tizniti
Soyons sérieux .
Maurice Béjart. “Je ne pourrais croire qu’en un Dieu qui saurait danser”.
Fils de philosophe, élevé dans la religion catholique, inspiré par le bouddhisme, amoureux du Japon ou de l’Allemagne, converti à l’islam, Béjart était un homme qui laissait la place au doute. Créateur de plus de deux cents ballets, œuvres d’inspiration et œuvres de commande mêlées, il donna l'image d'un homme libre. J'aime à l'imaginer parcourant désormais le monde des anges, des djinns ou des dieux hindous. Peut-être crée-il pour un peuple de lumière une ultime chorégraphie?
Islam et chorégraphie ....Une alchimie ou sont-ils incompatible.
En un mot est-ce que la chorégraphie est Haram?
Fils de philosophe, élevé dans la religion catholique, inspiré par le bouddhisme, amoureux du Japon ou de l’Allemagne, converti à l’islam, Béjart était un homme qui laissait la place au doute. Créateur de plus de deux cents ballets, œuvres d’inspiration et œuvres de commande mêlées, il donna l'image d'un homme libre. J'aime à l'imaginer parcourant désormais le monde des anges, des djinns ou des dieux hindous. Peut-être crée-il pour un peuple de lumière une ultime chorégraphie?
Islam et chorégraphie ....Une alchimie ou sont-ils incompatible.
En un mot est-ce que la chorégraphie est Haram?