De nouveaux heurts ont éclaté aujourd'hui à Téhéran entre quelque 200 partisans de Mir Hossein Moussavi et la police, qui a fait usage de gaz lacrymogène.
Les manifestants, qui protestent place Vali Asr contre la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad, ont à nouveau scandé "Mort au dictateur!", et lancé des pierres en direction de la police.
Les forces de l'ordre ont alors riposté à l'aide de bombes lacrymogènes, dans le but de disperser les manifestants.
Selon le journaliste de l'AFP, la présence policière était massive aujourd'hui dans les rues de Téhéran, autour du ministère de l'Intérieur, au lendemain de violents affrontements.
L'annonce officielle de la réélection de M. Ahmadinejad a provoqué des émeutes en plein coeur de Téhéran de la part des partisans de son principal rival, le conservateur modéré Mir Hossein Moussavi, et des accusations de tricherie.
Les heurts se sont poursuivis dans la nuit avant que le calme ne revienne finalement vers deux heures du matin, après le déploiement des forces de l'ordre, des agents en civils et des bassidjis (milice islamique).
Le réseau de téléphonie portable, coupé samedi soir, a été rétabli dimanche matin.
La capitale n'avait pas connu de telles violences depuis les émeutes estudiantines de juillet 1999.
lefigaro.fr
Les manifestants, qui protestent place Vali Asr contre la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad, ont à nouveau scandé "Mort au dictateur!", et lancé des pierres en direction de la police.
Les forces de l'ordre ont alors riposté à l'aide de bombes lacrymogènes, dans le but de disperser les manifestants.
Selon le journaliste de l'AFP, la présence policière était massive aujourd'hui dans les rues de Téhéran, autour du ministère de l'Intérieur, au lendemain de violents affrontements.
L'annonce officielle de la réélection de M. Ahmadinejad a provoqué des émeutes en plein coeur de Téhéran de la part des partisans de son principal rival, le conservateur modéré Mir Hossein Moussavi, et des accusations de tricherie.
Les heurts se sont poursuivis dans la nuit avant que le calme ne revienne finalement vers deux heures du matin, après le déploiement des forces de l'ordre, des agents en civils et des bassidjis (milice islamique).
Le réseau de téléphonie portable, coupé samedi soir, a été rétabli dimanche matin.
La capitale n'avait pas connu de telles violences depuis les émeutes estudiantines de juillet 1999.
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