La guerre et sa cohorte de pauvreté et de chômage en Israël
Mardi 03 Février 2009
Parallèlement à la montée des mécontentements en Israël au sujet de l'expédition militaire sans résultat et aux frais pharamineux de ce régime dans la Bande de Gaza, les sources sionistes ont annoncé qu'au moins un Israélien sur quatre se trouve au-dessous de la ligne de la pauvreté.Selon la chaîne satellitaire anglophone iranienne Press TV, l'institut de sécurité sociale du régime sioniste constate dans son plus récent rapport : alors que la machine de guerre d'Israël a avalé un budget de quelques centaines de millions de dollars, plus d'un quart des citoyens israéliens vivent au-dessous de la ligne de la pauvreté et ils sont incapable d'assurer même leurs besoins de première nécessité.
A ce propos, le journal israélien Haaretz tout en évoquant l'expansion de la pauvreté et du chômage en Israël écrit : tandis que plus d'un million de citoyens israéliens vivent au-dessous de la ligne de la pauvreté, les responsables politiques et les leaders des partis politiques ont planifié le scénario de l'offensive contre la Bande de Gaza pour obtenir l'avis favorable de l'opinion publique aux élections générales du 10 février.
Maariv écrit pour sa part : Israël n'a pas encore tiré leçon de la résistance de 60 ans des Palestiniens et n'a pas compris que le règlement de cette crise n'avait pas d'issue militaire. Les responsables de Tel-Aviv après leur échec dans la guerre de 33 jours en été 2006 au Liban, viennent justement répéter la même erreur en attaquant la Bande de Gaza. La récente offensive du régime sioniste a suscité également de vives protestations à l'intérieur des territoires occupés de 1948 de sorte que nombre de réservistes de l'armée du régime sioniste se sont abstenus de participer à cette guerre en signe de protestations contre le massacre des Gazaouis. Ils annonçaient qu'ils préféraient aller en prisons que de tuer les civils dont des femme et enfants.
Dans ce contexte, l'un responsable de la Banque d'Israël, Zvi Eckstein a évoqué un déficit budgétaire de 11 milliards de dollars avant d'ajouter que les opérations militaires dans la Bande de Gaza ont imposé au moins 700 millions des frais supplémentaires au budget, creusant encore le déficit budgétaire. Ce responsable bancaire a souligné que l'offensive destructrice d'Israël contre la Bande Gaza aboutira à la baisse de la croissance économique en Israël dont les effets se manifesteront davantage dans les mois à venir. Mikhaïl Sheral, expert des questions financières du régime sioniste a déclaré à ce propos que le déficit budgétaire d'Israël en 2009 sera sans précédent depuis 1980.
Vu les prochains développements dans les territoires occupés dont les élections anticipés de la Knesset qui doivent se tenir le 10 février et faire face aux conséquences de la crise économique mondiale, les analystes israéliens ont averti que la poursuite de l'agression contre la Bande de Gaza aggravera la crise intérieure en Israël.
source : IRIB
Mardi 03 Février 2009
Parallèlement à la montée des mécontentements en Israël au sujet de l'expédition militaire sans résultat et aux frais pharamineux de ce régime dans la Bande de Gaza, les sources sionistes ont annoncé qu'au moins un Israélien sur quatre se trouve au-dessous de la ligne de la pauvreté.Selon la chaîne satellitaire anglophone iranienne Press TV, l'institut de sécurité sociale du régime sioniste constate dans son plus récent rapport : alors que la machine de guerre d'Israël a avalé un budget de quelques centaines de millions de dollars, plus d'un quart des citoyens israéliens vivent au-dessous de la ligne de la pauvreté et ils sont incapable d'assurer même leurs besoins de première nécessité.
A ce propos, le journal israélien Haaretz tout en évoquant l'expansion de la pauvreté et du chômage en Israël écrit : tandis que plus d'un million de citoyens israéliens vivent au-dessous de la ligne de la pauvreté, les responsables politiques et les leaders des partis politiques ont planifié le scénario de l'offensive contre la Bande de Gaza pour obtenir l'avis favorable de l'opinion publique aux élections générales du 10 février.
Maariv écrit pour sa part : Israël n'a pas encore tiré leçon de la résistance de 60 ans des Palestiniens et n'a pas compris que le règlement de cette crise n'avait pas d'issue militaire. Les responsables de Tel-Aviv après leur échec dans la guerre de 33 jours en été 2006 au Liban, viennent justement répéter la même erreur en attaquant la Bande de Gaza. La récente offensive du régime sioniste a suscité également de vives protestations à l'intérieur des territoires occupés de 1948 de sorte que nombre de réservistes de l'armée du régime sioniste se sont abstenus de participer à cette guerre en signe de protestations contre le massacre des Gazaouis. Ils annonçaient qu'ils préféraient aller en prisons que de tuer les civils dont des femme et enfants.
Dans ce contexte, l'un responsable de la Banque d'Israël, Zvi Eckstein a évoqué un déficit budgétaire de 11 milliards de dollars avant d'ajouter que les opérations militaires dans la Bande de Gaza ont imposé au moins 700 millions des frais supplémentaires au budget, creusant encore le déficit budgétaire. Ce responsable bancaire a souligné que l'offensive destructrice d'Israël contre la Bande Gaza aboutira à la baisse de la croissance économique en Israël dont les effets se manifesteront davantage dans les mois à venir. Mikhaïl Sheral, expert des questions financières du régime sioniste a déclaré à ce propos que le déficit budgétaire d'Israël en 2009 sera sans précédent depuis 1980.
Vu les prochains développements dans les territoires occupés dont les élections anticipés de la Knesset qui doivent se tenir le 10 février et faire face aux conséquences de la crise économique mondiale, les analystes israéliens ont averti que la poursuite de l'agression contre la Bande de Gaza aggravera la crise intérieure en Israël.
source : IRIB