La ville nouvelle, initiée par le groupe Chaâbi, sétalera sur une superficie de 170 ha et comprendra un ensemble résidentiel de 21 000 logements.
Situé au carrefour reliant Tit-Mellil à Médiouna, elle abritera également écoles, commerces et hôtels.
La commission dinvestissement du CRI de Casablanca a validé le projet.
La rareté du foncier à Casablanca pousse les promoteurs vers les limites des zones urbaines comme ce fut le cas pour Addoha, la CGI et Palmeraie développement qui se sont associés pour construire la ville verte de Bouskoura. Cette expérience a eu un succès fou puisquà peine mis en vente, les logements (tous segments confondus) ont facilement trouvé preneur. Ce concept de ville intégrée a manifestement séduit lindustriel Miloud Chaâbi, qui sest lancé, à travers son groupe Ynna Holding, dans une expérience similaire.
En effet, le pôle immobilier du groupe (Chaabi Lil Iskane) se prépare à construire une grande cité dans les limites urbaines de la métropole, plus exactement aux abords du carrefour entre la route reliant Tit-Mellil à Médiouna (route n° 3015). Baptisée, cité Ibn Khaldoune, elle sétalera sur 170 ha dont 42 ha réservés aux logements de différents standings.
Laménagement et la ****-truction de lensemble des composantes du gigantesque projet se feront par les filiales. «Cest la force dun groupe intégré», affirme-t-on non sans fierté auprès dYnna Holding. Et dajouter que «les travaux ne démarreront certainement que dans deux ou trois mois, après lobtention de lautorisation de construire. Toutefois, un showroom sera réalisé bientôt sur le site même et dans lequel des appartements témoins seront édifiés ainsi que la maquette de tout le projet».
Signalons que si le projet na pas encore reçu lautorisation de construire, il est en revanche en accord avec les orientations du nouveau schéma directeur daménagement urbain et des futurs plans daménagement de Casablanca. «Le projet a obtenu laccord de principe de la commission dinvestissement (CRI). Les plans dexécution sont en cours dachèvement, dès leur dépôt et lobtention de lautorisation de construire, il y aura démarrage du projet», confirme la direction dYnna holding.
4 000 habitats haut standing et 8 000 logements sociaux
La cité Ibn Khaldoune nécessitera une enveloppe budgétaire globale estimée par le groupe à 9,5 milliards de DH dont 680 MDH pour le foncier. Le résidentiel engloutira près de 5 milliards de DH alors que les équipements nécessiteront 256 MDH et les grands équipements 935 millions. En fait, le projet est constitué de 3 tranches, à réaliser sur 6 ans. Chaque tranche comprend deux ou trois groupements dhabitations : haut standing, moyen standing et social.
Au total, lensemble résidentiel comprendra 21 000 logements repartis sur 42 ha dont 160 villas, 7 500 habitats résidentiels (en R+4) et 4 140 habitats résidentiels haut standing en R+7. Le moyen standing et le logement social ne sont pas en reste, puisque les promoteurs prévoient près de 1 200 appartements moyen standing (R+5) et 8 000 logements sociaux (R+4). En matière de logements donc, la cité Ibn Khaldoune sera beaucoup plus grande que la ville verte de Bouskoura. Rappelons quecette dernière compte quelque 5 000 logements, moyen et haut standing dont 500 villas et 2 000 appartements pour la CGI.
A en croire les promoteurs de la cité Ibn Khaldoune, la présence dhabitations de tous les segments ne devrait pas causer de problèmes de cohabitation aux riverains. «La cohabitation est gérée au niveau urbain et au niveau de la conception globale du projet puisque ce dernier est conforme aux dispositions du schéma directeur qui répartit loccupation des sols», explique-t-on auprès dYnna Holding.
Le promoteur négocie avec lIndiana State University pour créer une université américaine au Maroc
Sil représente une grande partie du projet, le résidentiel nen constitue pas la seule. «La cité est conçue sous forme de ville nouvelle avec des axes structurants et des équipements à léchelle régionale et provinciale. En fait, lhabitat ne constitue quun trait dunion entre ces composantes urbaines», précise-t-on. Les premiers immeubles de la cité Ibn Khaldoune devraient sortir de la terre dans moins de 3 ans.
Outre les logements donc, la cité comprendra un hypermarché Asswak Assalam, un hôtel, une dizaine décoles, quatre collèges, trois lycées et une trentaine déquipements sociaux tels que hamams, fours, boulangeries, crèches «Lhypermarché Asswak Assalam couvrira non seulement les besoins de la cité Ibn Khaldoune, mais également ceux du projet Al Omrane, du centre de Lahraouiyine et de Tit-Mellil», prévient-on auprès du promoteur.
