Les innovations littéraires, artistiques...

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Distributeurs d'histoires courtes

Le Distributeur d'histoires courtes, installé en première mondiale à Grenoble, vit actuellement une naissance de star ! C'est donc une première en France (et dans le monde...) : Short Edition s'est associé à deux collectivités territoriales, Ville de Grenoble et le Département de l’Isère.
Il n’a pas d’écran et il distribue des histoires courtes à lire sur de beaux tickets papier, pour agrémenter les petits temps d’attente incompressibles. Vous pouvez choisir entre 1, 3 ou 5 minutes de lecture, selon votre temps de disponibilité et votre envie.
Ces histoires courtes, des micro-nouvelles originales, sont écrites par des auteurs de la communauté de Short Edition.​
 

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Une oeuvre unique par semaine :

A la Morioka Bookstore de Tokyo, on ne se perd pas dans les rayons... Cette librairie japonaise mise sur un concept commercial des plus... inédit : la vente d'un livre unique par semaine ! Plus proche finalement d'une galerie d'art que d'une librairie, le décor de la Morioka Bookstore mue même en fonction de l'oeuvre...

132899
 

Pièces jointes

  • inédit.jpg
    inédit.jpg
    25.9 KB · Affichages: 4

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Aucune innovation ...mais la fin d'un mythe me concernant :(

Le père d'Alice au pays des merveilles ou Lewis Carroll, un pédophile victorien :

Résumé : L'idéalisation de l'enfance va de pair avec la maltraitance. La littérature enfantine anglaise du XIXe siècle témoigne de cette réalité, ancrée dans l'histoire familiale de ses auteurs.


Charles Lutwidge Dodgson, alias Lewis Carroll - auteur glorifié d'Alice au Pays des Merveilles - souffrait d'une obsession maladive pour les fillettes. Ses œuvres d'écrivain et de photographe, ainsi que l'abondante correspondance intime qu'il a léguées, permettent de reconstituer l'univers dans lequel il a vécu et de mettre à jour l'origine de ses névroses sexuelles. Ainsi, l'idéalisation de l'enfance qui caractérise la littérature enfantine inaugurée par Carroll porte-t-elle les marques de l'abus et de l'enfermement dans lequel des générations d'enfants furent tenus. Et c'est pourquoi ces écrits fascinent tant.

Idolâtrie

« J'espère que vous m'autoriserez à photographier tout au moins Janet nue ; il paraît absurde d'avoir le moindre scrupule au sujet de la nudité d'une enfant de cet âge. » (1) Quand il écrit ces lignes péremptoires à la mère de trois fillettes, Lewis Carroll a derrière lui une longue pratique de la photographie, largement dédiée à ses « amies-enfants », avec lesquelles l'honorable professeur de mathématiques entretient des relations passionnées. Au Christ Church College où il enseigne, la résidence de Carroll ressemble à une nursery remplie de jouets animés et lorsqu'il y invite une enfant particulièrement exquise, il écrit dans son journal : « Je marque ce jour d'une pierre blanche. » Vers 1850, il commence à photographier les fillettes dans des poses d'héroïnes de contes de fées, puis passe à des clichés déshabillés qu'il exige qu'on détruise après sa mort, avant d'abandonner la photographie en 1880 (2).


http://www.regardconscient.net/archi03/0304carroll.html
 

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Avec « Rêve aux Lettres », les personnages de l’histoire envoient des lettres à votre enfant qui devient ainsi le héros de sa propre aventure. Garçon ou fille, il accède aux plus hautes responsabilités et doit faire appel à son intelligence pour commander et résoudre des mystères. Il répond lui aussi par écrit et poste ses réponses qui détermineront la suite de l’histoire.
Pour la première fois, votre enfant devient réellement le héros et l'auteur de sa propre aventure.

http://www.reveauxlettres.fr/
 

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Alors il faudrait pas que ce soit des pavés lol:D
J'évite de transporter plus d'1 livre sinon c'est pas bon pour les épaules et le dos

Un pavé et un plus petit ...c'est devenu une habitude.

Le mal de dos est juste l'expression du corps...on parle de " mal-à -dit "
 
Haut