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Bladinaute averti
LONG Transparency International a publié ce jeudi 1er décembre son indice annuel de perception de la corruption. Sur les 183 pays classés, lAlgérie arrive à la 112e place avec une note de 2,9 sur 10. Plus regrettable encore, elle perd 7 places par rapport à lan dernier. Selon le barème de cet indice, un score inférieur à 3 sur 10 indique que le pays connait un haut niveau de corruption au sein des institutions de lÉtat. Dans la région MENA, les résultats des pays sont dans lensemble mauvais. Par exemple, le Maroc est classé à la 80e place avec une note de 3,4 et la Tunisie à la 73e place avec un score de 3,8. LÉgypte est ex‑æquo avec lAlgérie. Le moins bien classé est lIrak, à la 175e place avec un score de 1,8. Le mieux classé est le Qatar à la 22e place mondiale avec un score de 7,2.
Pour lAssociation algérienne de lutte contre la corruption (AACC), «ces très mauvais résultats de lAlgérie pour la 9e année consécutive ne sont pas une surprise, ces dernières années ayant été marquées non seulement par une explosion des affaires de grande corruption, mais aussi par une totale absence de volonté politique du pouvoir à lutter contre la corruption». Dans un communiqué publié ce jeudi, lAACC indique que ce classement est «révélateur de laggravation de la situation qui prévaut en Algérie en matière de gouvernance».
Selon lAACC, «le pouvoir algérien gangréné par la corruption est prêt à tout pour se maintenir en place pouvoir absolu, corrompant absolument , manipulant à souhait le Code des marchés publics, le vidant de toute sa substance ; instrumentalisant la justice, aujourdhui plus que jamais, dont le traitement judiciaire à plusieurs vitesses des grands scandales de corruption est un des aspects les plus sombres ; réprimant, harcelant, emprisonnant, en toute illégalité, tout citoyen qui ose rendre publics des détournements et autre gabegie».
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TSA
Pour lAssociation algérienne de lutte contre la corruption (AACC), «ces très mauvais résultats de lAlgérie pour la 9e année consécutive ne sont pas une surprise, ces dernières années ayant été marquées non seulement par une explosion des affaires de grande corruption, mais aussi par une totale absence de volonté politique du pouvoir à lutter contre la corruption». Dans un communiqué publié ce jeudi, lAACC indique que ce classement est «révélateur de laggravation de la situation qui prévaut en Algérie en matière de gouvernance».
Selon lAACC, «le pouvoir algérien gangréné par la corruption est prêt à tout pour se maintenir en place pouvoir absolu, corrompant absolument , manipulant à souhait le Code des marchés publics, le vidant de toute sa substance ; instrumentalisant la justice, aujourdhui plus que jamais, dont le traitement judiciaire à plusieurs vitesses des grands scandales de corruption est un des aspects les plus sombres ; réprimant, harcelant, emprisonnant, en toute illégalité, tout citoyen qui ose rendre publics des détournements et autre gabegie».
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TSA