Hôpitaux: chambre commune ou à 2 lits, adieu les suppléments d'honoraires

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion belgika
  • Date de début Date de début
B

belgika

Non connecté
Depuis le 1er janvier 2013, les médecins des hôpitaux ne peuvent plus vous facturer de suppléments d'honoraires si vous séjournez en chambre commune ou à deux lits.

Par contre, une hospitalisation en chambre individuelle est toujours susceptible de compter des suppléments d'honoraires des médecins hospitaliers, sauf cas spécifiques.

Aussi pour échographies, analyse de sang, ...

Les suppléments d'honoraires sont également interdits pour les forfaits relatifs aux prestations du type analyses d'urine, de sang,… et radiographies, échographies,… que tout hospitalisé paye lors de son admission.

Et ceci, quelle que soit la chambre d'hôpital occupée, sauf pour la partie non forfaitaire de ce type de prestations au cours d'une hospitalisation en chambre individuelle.

Plus d'info ?

Vous pensez que des suppléments d'honoraires vous ont été injustement facturés pour une hospitalisation ? Contactez votre mutualité pour demander conseil avant de payer la facture d'hôpital.

(source partenamut)
 
La moitié des médicaments coûtera moins cher


Dès le 1er avril, les prix des médicaments baisseront. Mais le patient n’y verra souvent que du feu.


Dès lundi prochain, 1er avril, la moitié des médicaments verront leurs prix baisser. Jusqu’à 70 % parfois. C’est la conséquence directe d’une baisse générale de 1,95 % décidée fin 2012 par le gouvernement sur proposition de la ministre de la Santé Laurette Onkelinx (PS).

Attention, cet effet ne sera pas nécessairement visible pour le patient.
Parfois, la diminution de prix ne profitera qu’à la Sécurité sociale, et donc aux caisses de l’État.

Mais pour certains médicaments, le patient verra directement la différence à la caisse.

Concrètement, le prix à la pharmacie de plus de 2.500 médicaments utilisant 360 substances actives différentes va baisser.

Quels médicaments baissent de prix ?

La moitié ! Toutes les classes de médicaments sont concernées.

Cela va des traitements chroniques du diabète, du cholestérol, de l’hypertension, de l’asthme ou de l’ostéoporose aux antibiotiques, en passant par les vaccins et la pilule contraceptive.

Attention, cet effet ne sera pas nécessairement visible pour chaque patient.

Certains médicaments avec un prix élevé dépassent en effet le plafond que paie le patient, soit 14,10 euros (9,3 euros si, précarisé ou à revenus inférieurs, il bénéficie du tarif BIM).

Dans ce cas, ce que paie le patient ne changera pas, mais c’est la Sécurité sociale qui bénéficiera directement de la ristourne : elle devrait rapporter un total de 89 millions par an.

Mais, pour de nombreux autres médicaments, le patient devrait voir la différence à la caisse.

Parfois, il s’agit de quelques centimes, parfois c’est bien davantage.

Ainsi, dans le traitement du cholestérol, une affection qui concerne des dizaines de milliers de patients chroniques, le Lescol, une statine, passe de 15,4 à 6,88 euros.

Faisant ce constat que ce sont souvent pour les médicaments les plus anciens (pour lesquels le brevet est expiré) que les baisses de prix sont visibles directement par les patients, la ministre de la Santé souligne qu’il est donc essentiel que « les médecins jouent leur rôle social en prescrivant aux patients les médicaments équivalents les plus avantageux pour eux ».


Exemple concret ? Le Plavix, un anticoagulant, dont la baisse de prix réduit le coût de 14,39 à 12,21 euros pour le patient, ne coûtera que 6,72 euros en médicament générique, soit quasi la moitié !


http://www.lesoir.be/214453/article...-26/moitie-des-medicaments-coutera-moins-cher
 
La moitié des médicaments coûtera moins cher


Dès le 1er avril, les prix des médicaments baisseront. Mais le patient n’y verra souvent que du feu.


Dès lundi prochain, 1er avril, la moitié des médicaments verront leurs prix baisser. Jusqu’à 70 % parfois. C’est la conséquence directe d’une baisse générale de 1,95 % décidée fin 2012 par le gouvernement sur proposition de la ministre de la Santé Laurette Onkelinx (PS).

Attention, cet effet ne sera pas nécessairement visible pour le patient.
Parfois, la diminution de prix ne profitera qu’à la Sécurité sociale, et donc aux caisses de l’État.

Mais pour certains médicaments, le patient verra directement la différence à la caisse.

Concrètement, le prix à la pharmacie de plus de 2.500 médicaments utilisant 360 substances actives différentes va baisser.

Quels médicaments baissent de prix ?

La moitié ! Toutes les classes de médicaments sont concernées.


Laurette onkelinx le 1 er avril:"Poisson d'Avriiiiiiil" avec un rire démoniaque :D
 
L'INAMI envisage de rembourser un programme de revalidation après un cancer du sein

A partir du mois de septembre, 15 hôpitaux prendront part à un projet de recherche mené par l'INAMI dont l'objectif est d'évaluer l'efficacité d'un programme de revalidation destiné aux patientes atteintes d'un cancer du sein.


L'Institut national d'assurance maladie-invalidité planche sur un possible remboursement de ce programme de revalidation.



Depuis le 1er septembre 2012, six hôpitaux, dont le CHU de Liège, proposent un programme de revalidation à leurs patientes souffrant d'un cancer du sein.

