Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
Il y a 2 ans, la police française assassinait wissam
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="SoumaSoum078, post: 12441693, member: 251650"] Communiqué pour le Nouvel An 2014 : Il y a 2 ans, la police française assassinait Wissam Le 1er janvier 2012, vers 3 heures du matin, Wissam El Yamni fut arrêté sur le parking de l'école Jean De La Fontaine à Clermont-Ferrand (France), après avoir jeté quelques pierres. Selon les nombreux témoins, un grand nombre de policiers commencèrent à le tabasser avant de l'emmener au commissariat, où il fut laissé allongé et inanimé sur le sol, le visage contre terre, avec le pantalon baissé jusqu'aux chevilles. Quand la police e décida enfin à appeler les secours, il était déjà trop tard. Il était mystérieusement tombé dans le coma et ne devait jamais se réveiller, pour finalement décéder dans l'après- midi du 9 janvier. Quelques jours après sa mort, des experts légistes de Saint-Etienne procédèrent à une autopsie. Cette autopsie fut réalisée sans prendre en considération le dossier médical, les photographies prises à l'hôpital lorsque Wissam était encore en vie et le fait que les blessures avaient cicatrisé au cours des 9 jours et demi qu'il avait passé en soins intensifs. Le rapport final fut rendu en mars, trois mois après la mort de Wissam. Suite à ce rapport, une contre-autopsie fut demandée dans la mesure où l'autopsie n'avait pas été réalisée avec l'ensemble des éléments objectifs. D'après l'expert légiste, le décès aurait été causé par un « pliage » (maintien d'une personne avec la tête entre ses jambes) et une excroissance osseuse. Le « pliage » fut considéré comme la cause du décès bien que le meurtrier de Wissam aie été la seule personne à en faire mention. Comme s'il ne s'agissait de rien d'autre qu'un simple accident. La contre-autopsie eu lieu en juin, trois mois après la requête, et le même expert légiste que pour la première autopsie fut choisi pour la réaliser. Il changea sa version, faisant porter la responsabilité à une intoxication du cœur, provoquée par une utilisation de stupéfiants. Durant six mois, Wissam ne fut pas inhumé -ceci ne sembla pas être une priorité- et son corps ne fut même pas conservé au froid. Une seconde autopsie fut réalisée en juin par un expert légiste de Poitiers. Depuis, selon ce dernier, le corps en putréfaction de Wissam ne pouvant subir un examen, l'autopsie fut faite à partir du dossier médical. En avril 2013, plus d'un an après la mort de Wissam, les conclusions de la contre-autopsie furent finalement rendues publiques. Réalisée à partir des résultats de la première autopsie, cette seconde autopsie suivi à nouveau la thèse d'une intoxication cardiaque. « L'expert cardiologue », qui était en l’occurrence gériatre, procéda à une expertise sans être un expert, de la même façon que « l'expertise radiologique » fut réalisée par une personne qui n'était pas experte dans ce domaine. Cette seconde expertise analysa les fractures et lésion au cou à partir des radiographies et photos prises post- mortem, alors que l'expert était en possession des photographies du 2 janviers et des radiographies et scanner du 1er janvier. Pour résumer : les lésions ont été analysées à deux reprises à partir de photos et scanners réalisés dix jours après les faits. Ces conclusions furent communiquées par le procureur aux médias avant que la famille et les soutien puissent y avoir accès. Dans le même temps, la Cour refusa d'enquêter et donna aux policier carte blanche pour dissimuler le meurtre... Notre nouveau site : [url]http://wissam-elyamni.com[/url] CHRONOLOGIE 1er janvier 2012 Les policiers fêtent le nouvel an au commissariat. Wissam El Yamni se fait interpeller rapidement sur le parking de l'école Jean De La Fontaine à Clermont-Ferrand le jour de l'an 2012 à environ 3h du matin. 25 policiers vont le lyncher puis le conduire au commissariat (selon les témoins et les recoupements). Que s'est il passé dans le couloir du commissariat, que nous cache t-on ??? 