Incendie dans le quartier des Moulins à Nice: 7 morts, la piste criminelle envisagée, Attal et Darmanin attendus sur place...

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

Le drame s'est noué vers 2h30 heures du matin rue de la Santoline dans le quartier des Moulins à Nice.​

Suivez les dernières informations en direct ....​


 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

« On cherchait des extincteurs et il n’y en avait pas ! » : à Nice, l’émotion et la colère après l’incendie criminel qui a fait sept morts​


REPORTAGE - Alors que trois individus, probablement des narcotrafiquants, sont toujours recherchés, voisins et amis des victimes se sont rassemblés devant les lieux du drame, ce jeudi.

Il est 13 heures, ce jeudi, quand le premier ministre démissionnaire débarque rue de la Santoline, dans le quartier des Moulins, à Nice. Gabriel Attal est entouré du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, du préfet des Alpes-Maritimes, du procureur de la République de Nice, du maire de la capitale azuréenne et des représentants des secours et des forces de l’ordre. Tous ont la mine grave. Au-dessus de leur tête, quatre fenêtres du 7e étage d’une tour désuète, couvertes de suie, témoignent du drame qui a eu lieu quelques heures plus tôt.

Vers 2 h 30 cette nuit-là, sept personnes, dont trois enfants de 5, 7 et 10 ans ainsi qu’un adolescent de 17 ans ont péri dans un incendie criminel. Selon des sources proches du dossier, ils sont très probablement les victimes collatérales d’un règlement de comptes entre narcotrafiquants, alors que les dealers font régner la terreur depuis des années dans cette cité de l’ouest niçois.

 
Pauvre famille, pauvres enfants, victimes collatérales de la guerre des gangs dans la cité des Moulins.

Comment ces jeunes écervelés peuvent-ils incendier un immeuble, sans se soucier des conséquences ?

Témoignage d'un des survivants.

 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

Incendie mortel à Nice : deux suspects déférés, une information judiciaire ouverte​

Quatre jours après l'incendie mortel à Nice, deux suspects placés en garde à vue ont été déférés en vue d'une éventuelle mise en examen, a indiqué le procureur de la ville des Alpes-Maritimes, lundi 22 juillet.

Après l'incendie qui a fait sept morts à Nice, le procureur de la République de la ville des Alpes-Maritimes, Damien Martinelli, a annoncé qu'une information judiciaire avait été ouverte pour "destruction volontaire par incendie en bande organisée ayant entraîné la mort" et "association de malfaiteurs", lors d'une conférence de presse relayée par BFMTV, lundi 22 juillet. Deux suspects placés en garde à vue ont été déférés en vue d'une éventuelle mise en examen. L'incendie mortel est "susceptible de présenter un lien" avec le contrôle de point de trafic de drogue dans le quartier effectué quelques jours plus tôt, a ajouté le procureur. Néanmoins, ce dernier a précisé que les victimes n'avaient pas de lien avec le trafic en question.

La veille, un suspect avait été placé en garde à vue, indiquait BFMTV. Il s'agit d'un homme qui pourrait avoir mis le feu à l'immeuble. Il a été interpellé en région parisienne par la BRI nationale et des agents de différents services de police judiciaire. Âgé de 21 ans, il est défavorablement connu des services de police, précise Le Parisien. Originaire d'Argenteuil (Val-d'Oise), il s'était réfugié à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, chez des proches, et portait des bandages aux mollets, afin de protéger des brûlures. Selon le quotidien, il avait manifester l'envie de se rendre à l'étranger, ce qui a eu pour effet d'accélérer son arrestation.

Trois enfants et un adolescent tués

Le Parisien ajoute que l'incendie aurait été commandité par des Niçois. Ils auraient eu recours aux services de "jobeurs", des personnes le plus souvent recrutées sur les réseaux sociaux pour régler le compte de rivaux. Une pratique courante dans le milieu du trafic de drogue. L'arrestation de dimanche porte donc à deux le nombre de personnes gardées à vue dans le dossier de l'incendie. Une autre personne suspectée d'être un proche de l'un des incendiaires recherchés avait été placée en garde à vue en fin de semaine dernière. Un ou plusieurs autres auteurs présumés restent activement recherchés. Le soir de l'incendie, des images de vidéosurveillance avaient montré trois personnes entrer dans l'immeuble avant le départ de feu. Toutes les trois en étaient ressorties à l'heure de l'incendie, indique la chaîne d'information en continu.

Survenu dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 juillet, l'incendie a ravagé un appartement situé au septième étage d’un immeuble du quartier populaire des Moulins, à Nice. Sept personnes d’une même famille sont mortes dont trois enfants âgés de 5, 7 et 10 ans, et un adolescent de 17 ans. Trois personnes ont également été blessées.

publié le 22 juillet à 17h40, Cathy Gerig et Cédric Alexis, 6Medias
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur

Moulins à Nice: une marche blanche en hommage aux 7 victimes a démarré...​



Environ 200 personnes se sont réunies mercredi vers 18h à Nice en hommage aux 7 victimes de l'incendie criminel qui a ravagé un appartement du quartier des Moulins.

La marche blanche en hommage aux sept personnes qui ont péri dans l’incendie des Moulins a commencé, mercredi vers 18h. Quelque 200 personnes, roses à la main, ont commencé à marcher vers le lieu du drame.

Ils auraient pu être plus, mais de nombreux habitants de cette cité de l’ouest de Nice pensaient que l’hommage était annulé.

Le cortège est parti de l’église pour se diriger vers la barre d'immeuble où la tragédie s'est déroulée. Là où sept personnes d’une même famille, dont quatre enfants, ont péri dans l’incendie criminel, jeudi dernier.

Un drame qui a endeuillé tous les habitants de ce quartier populaire.

 
Haut