lui décrivit le bijou sans se tromper ; l’homme pieux lui donna donc le collier en espérant recevoir quelque chose en retour mais le propriétaire prit le bijou et partit sans rien lui donner... L’homme pieux fit cette invocation : "Ô mon Dieu, j’ai renoncé à ce collier pour Toi, remplace-le moi par quelque chose de meilleur."

Plus tard, l’homme partit en direction de la mer, il monta dans une barque mais un ouragan se déchaîna et l’embarcation fut détruite. L’homme pieux s’accrocha à un morceau de bois, il flottait ainsi à la surface de l’eau, le vent le faisait dériver jusqu’à ce qu’il atteignit une île. Là, il trouva une mosquée où des gens priaient, il pria donc puis se mit à lire le Coran. Les gens de l’île lui dire : "Tu lis le Coran ?"

Il répondit : "Oui"

Ils dirent : "Enseigne le Coran à nos enfants, s’il te plait"

Il commença donc à leur enseigner et recevait un salaire pour cela. Lorsque les gens virent qu’il savait également écrire, ils lui demandèrent d’apprendre l’écriture à leurs enfants, ce qu’il fit et il en fut rémunéré.

Les habitants de l’île dirent à l’homme pieux : "Il y a ici une orpheline dont le père, qui est décédé, était un homme de bien. Voudrais-tu l’épouser ?"

Il répondit : "D’accord."

Il se maria donc et trouva que sa femme portait le même collier que celui qu’il avait trouvé à La Mecque ! Il lui demanda alors : "Quelle est l’histoire de ce bijou ?"

Elle lui raconta que son père, un jour, perdit ce collier à La Mecque et qu’un homme le lui avait rendu. Son père, depuis ce jour, invoquait Dieu, dans la prosternation, de donner à sa fille un époux comme cet homme qui lui avait rendu le collier. L’homme pieux dit alors à sa femme : "Je suis cet homme..."

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Moralité de cette histoire :

Quand tu fais un bien, tôt ou tard allah te récompensera pour !!

machallah
trop belle l'histoire
 
Un jeune homme s'apprêtait à obtenir son diplôme de fin d'étude.

Pendant plusieurs mois il avait admiré une belle voiture de sport exposée dans un showroom, et sachant que son père pouvait bien la lui offrir, il lui avait déjà dit que c'est ça qu'il voulait comme cadeau.

Comme le jour de la remise des diplômes s'approchait,le jeune homme s'attendait à voir des signes que son père lui avait déjà acheté la voiture. Finalement, au matin du " jour J " , son père l'appela dans son bureau et il lui dit comment il était fier d'avoir un fils aussi intelligent et formidable, et comment il l'aimait beaucoup. Le père tendit à son fils une boite dans un emballage cadeau, curieux mais aussi déçu le jeune homme ouvrit la boite et découvrit un beau Coran avec une couverture en cuir.


Furieux, il éleva la voix sur son père et lui dit : "Avec tout ton argent, tu ne m'offres qu'un Coran ??? " et claquant la porte, il sortit de la maison en laissant derrière lui le Saint Coran. Plusieurs années sont passées et le jeune homme se trouva couronné de succès dans le monde des affaires, il s'acheta une grande et belle maison et il fonda une famille merveilleuse.

Un jour, il se souvint de son père qui était devenu très vieux et se dit qu'il devait aller le voir, car il ne l'avait plus revu depuis le jour qu'il avait obtenu son diplôme. Juste avant de partir, il reçut un télégramme lui disant que son vieux père venait de mourir et qu'il avait cédé tous ses biens à son fils. Il devait donc partir immédiatement pour s'occuper de son héritage

Quand il arriva dans la maison de son père, soudain, son coeur fut rempli de tristesse et de regret...il se mit à fouiller dans les dossiers importants de son père et il tomba sur ce Coran à l'endroit même où il l'avait laissé il y a plusieurs années...il éclata en sanglots, ouvrit le Coran et se mit à tourner les pages.

