Comment Christopher Ross a-t-il tenté de boycotter les efforts du Maroc ?
La décision du Maroc de retirer sa confiance à lémissaire des Nations unies au Sahara, Christopher Ross, est légitime et souveraine. Ross a été subjectif en soutenant les adversaires de lintégrité territoriale. Il a cherché à embourber le processus de négociations enclenché par Peter Van Wallsum, son prédécesseur, écarté par lAlgérie. Dans sa manière de concevoir une solution, Christopher Ross na guère proposé une approche incitative à la résolution de ce conflit artificiel. Pire, il a voulu enterré, dans son dernier rapport, toutes les résolutions onusiennes qui nont cessé de concevoir le plan dautonomie marocain comme lunique proposition réaliste sur la table des négociations et constitue la base sérieuse et crédible de la solution. Dès lors, la prévarication de Ross a atteint un niveau intolérable. Il a montré son partialité et son manque dobjectivité. Sa prévenance envers lAlgérie nest pas passée inaperçue. La réaction de lAlgérie, qui a déclaré son soutien aux « efforts » de Ross, après cette décision légitime du Maroc, montre que ce pays est partie prenante dans le conflit.
-Quelle analyse faites-vous de la position algérienne ?
Il est très important de constater que le soutien dAlger à Ross après la décision souveraine du Maroc nest quune façon dinternationaliser le conflit au vu des derniers développements qua connue la scène politique algérienne. Noublions pas que lAlgérie na pas hésité à barrer la route de Peter Van Walsum lorsquil déclarait dans son rapport que « que lindépendance du Sahara nest pas une option réaliste ». Par conséquent, ladoption à lunanimité des membres du Conseil de sécurité de la dernière résolution 2044, en dépit des manigances des adversaires, qui ont inlassablement essayé délargir les prérogatives de la MINURSO pour contrôler les droits de lhomme dans les provinces sahariennes du Maroc, doit inciter notre pays à continuer dans la démocratisation de ses institutions. Il nest pas question de tomber dans le piège dAlger qui cherche à tout prix de discréditer lélan qua connue la démocratie marocaine après le discours du 9 mars.
http://www.lesoir-echos.com/il-nest-pas-question-de-tomber-dans-le-piege-dalger/presse-maroc/51696/
La décision du Maroc de retirer sa confiance à lémissaire des Nations unies au Sahara, Christopher Ross, est légitime et souveraine. Ross a été subjectif en soutenant les adversaires de lintégrité territoriale. Il a cherché à embourber le processus de négociations enclenché par Peter Van Wallsum, son prédécesseur, écarté par lAlgérie. Dans sa manière de concevoir une solution, Christopher Ross na guère proposé une approche incitative à la résolution de ce conflit artificiel. Pire, il a voulu enterré, dans son dernier rapport, toutes les résolutions onusiennes qui nont cessé de concevoir le plan dautonomie marocain comme lunique proposition réaliste sur la table des négociations et constitue la base sérieuse et crédible de la solution. Dès lors, la prévarication de Ross a atteint un niveau intolérable. Il a montré son partialité et son manque dobjectivité. Sa prévenance envers lAlgérie nest pas passée inaperçue. La réaction de lAlgérie, qui a déclaré son soutien aux « efforts » de Ross, après cette décision légitime du Maroc, montre que ce pays est partie prenante dans le conflit.
-Quelle analyse faites-vous de la position algérienne ?
Il est très important de constater que le soutien dAlger à Ross après la décision souveraine du Maroc nest quune façon dinternationaliser le conflit au vu des derniers développements qua connue la scène politique algérienne. Noublions pas que lAlgérie na pas hésité à barrer la route de Peter Van Walsum lorsquil déclarait dans son rapport que « que lindépendance du Sahara nest pas une option réaliste ». Par conséquent, ladoption à lunanimité des membres du Conseil de sécurité de la dernière résolution 2044, en dépit des manigances des adversaires, qui ont inlassablement essayé délargir les prérogatives de la MINURSO pour contrôler les droits de lhomme dans les provinces sahariennes du Maroc, doit inciter notre pays à continuer dans la démocratisation de ses institutions. Il nest pas question de tomber dans le piège dAlger qui cherche à tout prix de discréditer lélan qua connue la démocratie marocaine après le discours du 9 mars.
http://www.lesoir-echos.com/il-nest-pas-question-de-tomber-dans-le-piege-dalger/presse-maroc/51696/