1er janvier 2012 : quelques heures après. Sur le dossier médical est écrit que Wissam avait au niveau du cou des: « marques de strangulation » Un des policiers présent qui devait lui même être contrôlé, contrôle à l'éthylotest au commissariat certains policiers triés sur le volet Wissam est placé en soins intensifs (il est dans le coma) Un policier vient prendre des photos (les 1 eres photos) 1ère version : règlement de comptes 2 janvier 2012 2ème version : arret cardiaque suite à des drogues Le personnel hospitalier prend des photos (les deuxièmes photos) 3 janvier 2012 La famille prend des photos (les troisièmes photos) 4 janvier 2012 Les policiers viennent reprendre des photos (les quatrièmes photos) Le capitaine de la police judiciaire joint les quatrièmes photos au dossier en les faisant dater du 1er janvier et cache la première série de photos 5 janvier au 9 janvier 2012 Une partie des témoins sont entendus 9 janvier après-midi 2012 Décès de Wissam 10-11 janvier 2012 Autopsie à Saint-Etienne sans le dossier médical, sans les photos sans la version des témoins mais avec la version policière présentée comme une vérité absolue Le médecin légiste prend des photos (les cinquièmes photos) A partir du 11 janvier 2012 jusqu'en juin 2012 Wissam n'est pas enterré ni placé en chambre froide 20 janvier 2012 3ème version : selon le pré-rapport d'autopsie Wissam serait mort d'un pliage amplifié par une excroissance osseuse (Pliage qui est prit comme une vérité alors que seul l'assassin de Wissam en fait référence) Version saugrenue dont on pense que le rapport final réfutera naturellement Mars 2012 Le rapport final est rendu, la thèse saugrenue d'une mort suite à un pliage d'une durée de moins de 5 min est retenue (les seules morts de pliage avérés le sont suite à des reconduites à la frontière de sans papiers où l'on maintient pendant de nombreuses heures la tete de la personne au niveau des genoux) => la contre-autopsie est demandée aussitôt en relevant les incohérences de la première autopsie La contre-autopsie n'est pas réalisée, la justice souhaite une expertise, qui est choisi comme expert ? Le 1er médecin légiste ! Donne t on à ce médecin légiste une chance de se rattraper ? Juin 2012 4 ème version : Le premier médecin légiste change de version, il serait mort d'un « cocktail toxique de drogues »=> le médecin légiste n'est plus crédible=>espoir que la contre-autopsie fera que tout rentra dans l'ordre Le médecin légiste de Poitiers fait une « contre-expertise » sur dossier vu que le corps de Wissam est en putréfaction vu qu'ils n'ont pas pensé à le mettre dans le froid et la justice permet enfin d'enterrer le corps de Wissam Avril 2013 Le médecin légiste a accès aux éléments orientés de la première autopsie, peut on donc parler de contre-autopsie ? Le médecin légiste reprend la 4ème version des conclusions erronées du médecin légiste (version expert) Un gériatre de profession de Poitiers non spécialiste en cardiologie (et qui reconnaissait lui même que la cardiologie n'était pas sa filière cf publication jean yves poupet cf pièce jointe) réalise une expertise cardiologique Une radiologue de Poitiers non inscrite dans la liste des experts réalise une expertise radiologique La cinquième série de photos (du 11 janvier) sont utilisées dans l'analyse des blessures au cou en faisant croire que l'analyse est réalisée à partir des photos du 2 janvier : grâce à elle le médecin légiste conclut qu'il s'agit là de « frottements de vêtements » Le médecin légiste de Poitiers ment sur l'horaire des prélèvements sanguins Le médecin légiste de Poitiers va au delà des conclusions du pseudo expert cardiologue comme le remarque l'expert cardiologue qui réfutera ces conclusion Juin 2013 Une expertise cardiologique, réalisée par un cardiologue réputée et non un simple gériatre réfute les conclusion d'une mort suite à un « cocktail de drogues » CE QUE L'ON DEMANDE - que le juge d'instruction instruise (elle refuse d'instruire) - qu'un collège d'experts enquête sur la mort - que les photos du 1er janvier soient les uniques photos qui servent à l'analyse des blessures (les photos du 2 janvier sont en pièces jointes) - que l'ensemble des enregistrements radios et vidéos de la soirée nous soit donné pour comprendre les intentions (ce qui est refusé pour le moment) liens : Politis : [url]http://www.politis.fr/Apres-la-bavure-l-impossible-quete,23755.html[/url] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
Il y a 2 ans, la police française assassinait wissam
Haut