Il y a-t-il le mieux que la dictature

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Il y a-t-il le mieux que la dictature ?

Aristote dirait que la dictature est le meilleur des régime quand le leader est intègre et sage, mais le pire des régimes quand le leader est corrompu.

Le problème est que le pouvoir attire en général les individus corrompus et égoïstes, et non les coeurs purs. Ensuite, le pouvoir corrompt souvent ceux qui l'ont.

Cependant, regardez Pepe Mujica, de l'Uruguay.
 
Aristote dirait que la dictature est le meilleur des régime quand le leader est intègre et sage, mais le pire des régimes quand le leader est corrompu.

Le problème est que le pouvoir attire en général les individus corrompus et égoïstes, et non les coeurs purs. Ensuite, le pouvoir corrompt souvent ceux qui l'ont.

Cependant, regardez Pepe Mujica, de l'Uruguay.
bel exemple que pepe !
 
Quelque soit le système dans le quel on vie, dans le fond ce n’est qu’une dictature pour une partie de la population ..
 
Aristote dirait que la dictature est le meilleur des régime quand le leader est intègre et sage, mais le pire des régimes quand le leader est corrompu.
Très belle citation Ebion. ;)
Tu as peut être résumer tout ce que Hobbes voulait transmettre par son livre.
 
Très belle citation Ebion. ;)
Tu as peut être résumer tout ce que Hobbes voulait transmettre par son livre.

Oui... en fait étant donné que Hobbes vivait dans une civilisation chrétienne, il avait beau argumenter pour un monarque avec un pouvoir absolu, et même le pouvoir de définir ce qui est permis et défendu, il reste qu'il était très embarrassé de répondre à l'objection selon laquelle un tel leader pourrait être antichrétien et persécuter les chrétiens. Et même à son époque, il y avait des exemples historiques.

La théorie de Hobbes est donc athée. Le politique absorbe le religieux et même la morale.

Je préfère l'enseignement de l'Église : la démocratie est une bonne chose, et la laïcité aussi, mais l'activité politique est pas indépendante de la morale humaine. En politique, peu importe les majorités et les minorités et les courants d'opinions, il reste les exigences de la morale, qui ne varient pas d'un temps à l'autre ni d'un lieu à l'autre.

L'Église ne veut pas imposer une religion à la société, au sens d'une adhésion à une communauté, d'une foi surnaturelle et de la pratique des sacrements. Elle insiste cependant pour le respect de la morale, fondée sur la nature humaine universelle comme l'Église la perçoit.

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