Ces dernières "peuvent suivre un programme intensif de 12 semaines axé sur l'encadrement du mode de vie et l'entraînement physique", explique le coordinateur général du projet, le professeur Jan Bourgois, de l'hôpital universitaire de Gand.


Ce projet de recherche sera étendu à 15 hôpitaux à partir de septembre 2013.

Neuf établissements doivent donc encore être sélectionnés. A terme, l'INAMI souhaite associer ce programme de revalidation à un remboursement.


L'hôpital UZ Gent, qui assure la coordination générale, entend conclure l'étude en février 2016. Mais des résultats intermédiaires seront déjà disponibles dans le courant de l'année prochaine. (MUA)


http://www.skynet.be/actu-sports/ac...ramme-de-revalidation-apres-un-cancer-du-sein


:cool:
 
DISPARITION (PROGRESSIVE) DE LA CARTE SIS




La carte SIS, nous en avons tous une dans notre portefeuille. Mais son temps sera bientôt révolu et c'est la carte d'identité électronique (eID) qui la remplacera progressivement.


A partir de quand la carte SIS tirera-t-elle sa révérence ? Devez-vous conserver la vôtre ? Voici toutes les réponses !

Un passage en plusieurs étapes

La carte SIS ne disparaîtra évidemment pas du jour au lendemain. La transition vers la carte d'identité électronique (eID) se déroulera très progressivement.


Aperçu des différentes étapes :
Depuis janvier 2012, certains pharmaciens demandent déjà l'eID au lieu de la carte SIS.


Fin 2013, les cartes SIS les plus anciennes (émises en 2003) ne seront plus valables. Il en sera peu à peu de même pour toutes les cartes SIS de plus de 10 ans.



Dès le 1er janvier 2014, les cartes SIS valables (de moins de 10 ans) seront uniquement utilisées pour l'identification.

Par conséquent, jusqu'au 31 décembre 2013, le pharmacien peut vous demander aussi bien votre carte SIS que votre eID.


En cas de contradiction entre les informations des deux cartes, c'est l'eID qui prime, car les données de celle-ci sont mises à jour 24 h/24 dans le but de combattre la fraude sociale.

Important : Pour connaître la date de fin de validité de votre carte SIS, ajoutez 10 ans à la date indiquée en bas à droite de votre carte (début de validité).

Pourquoi l'eID ?

La carte d'identité électronique présente divers avantages par rapport à la carte SIS :

Les pharmaciens et hôpitaux disposent des dernières données en matière d'assurance soins de santé.


De plus, ils peuvent consulter ces informations de manière sécurisée.
Le prestataire de soins connaît votre statut d'assuré social et applique ainsi le bon tarif.



Vous ne devez plus vous rendre dans une agence de votre mutualité pour mettre à jour vos données.


L'eID est efficace dans la lutte contre la fraude sociale.

Important : vos données d'assurance soins de santé ne sont pas enregistrées sur votre eID elle-même. Cette dernière donne seulement accès au réseau sécurisé MyCareNet qui permet l'échange d'informations entre les organismes assureurs et les prestataires de soins. En outre, votre mutualité, hôpital, médecin ou pharmacien ne peut pas consulter vos données personnelles sur l'eID.

Que dois-je faire ?

Avec ma carte SIS : pharmaciens ou hôpitaux peuvent encore l'utiliser jusqu'au 31 décembre 2013 puis, elle disparaîtra progressivement et les prestataires de soins demanderont votre eID.

Par conséquent, conservez-la tant qu'elle reste valide.



Avec mes vignettes : gardez-les aussi, car vous pouvez encore les utiliser pour les attestations destinées à votre mutualité et pour les analyses en laboratoire.


Avec ma Carte Européenne d'Assurance Maladie (CEAM) : vous en avez toujours besoin ! L'eID n'est valable qu'en Belgique.



Important : tous les enfants n'ont pas de carte d'identité électronique, mais des mesures de transition sont en préparation pour eux aussi.


source Partena
 
REFUSER DES SOINS URGENTS EN RAISON DES REVENUS BIENTÔT INTERDIT ?



Si cela ne tenait qu'à Maya et Leona Detiège (sp.a), refuser d'administrer des soins médicaux urgents en raison des revenus du patient serait interdit.


C'est du moins la proposition de loi introduite par la parlementaire et la sénatrice !



Accès aux soins


L'enquête quinquennale de santé montre que 13,7 % des Belges reportent des soins médicaux pour raisons financières.


Pour élargir l'accès aux soins médicaux, la parlementaire Maya et la sénatrice Leona Detiège proposent 4 mesures.



L'une de ces propositions de loi introduit une interdiction expresse pour les hôpitaux, médecins, dentistes et pharmaciens de refuser des soins médicaux nécessaires en raison des revenus du patient.

Autres propositions


En dehors de cette mesure, Maya et Leona Detiège plaident également pour une interdiction pour les hôpitaux, médecins, dentistes et pharmaciens de demander des avances.


Les deux autres propositions doivent principalement permettre aux patients de mieux comprendre les frais qui les attendent.


Il s'agit d'un formulaire d'admission plus transparent et "plus humain" et de l'obligation pour les hôpitaux de n'envoyer qu'une seule facture au patient, dans un délai de maximum trois mois.


source:partena
 
Retour
Haut