Et comme il lisait ces paroles, une clé de voiture tomba d'une enveloppe qui était collée à la couverture à l'arrière du Coran.

La clé avait une étiquette avec le nom du concessionnaire du showroom, le même concessionnaire qui vendait la belle voiture de sport qu'il désirait tant avoir et sur l'étiquette figurait la date du jour de la remise de son diplôme, et ces mots...

TOUT A ETE PAYE


Combien de fois ne sommes-nous pas passés à coté des bénédictions d'Allah, simplement parce qu'elles ne viennent pas de la manière que nous le voulons ?

Allah n'est pas tel que nous Le représentons mais Il est tel qu'Il S'est présenté à nous !
 
Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier
terriblement.

Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu..

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus. Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !



Morale :

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Ne jamais abandonner ! Secouez-vous et foncez ! Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :

1)Libérez votre coeur de la haine.
2)Libérez votre esprit des inquétudes.
3)Vivez simplement.
4)Donnez plus.
5)Attendez moins.

A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
 
Un homme arrive chez lui un soir fatigué
après une dure journée de travail,
pour trouver son petit garçon de 5 ans
assis sur les marches du perron.


"Papa, est-ce que je peux te poser une question?"
"Bien sûr!"
"Combien gagnes-tu de l'heure?"
"Mais ça ne te regarde pas fiston!"
"Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!"
"Bon, si tu veux absolument savoir, 10$ de l'heure".


Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :


"Papa, pourrais-tu me preter 5$ ?"
"Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante,
je suis fatigué et j'ai pas le goűt de me faire achaler
avec des niaiseries semblables".


Une heure plus tard,
le père qui avait eu le temps de décompresser un peu
se demande s'il n'avait pas réagi trop fort ŕ la demande de son fils.
Peut-ętre bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important.
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.


"Dors-tu?"
"Non, papa!"
"Écoute, j'ai réfléchi et voici les 5$ que tu m'as demandé".
"Oh merci papa!"


Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort 5$ .
Le père en voyant l'argent devient encore plus irrité.
"Mais pourquoi tu voulais 5$ ?
Tu en as 5$ ! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?"

"C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant j'en ai juste assez.

Papa... est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt,
J'aimerais jouer avec toi!"




Histoire triste mais tellement vrai...
 
Un homme s'est réveillé Tôt pour faire la prière d'al fajr à la mosquée. Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mis en marche vers la mosquée. Une fois rendu à la moitié du chemin, il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rebroussa chemin vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements. Sur le chemin de la mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:

-qui es-tu? demanda l'homme à l'inconnu,
- je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en t'éclairant le chemin.

À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigoureusement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:

-Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changer tes vêtements, Allah t'avais pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna a ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois.
 
Un menuisier était rendu à l'âge de la retraite. Il informe alors son employeur de son intention de quitter le monde de la construction afin de passer le reste de sa vie
paisiblement avec son épouse. Son employeur fut très déçu de devoir laisser partir un si bon travailleur et il lui demanda comme faveur personnelle de construire juste une toute
dernière maison. Le menuisier accepta mais cette fois il était facile de voir que son coeur n'était pas à l'ouvrage. Il accomplit un travail médiocre et utilisa des matériaux de qualité inférieure.

Quand le menuisier eut terminé la maison, son employeur arriva et en fit l'inspection puis il présenta la clé de cette maison au menuisier en disant :
"Cette maison est la tienne, c'est mon cadeau pour toi". Le menuisier était si triste, quelle honte ! Si seulement il avait su qu'il construisait sa propre maison, il aurait tout
fait si différemment.
Il en est de même pour nous, dans notre vie. Nous la construisons malheureusement trop souvent avec négligence et insouciance... Un moment donné,
avec étonnement, nous réalisons que nous devons vivre dans la maison que l'on s'est construite. S'il nous était possible de recommencer, nous aurions fait différemment
mais nous ne pouvons faire de retour en arrière. Nous sommes les artisans de cette maison qu'est notre vie. Chaque jour nous enfonçons un clou, plaçons une planche,
érigeons un mur.
La vie est un projet de tous les instants. C'est par notre attitude et nos choix d'aujourd'hui que nous construisons la maison que nous allons habiter
demain et pour le reste de notre vie...
Alors pourquoi ne pas la construire avec sagesse ????
 
