Objectif: Comprendre les croyances et comportements laïcs, les enseignements religieux et les perceptions professionnelles liés à la prévention du diabète dans la communauté Bangladeshie. Conception : Etude qualitative (focus groupe et entrevues semi-structurées).
Contexte : Tower Hamlets, un arrondissement de Londres démuni au niveau socioéconomique, au Royaume-Uni.
Participants : Des personnes dorigine Bangladeshie non atteints de diabète (phase 1), des chefs religieux et des intellectuels islamiques (phase 2) et des professionnels du domaine de la santé (phase 3).
Méthodes : 17 focus groupes furent dirigés au moyen de léchantillonnage de circonstance en trois phases séquentielles. Une analyse thématique fut employée répétitivement afin daboutir à une concentration progressive et de développer une théorie. Afin dexaminer les tensions présentes parmi les données préliminaires, des vignettes fictives furent créées et débattues par les participants au cours des trois phases. Le cadre théorique à multi-niveaux PEN-3 fut utilisé afin de fonder la synthèse et lanalyse des données sur la connaissance des faits.
Résultats : La plupart des participants laïcs acceptaient le concept de prévention du diabète et possédaient plus dinformations que prévu. Des barrières structurelles et pratiques à un mode de vie sain furent généralement rapportées. Le désir de se conformer aux normes, et en particulier à celles ayant rapport à la modestie, était très visible. Les chefs religieux fournirent un soutien considérable en matière denseignements islamiques pour la formation de messages concernant la prévention du diabète. Certains cliniciens considéraient, erronément, que les Bangladeshis sont mal informés et fatalistes, bien quils expriment aussi des préoccupations concernant les limites de leur propre compréhension culturelle.
Conclusion : Contrairement à lavis des professionnels du domaine de la santé et des premières recherches, le manque de connaissance ne constituait pas la barrière principale au choix dun mode de vie sain. Les normes et les attentes de lIslam offrent des opportunités de soutien à la prévention du diabète. Les interventions conçues pour la population caucasienne nécessitent toutefois, dêtre adaptées afin de comporter un certain sens aux yeux de plusieurs Bangladeshis.
La religion aurait rôle significatif à jouer dans le soutien de la promotion de la santé au sein de cette communauté. La possibilité dune collaboration entre les enseignants du domaine de la santé et les chefs religieux est à étudier et la faible compréhension culturelle des professionnels de santé, à aborder.
Contexte : Tower Hamlets, un arrondissement de Londres démuni au niveau socioéconomique, au Royaume-Uni.
Participants : Des personnes dorigine Bangladeshie non atteints de diabète (phase 1), des chefs religieux et des intellectuels islamiques (phase 2) et des professionnels du domaine de la santé (phase 3).
Méthodes : 17 focus groupes furent dirigés au moyen de léchantillonnage de circonstance en trois phases séquentielles. Une analyse thématique fut employée répétitivement afin daboutir à une concentration progressive et de développer une théorie. Afin dexaminer les tensions présentes parmi les données préliminaires, des vignettes fictives furent créées et débattues par les participants au cours des trois phases. Le cadre théorique à multi-niveaux PEN-3 fut utilisé afin de fonder la synthèse et lanalyse des données sur la connaissance des faits.
Résultats : La plupart des participants laïcs acceptaient le concept de prévention du diabète et possédaient plus dinformations que prévu. Des barrières structurelles et pratiques à un mode de vie sain furent généralement rapportées. Le désir de se conformer aux normes, et en particulier à celles ayant rapport à la modestie, était très visible. Les chefs religieux fournirent un soutien considérable en matière denseignements islamiques pour la formation de messages concernant la prévention du diabète. Certains cliniciens considéraient, erronément, que les Bangladeshis sont mal informés et fatalistes, bien quils expriment aussi des préoccupations concernant les limites de leur propre compréhension culturelle.
Conclusion : Contrairement à lavis des professionnels du domaine de la santé et des premières recherches, le manque de connaissance ne constituait pas la barrière principale au choix dun mode de vie sain. Les normes et les attentes de lIslam offrent des opportunités de soutien à la prévention du diabète. Les interventions conçues pour la population caucasienne nécessitent toutefois, dêtre adaptées afin de comporter un certain sens aux yeux de plusieurs Bangladeshis.
La religion aurait rôle significatif à jouer dans le soutien de la promotion de la santé au sein de cette communauté. La possibilité dune collaboration entre les enseignants du domaine de la santé et les chefs religieux est à étudier et la faible compréhension culturelle des professionnels de santé, à aborder.