salam
Il l'accuse d'entraver toute coopération antiterroriste approfondie dans la région : Alger mis à lindex par le Département d'Etat américain
C'est une mise en garde lancée par le Département d'Etat américain à l'égard de l'Algérie.
Ce dernier vient de rendre public son rapport annuel 2011 sur le terrorisme et dans lequel il a mis à l'index, d'une manière se voulant subtile Alger qui s'oppose déséspérement à tout règlement politique du conflit du Sahara.
« Le différend politique entre l'Algérie et le Maroc sur la question du Sahara a continué d'être une entrave à une coopération antiterroriste approfondie dans la région », lit-on dans ce document. Dans ce sens, le rapport constate que la branche d'Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) profite de la situation politique trop fragile dans la région (chute du régime libyen, coup d'Etat au Mali, etc.) pour renforcer ses positions et augmenter le nombre de ses sympathisants.
Ce groupe terroriste en connivence avec des fractions du Front du Polisario devient un danger réel pour tous les Etats de la région. Preuve en est, la décision prise la semaine dernière par le gouvernement espagnol de rapatrier tous les coopérants qui officiaient à Tindouf et au Nord du Mali.
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, García-Margallo, a expliqué, dans un point de presse, organisé lundi, que toutes les informations dont disposent les services de renseignements espagnols et d'autres pays voisins confirment que des groupes terroristes localisés au Nord du Mali avaient l'intention de kidnapper des coopérants comme ils avaient réussi à le faire il y a neuf mois dans le camp de Tindouf avec d'autres coopérants, à savoir Enric Gonyalons y Ainhoa Fernández.
L'entêtement des dirigeants algériens n'entrave pas seulement une solution politique du conflit du Sahara, mais les caciques du régime dAlger ne s'arrêtent pas là. Animés par les petits calculs politiciens, ils veulent à tout prix exclure le Maroc des réunions sécuritaires comme ce qui sest passé le 16 mars 2010 lorsque la capitale algérienne a abrité une réunion des Etats du
Sahel d'où le Royaume a été écarté.
Les manuvres politiciennes du régime algérien vont plus loin quand il s'oppose à toute signature d'un éventuel traité sur les armes classiques sous l'égide de l'ONU. Cette opposition ne peut être expliquée que par la volonté de l'Algérie d'utiliser ces armes pour alimenter les zones de conflits chauds dans la région, y compris le Sahara et le Sahel.
http://www.libe.ma/Il-l-accuse-d-en...region-Alger-mis-a-l-index-par-le_a29540.html
Il l'accuse d'entraver toute coopération antiterroriste approfondie dans la région : Alger mis à lindex par le Département d'Etat américain
C'est une mise en garde lancée par le Département d'Etat américain à l'égard de l'Algérie.
Ce dernier vient de rendre public son rapport annuel 2011 sur le terrorisme et dans lequel il a mis à l'index, d'une manière se voulant subtile Alger qui s'oppose déséspérement à tout règlement politique du conflit du Sahara.
« Le différend politique entre l'Algérie et le Maroc sur la question du Sahara a continué d'être une entrave à une coopération antiterroriste approfondie dans la région », lit-on dans ce document. Dans ce sens, le rapport constate que la branche d'Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) profite de la situation politique trop fragile dans la région (chute du régime libyen, coup d'Etat au Mali, etc.) pour renforcer ses positions et augmenter le nombre de ses sympathisants.
Ce groupe terroriste en connivence avec des fractions du Front du Polisario devient un danger réel pour tous les Etats de la région. Preuve en est, la décision prise la semaine dernière par le gouvernement espagnol de rapatrier tous les coopérants qui officiaient à Tindouf et au Nord du Mali.
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, García-Margallo, a expliqué, dans un point de presse, organisé lundi, que toutes les informations dont disposent les services de renseignements espagnols et d'autres pays voisins confirment que des groupes terroristes localisés au Nord du Mali avaient l'intention de kidnapper des coopérants comme ils avaient réussi à le faire il y a neuf mois dans le camp de Tindouf avec d'autres coopérants, à savoir Enric Gonyalons y Ainhoa Fernández.
L'entêtement des dirigeants algériens n'entrave pas seulement une solution politique du conflit du Sahara, mais les caciques du régime dAlger ne s'arrêtent pas là. Animés par les petits calculs politiciens, ils veulent à tout prix exclure le Maroc des réunions sécuritaires comme ce qui sest passé le 16 mars 2010 lorsque la capitale algérienne a abrité une réunion des Etats du
Sahel d'où le Royaume a été écarté.
Les manuvres politiciennes du régime algérien vont plus loin quand il s'oppose à toute signature d'un éventuel traité sur les armes classiques sous l'égide de l'ONU. Cette opposition ne peut être expliquée que par la volonté de l'Algérie d'utiliser ces armes pour alimenter les zones de conflits chauds dans la région, y compris le Sahara et le Sahel.
http://www.libe.ma/Il-l-accuse-d-en...region-Alger-mis-a-l-index-par-le_a29540.html