Mercredi 25 décembre à la Cour d’appel de Casablanca. Sept personnes vont rejoindre le banc des accusés (voir tableau). Ils sont poursuivis, chacun en ce qui le concerne, pour crime d’association de malfaiteurs, faux et usage de faux en écriture, escroquerie, abus de confiance… L’affaire dite «Dr Brissot» est jugée en première instance. Les débats publics viennent de démarrer: Lotfi Bensakour, qui se présente comme gérant de société immobilière, est le premier accusé à être auditionné le 18 décembre par les juges.
Au-delà de ce procès, les enquêteurs de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) ont lancé des investigations sur des dossiers similaires et estampillés comme étant ceux «des biens immobiliers spoliés et appartenant aux étrangers» et à des Marocains aussi. Des affaires, y compris celle du Dr Brissot, qui sonnent désormais le glas dans les milieux judiciaire et diplomatique. De quoi s’agit-il au juste?
Des résidents français, des Marocains musulmans ou de confession juive qui affirment se retrouver du jour au lendemain «dépossédés de leurs biens situés pour la plupart à Casablanca». L’un d’eux, Fayçal Kimia, nous déclare «avoir arrêté toute activité professionnelle pour se plonger corps et âme dans les méandres des réseaux».
Envahi qu’il est par «l’obsession de comprendre comment la villa où il est né, grandi, s’est marié et a eu des enfants» est passée à la trappe.
http://www.leconomiste.com/article/914443-immobilier-l-effet-domino-d-une-poursuite-judiciaire
Au-delà de ce procès, les enquêteurs de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) ont lancé des investigations sur des dossiers similaires et estampillés comme étant ceux «des biens immobiliers spoliés et appartenant aux étrangers» et à des Marocains aussi. Des affaires, y compris celle du Dr Brissot, qui sonnent désormais le glas dans les milieux judiciaire et diplomatique. De quoi s’agit-il au juste?
Des résidents français, des Marocains musulmans ou de confession juive qui affirment se retrouver du jour au lendemain «dépossédés de leurs biens situés pour la plupart à Casablanca». L’un d’eux, Fayçal Kimia, nous déclare «avoir arrêté toute activité professionnelle pour se plonger corps et âme dans les méandres des réseaux».
Envahi qu’il est par «l’obsession de comprendre comment la villa où il est né, grandi, s’est marié et a eu des enfants» est passée à la trappe.
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