Situé au carrefour reliant Tit-Mellil à Médiouna, elle abritera également écoles, commerces et hôtels.
La commission dinvestissement du CRI de Casablanca a validé le projet.
La rareté du foncier à Casablanca pousse les promoteurs vers les limites des zones urbaines comme ce fut le cas pour Addoha, la CGI et Palmeraie développement qui se sont associés pour construire la ville verte de Bouskoura. Cette expérience a eu un succès fou puisquà peine mis en vente, les logements (tous segments confondus) ont facilement trouvé preneur. Ce concept de ville intégrée a manifestement séduit lindustriel Miloud Chaâbi, qui sest lancé, à travers son groupe Ynna Holding, dans une expérience similaire.
En effet, le pôle immobilier du groupe (Chaabi Lil Iskane) se prépare à construire une grande cité dans les limites urbaines de la métropole, plus exactement aux abords du carrefour entre la route reliant Tit-Mellil à Médiouna (route n° 3015). Baptisée, cité Ibn Khaldoune, elle sétalera sur 170 ha dont 42 ha réservés aux logements de différents standings.
Laménagement et la ****-truction de lensemble des composantes du gigantesque projet se feront par les filiales. «Cest la force dun groupe intégré», affirme-t-on non sans fierté auprès dYnna Holding. Et dajouter que «les travaux ne démarreront certainement que dans deux ou trois mois, après lobtention de lautorisation de construire. Toutefois, un showroom sera réalisé bientôt sur le site même et dans lequel des appartements témoins seront édifiés ainsi que la maquette de tout le projet».
Signalons que si le projet na pas encore reçu lautorisation de construire, il est en revanche en accord avec les orientations du nouveau schéma directeur daménagement urbain et des futurs plans daménagement de Casablanca. «Le projet a obtenu laccord de principe de la commission dinvestissement (CRI). Les plans dexécution sont en cours dachèvement, dès leur dépôt et lobtention de lautorisation de construire, il y aura démarrage du projet», confirme la direction dYnna holding.
4 000 habitats haut standing et 8 000 logements sociaux
La cité Ibn Khaldoune nécessitera une enveloppe budgétaire globale estimée par le groupe à 9,5 milliards de DH dont 680 MDH pour le foncier. Le résidentiel engloutira près de 5 milliards de DH alors que les équipements nécessiteront 256 MDH et les grands équipements 935 millions. En fait, le projet est constitué de 3 tranches, à réaliser sur 6 ans. Chaque tranche comprend deux ou trois groupements dhabitations : haut standing, moyen standing et social.
Au total, lensemble résidentiel comprendra 21 000 logements repartis sur 42 ha dont 160 villas, 7 500 habitats résidentiels (en R+4) et 4 140 habitats résidentiels haut standing en R+7. Le moyen standing et le logement social ne sont pas en reste, puisque les promoteurs prévoient près de 1 200 appartements moyen standing (R+5) et 8 000 logements sociaux (R+4). En matière de logements donc, la cité Ibn Khaldoune sera beaucoup plus grande que la ville verte de Bouskoura. Rappelons quecette dernière compte quelque 5 000 logements, moyen et haut standing dont 500 villas et 2 000 appartements pour la CGI.
A en croire les promoteurs de la cité Ibn Khaldoune, la présence dhabitations de tous les segments ne devrait pas causer de problèmes de cohabitation aux riverains. «La cohabitation est gérée au niveau urbain et au niveau de la conception globale du projet puisque ce dernier est conforme aux dispositions du schéma directeur qui répartit loccupation des sols», explique-t-on auprès dYnna Holding.
Le promoteur négocie avec lIndiana State University pour créer une université américaine au Maroc
Sil représente une grande partie du projet, le résidentiel nen constitue pas la seule. «La cité est conçue sous forme de ville nouvelle avec des axes structurants et des équipements à léchelle régionale et provinciale. En fait, lhabitat ne constitue quun trait dunion entre ces composantes urbaines», précise-t-on. Les premiers immeubles de la cité Ibn Khaldoune devraient sortir de la terre dans moins de 3 ans.
Outre les logements donc, la cité comprendra un hypermarché Asswak Assalam, un hôtel, une dizaine décoles, quatre collèges, trois lycées et une trentaine déquipements sociaux tels que hamams, fours, boulangeries, crèches «Lhypermarché Asswak Assalam couvrira non seulement les besoins de la cité Ibn Khaldoune, mais également ceux du projet Al Omrane, du centre de Lahraouiyine et de Tit-Mellil», prévient-on auprès du promoteur.