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Un Belge membre de Facebook peut désormais mentionner sur la page de son profil s'il veut donner ses organes après sa mort et informer par la même tous ses amis. L'application redirige ensuite vers la page web de Beldonor pour que la personne s'inscrive plus officiellement.
Elle existe depuis 2005 et a été utilisée par 144 000 belges. Le Premier ministre belge Elio Di Rupo (et ses immanquables noeuds papillons) s'est lui-même déclaré comme donneur via Facebook pour montrer l'exemple. En Belgique, 1200 patients attendent une transplantation et 66 sont décédés en 2011 faute d'organe à transplanter.
"Toute personne est présumée consentir au don d'organes destinés à la transplantation après son décès, sauf si elle exprime son refus lorsqu'elle est en vie", stipule la loi. Mais, dans la pratique, les proches du défunt sont consultés avant tout prélèvement, ce qui peut entraîner des refus.
En affichant sa volonté sur Facebook, le donneur d'organes clarifie sa position.
Le fondateur du réseau social, Mark Zuckerberg, a eu l'idée de cette nouvelle fonction lors d'une conversation avec sa petite amie, étudiante en médecine.
Il a aussi parlé de ce sujet avec feu Steve Jobs. Le cofondateur d'Apple décédé l'an dernier avait reçu une greffe du foie en 2009. L'application est déjà présente aux USA, en Grande-Bretagne et au Canada. La France et le Danemark devraient normalement bientôt y venir.

Libération
Un Belge membre de Facebook peut désormais mentionner sur la page de son profil s'il veut donner ses organes après sa mort et informer par la même tous ses amis. L'application redirige ensuite vers la page web de Beldonor pour que la personne s'inscrive plus officiellement.
Elle existe depuis 2005 et a été utilisée par 144 000 belges. Le Premier ministre belge Elio Di Rupo (et ses immanquables noeuds papillons) s'est lui-même déclaré comme donneur via Facebook pour montrer l'exemple. En Belgique, 1200 patients attendent une transplantation et 66 sont décédés en 2011 faute d'organe à transplanter.
"Toute personne est présumée consentir au don d'organes destinés à la transplantation après son décès, sauf si elle exprime son refus lorsqu'elle est en vie", stipule la loi. Mais, dans la pratique, les proches du défunt sont consultés avant tout prélèvement, ce qui peut entraîner des refus.
En affichant sa volonté sur Facebook, le donneur d'organes clarifie sa position.
Le fondateur du réseau social, Mark Zuckerberg, a eu l'idée de cette nouvelle fonction lors d'une conversation avec sa petite amie, étudiante en médecine.
Il a aussi parlé de ce sujet avec feu Steve Jobs. Le cofondateur d'Apple décédé l'an dernier avait reçu une greffe du foie en 2009. L'application est déjà présente aux USA, en Grande-Bretagne et au Canada. La France et le Danemark devraient normalement bientôt y venir.

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