amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Les femmes marocaines ont joué un rôle pendant les Révolution populaire que le Maroc a connu depuis 1958-59 , elles ne sont pas restées à la maison. Elles se sont battues pour la liberté , la dignité et la justice sociale .
Parmi elles, on peut citer Najya Adaya ,cette douce fleur de lAtlas partie il y a 10 ans déjà, symbole de la femme militante contre le chômage et lexclusion sociale assassiné par le régime le 11 décembre 2000 .
Parlons aussi de Saida Mnebhi, la militante de la liberté et de la dignité humaine qui est née à Marrakech en 1952. Elle était membre de l'UNEM (union nationale des étudiants du Maroc), de l'UMT (union marocaine du travail) et de l'organisation Al Amam.
Au cours des années de plomb, en 1976, la jeune femme fut arrêtée et incarcérée dans la célèbre prison illicite de « Deb. My Chérif » à Casablanca .Elle fut condamnée à 5 ans de détentions plus 2 ans pour outrages à magistrat.
Avec tous ses compagnons, elle observa une première grève de faim pour que le procès ait lieu .La seconde durant le procès pour protester contre les violations des droits de la défense et des inculpés et la dernière , entamée le 8 novembre1977 , dura 40 jours pour réclamer le statut du prisonnier politique, des conditions humaines de détention .
Le 11 décembre 1977, Elle meurt à l'âge de 25 ans.
Sans oublie la prolétaire Aziza Brhou, qui s'est éngagée dans le combat social pour un Maroc meilleur. La martyre bidonvilloise nous a quitté en automne 2010.
Citons aussi la jeune Fadwa de Souk Sebt qui s'était immolée le 24 fèvrier 2011(devant la bachaouia).
Bidonvilloise, Fadwa vivait avec sa famille dans une baraque, touchée dans sa dignité par les propos d'un "élu", en désespoir, elle a préféré protester à sa manière contre l'enfer terrestre, l'enfer du makhzen.Elle a laissé derrière elle ses 2 petites filles
Reposez vous en paix chers âmes.on vous oublie jamais .
Parmi elles, on peut citer Najya Adaya ,cette douce fleur de lAtlas partie il y a 10 ans déjà, symbole de la femme militante contre le chômage et lexclusion sociale assassiné par le régime le 11 décembre 2000 .
Parlons aussi de Saida Mnebhi, la militante de la liberté et de la dignité humaine qui est née à Marrakech en 1952. Elle était membre de l'UNEM (union nationale des étudiants du Maroc), de l'UMT (union marocaine du travail) et de l'organisation Al Amam.
Au cours des années de plomb, en 1976, la jeune femme fut arrêtée et incarcérée dans la célèbre prison illicite de « Deb. My Chérif » à Casablanca .Elle fut condamnée à 5 ans de détentions plus 2 ans pour outrages à magistrat.
Avec tous ses compagnons, elle observa une première grève de faim pour que le procès ait lieu .La seconde durant le procès pour protester contre les violations des droits de la défense et des inculpés et la dernière , entamée le 8 novembre1977 , dura 40 jours pour réclamer le statut du prisonnier politique, des conditions humaines de détention .
Le 11 décembre 1977, Elle meurt à l'âge de 25 ans.
Sans oublie la prolétaire Aziza Brhou, qui s'est éngagée dans le combat social pour un Maroc meilleur. La martyre bidonvilloise nous a quitté en automne 2010.
Citons aussi la jeune Fadwa de Souk Sebt qui s'était immolée le 24 fèvrier 2011(devant la bachaouia).
Bidonvilloise, Fadwa vivait avec sa famille dans une baraque, touchée dans sa dignité par les propos d'un "élu", en désespoir, elle a préféré protester à sa manière contre l'enfer terrestre, l'enfer du makhzen.Elle a laissé derrière elle ses 2 petites filles
Reposez vous en paix chers âmes.on vous oublie jamais .