Un texto qu'on m'a envoyé:


"Salam 3aleykoum....

"Je cherche le paradis, peut tu m'indiquer comment m'y rendre stp?"


"Oui, bien sûr... Dans ton cœur, tu prends l'autoroute de la foi, puis la sortie de la chahada.

Tu continues tout droit jusqu’aux feux rouges de la mosquée, là bas, tu rencontreras la salat, après le feu rouge, tu prends en direction de la zakat en passant par le ramadan.

Tu te trouveras au rond point du hajj... Là tu prends la 3ème sortie puis tu t'arrêtes au stop du Coran et tu continues jusqu'à la Sounna.

Ensuite, tu prends toujours à droite le chemin droit sans jamais t'arrêter et tu y arriveras inch'Allah... Je te souhaite que ça... " "
 
Morale :

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Ne jamais abandonner ! Secouez-vous et foncez ! Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :

1)Libérez votre coeur de la haine.
2)Libérez votre esprit des inquétudes.
3)Vivez simplement.
4)Donnez plus.
5)Attendez moins.

A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

J'aime beaucoup cette histoire trés riche en signification !!

Personne ne pourra t'aider si tu ne t'aides pas en premier !!
 
Un jeune homme s'apprêtait à obtenir son diplôme de fin d'étude.

Pendant plusieurs mois il avait admiré une belle voiture de sport exposée dans un showroom, et sachant que son père pouvait bien la lui offrir, il lui avait déjà dit que c'est ça qu'il voulait comme cadeau.

Comme le jour de la remise des diplômes s'approchait,le jeune homme s'attendait à voir des signes que son père lui avait déjà acheté la voiture. Finalement, au matin du " jour J " , son père l'appela dans son bureau et il lui dit comment il était fier d'avoir un fils aussi intelligent et formidable, et comment il l'aimait beaucoup. Le père tendit à son fils une boite dans un emballage cadeau, curieux mais aussi déçu le jeune homme ouvrit la boite et découvrit un beau Coran avec une couverture en cuir.


Furieux, il éleva la voix sur son père et lui dit : "Avec tout ton argent, tu ne m'offres qu'un Coran ??? " et claquant la porte, il sortit de la maison en laissant derrière lui le Saint Coran. Plusieurs années sont passées et le jeune homme se trouva couronné de succès dans le monde des affaires, il s'acheta une grande et belle maison et il fonda une famille merveilleuse.

Un jour, il se souvint de son père qui était devenu très vieux et se dit qu'il devait aller le voir, car il ne l'avait plus revu depuis le jour qu'il avait obtenu son diplôme. Juste avant de partir, il reçut un télégramme lui disant que son vieux père venait de mourir et qu'il avait cédé tous ses biens à son fils. Il devait donc partir immédiatement pour s'occuper de son héritage

Quand il arriva dans la maison de son père, soudain, son coeur fut rempli de tristesse et de regret...il se mit à fouiller dans les dossiers importants de son père et il tomba sur ce Coran à l'endroit même où il l'avait laissé il y a plusieurs années...il éclata en sanglots, ouvrit le Coran et se mit à tourner les pages.

Et comme il lisait ces paroles, une clé de voiture tomba d'une enveloppe qui était collée à la couverture à l'arrière du Coran.

La clé avait une étiquette avec le nom du concessionnaire du showroom, le même concessionnaire qui vendait la belle voiture de sport qu'il désirait tant avoir et sur l'étiquette figurait la date du jour de la remise de son diplôme, et ces mots...

TOUT A ETE PAYE


Combien de fois ne sommes-nous pas passés à coté des bénédictions d'Allah, simplement parce qu'elles ne viennent pas de la manière que nous le voulons ?

Allah n'est pas tel que nous Le représentons mais Il est tel qu'Il S'est présenté à nous !

Cette histoire elle fait mal au coeur
 
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