La campagne vise à sensibiliser les enfants, les parents et les éducateurs aux risques liés à l’usage d’Internet par des enfants, à leur apprendre à se poser les bonnes questions et à adopter les bons réflexes.
«Certains parents que je reçois ont tendance à banaliser ces dangers virtuels et me disent que lorsqu’ils surfent sur Internet, leurs enfants restent physiquement à la maison. Ils ont donc l’impression de les protéger ainsi de l’extérieur», déclare Imane Kendili, psychiatre.
C’est justement pour éviter ce problème que l’opérateur enrichit son site internet d’un espace de sensibilisation. Cette plateforme a été conçue de manière personnalisée avec une partie pour les enfants, mettant en scène des personnages ludiques et une autre destinée aux parents. «Nous avons créé deux petits personnages, un garçon, Rayane, une fille, Lina, pour que tous les enfants puissent s’identifier à eux, quel que soit leur genre», précise Kenza Bouziri, Manager RSE chez Inwi.
L’opérateur va également proposer un outil de contrôle parental qui sera étendu à tous les produits internet commercialisés (tablettes, smartphones, ordinateur…).
Il comporte plusieurs fonctionnalités de sécurité et de contrôle comme le filtrage personnalisé, la gestion des contacts et de la consommation, le suivi des pages visitées, etc.
Ces dispositifs seront enfin complétés par «appli kids», une application mobile permettant aux enfants d’utiliser en toute sécurité le smartphone ou la tablette de leurs parents. Cette application offre un espace sécurisé, protégé par un mot de passe parental à 4 chiffres qui transforme l’interface d’accueil en un véritable bureau personnalisé pour l’enfant et lui offre un accès à Internet sécurisé à travers des milliers de contenus vérifiés. «Les parents décideront eux-mêmes des applications dont ils veulent autoriser ou interdire l’accès», explique la manager d’Inwi.
Mais pour l’opérateur, protéger les enfants sur Internet ne doit pas se transformer en une banale action de censure. «Nous souhaitons offrir la possibilité aux enfants et aux parents de discuter ensemble de ce que l’on va autoriser ou non, d’expliquer pourquoi. Tout ceci dans le but de créer un échange. L’enfant doit se sentir suffisamment en sécurité pour parler d’une mésaventure vécue sur Internet ou alerter quant il rencontre un contenu ou un contact suspect», indique Kenza Bouziri.
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«Certains parents que je reçois ont tendance à banaliser ces dangers virtuels et me disent que lorsqu’ils surfent sur Internet, leurs enfants restent physiquement à la maison. Ils ont donc l’impression de les protéger ainsi de l’extérieur», déclare Imane Kendili, psychiatre.
C’est justement pour éviter ce problème que l’opérateur enrichit son site internet d’un espace de sensibilisation. Cette plateforme a été conçue de manière personnalisée avec une partie pour les enfants, mettant en scène des personnages ludiques et une autre destinée aux parents. «Nous avons créé deux petits personnages, un garçon, Rayane, une fille, Lina, pour que tous les enfants puissent s’identifier à eux, quel que soit leur genre», précise Kenza Bouziri, Manager RSE chez Inwi.
L’opérateur va également proposer un outil de contrôle parental qui sera étendu à tous les produits internet commercialisés (tablettes, smartphones, ordinateur…).
Il comporte plusieurs fonctionnalités de sécurité et de contrôle comme le filtrage personnalisé, la gestion des contacts et de la consommation, le suivi des pages visitées, etc.
Ces dispositifs seront enfin complétés par «appli kids», une application mobile permettant aux enfants d’utiliser en toute sécurité le smartphone ou la tablette de leurs parents. Cette application offre un espace sécurisé, protégé par un mot de passe parental à 4 chiffres qui transforme l’interface d’accueil en un véritable bureau personnalisé pour l’enfant et lui offre un accès à Internet sécurisé à travers des milliers de contenus vérifiés. «Les parents décideront eux-mêmes des applications dont ils veulent autoriser ou interdire l’accès», explique la manager d’Inwi.
Mais pour l’opérateur, protéger les enfants sur Internet ne doit pas se transformer en une banale action de censure. «Nous souhaitons offrir la possibilité aux enfants et aux parents de discuter ensemble de ce que l’on va autoriser ou non, d’expliquer pourquoi. Tout ceci dans le but de créer un échange. L’enfant doit se sentir suffisamment en sécurité pour parler d’une mésaventure vécue sur Internet ou alerter quant il rencontre un contenu ou un contact suspect», indique Kenza Bouziri.
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