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« Ils plantaient les gens à l’aveugle »
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[QUOTE="Chriski, post: 18086457, member: 393841"] Vers 2 heures du matin qu’une altercation futile fait basculer la soirée. Elle va entraîner un enchaînement de violence mortelle." Futile, oui, c'est bien le mot: un garçon tire les cheveux d'un jeune de Romans, un certains Yliès. D'autant plus futile que la personne mise en cause de le tirage de cheveux nie le geste. Va s'ensuivre une gigantesque bagarre, de nombreux blessés à l'arme blanche, et la mort de Thomas. Imaginons la scène inverse: des jeunes de Crépol font du forcing pour s'inviter dans une soirée au quartier de la Monnaie. Un jeune de Romans tire les cheveux d'un rugbyman en fin de soirée en l'appelant Chiquita, et s'ensuivrait une énorme bagarre, des jeunes de Crépol viendraient en renfort munis d'armes blanches, et un jeune de la Monnaie mourrait sous un coup de couteau. L'indignation serait évidemment gigantesque. - Elément nouveau publié par Le Parisien: « Au cours de la soirée, Thomas (L.) m’a dit J’ai envie de taper des bougnoules », a confié une amie du rugbyman aux enquêteurs." Thomas L. n'est donc pas Thomas Perotto, mais celui qui aurait tiré les cheveux. Et qui sera sérieusement blessé au cours de la bagarre, poignardé à deux reprises. Cette phrase est bien sûr à condamner. Et il faut s'en indigner pour les mêmes raisons que l'on s'indigne des témoignages d'autres participants, cités plus haut, évoquant du racisme anti-blancs. - "La bataille entre les deux camps s’avère déséquilibrée" souligne Le Parisien. "Côté Romans, plusieurs agresseurs sont armés de couteaux voire, selon certains témoignages, de « gants coqués ». Côté rugbymen, on n’a que les poings." Après le meurtre de Thomas, les Romanais quittent précipitamment les lieux. Non sans avoir tiré un coup de feu depuis l'une des voitures. [/QUOTE]
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